Le taux de rendement comptable évalue la rentabilité d'un projet en divisant le revenu net annuel par l'investissement initial. Vous voulez, par exemple, acheter un équipement d'une valeur de 1 million de dollars. Si le revenu net annuel généré par cet équipement est de 80 000 $, son rendement comptable est de 8 %.
Autrement dit, si les revenus versés à l'entreprise sont supérieurs ou égaux aux charges de l'entreprise, alors on peut dire que l'entreprise est rentable. A l'inverse, l'entreprise n'est pas rentable lorsque ses revenus sont plus faibles que toutes les charges qui ont été engagées pour les engendrer.
Pour calculer la rentabilité prévisionnelle d'un projet, il faut diviser les bénéfices prévisionnels par la somme des investissements (ou des apports en capitaux) faits. Le résultat de ce rapport est un pourcentage que l'on peut analyser et interpréter afin d'augmenter ou améliorer la rentabilité d'un projet.
Par exemple, pour un bien à 100 000 euros loué 600 euros par mois le calcul de rendement brut sera le suivant : (600*12) /100 000 *100 = 7,2 % Soit un rendement brut de 7,2% Le rendement net : c'est l'indicateur qui permet de déterminer la rentabilité d'un projet il nécessite.
Un investisseur va comparer le taux de rentabilité du projet à son taux de rentabilité exigé (calculé en fonction du risque du projet). S'il lui est supérieur, il y a création de valeur et l'investisseur choisira d'investir dans votre projet puisque celui ci va lui rapporter plus qu'un autre projet de risque similaire.
Comment faire ? Seuil de rentabilité = Charges fixes / Taux de marge sur coûts variables, soit le chiffre d'affaires minimum à réaliser pour ne pas perdre d'argent. Le chiffre d'affaires minimum à réaliser pour être rentable est de 80 000 euros.
Dans le cadre du calcul de la rentabilité, on distingue trois types de rentabilité il s'agit de : La rentabilité économique (par rapport aux moyens de production et aux investissements), La rentabilité financière (par rapport au moyen financier), La rentabilité commerciale (lié à l'activité de l'entreprise).
La rentabilité brute
Elle porte sur un rapport simple entre le coût d'achat d'un bien et les recettes projetées de ce bien. On calcule ce taux sur un an, en divisant le prix d'achat du bien par la somme des loyers espérés, le tout multiplié par 100.
Il se calcule simplement en additionnant l'ensemble des charges fixes et des charges variables. À partir du moment où le chiffre d'affaires est équivalent à l'ensemble des charges de l'entreprise, l'activité devient rentable. Toute rentrée d'argent au-delà de ce seuil est un bénéfice.
Dans le cas de la profitabilité, on cherche à savoir si l'entreprise va dégager une marge par rapport à son chiffre d'affaires. Tandis que la rentabilité économique permet de savoir si les moyens mis à disposition sont suffisant.
Sans surprise, c'est la bourse, avec les placements en actions qui arrivent en tête de ce classement avec une rentabilité moyenne de 8,5% par an ; et c'est le Livret A qui ferme la marche avec 2% (en réalité, on peut trouver encore moins rentable avec d'autres livrets non défiscalisés comme le CEL).
Quel est un bon taux de profitabilité ? On estime qu'un taux de profitabilité est bon lorsqu'il est égal ou supérieur à la moyenne du secteur d'activité de l'entreprise. Il doit aussi être positif, idéalement, le plus élevé possible et en progression d'un exercice à l'autre.
Définition, explication et un exemple. Un porteur de projet est une personne physique souhaitant créer, développer ou reprendre une affaire commerciale. Autrement dit, c'est un entrepreneur. L'activité projetée peut être exercée dans la distribution de services ou de biens de consommation.
La marge de profit se calcule en faisant l'opération mathématique simple suivante: (revenu net/revenu) x 100. Revenu net: Le revenu de l'entreprise ou du projet – les coûts associés au projet ou à l'entreprise.
La rentabilité économique, qui permet de mesurer la capacité de l'entreprise à créer de la valeur grâce à son activité. Elle se calcule ainsi : Rentabilité économique = (résultat d'exploitation – impôts sur les bénéfices) / (capitaux propres + dettes financières)
Il serait facile et réducteur de dire qu'un bon investissement… est un investissement qui rapporte beaucoup et très rapidement. Bien évidemment, cela va de soi… Par exemple, le gagnant d'une loterie comme l'Euro Millions clamera haut et fort que l'achat du billet gagnant a été le meilleur « investissement » de sa vie.
N°1 : la voiture avec plus de 2 000€ par an de gain. N°2 : le vélo avec plus de 700€ par an. N°3 : la perceuse avec plus de 500€ par an. N°4 : le parking privé pour 400€ par an.
Sirene. L'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) met à disposition deux outils permettant d'accéder aux informations officielles sur la situation d'entreprises : La plateforme avis-situation-sirene.insee.fr permet de générer les avis de situations d'un établissement.
La rentabilité financière mesure la capacité des capitaux investis par les actionnaires et associés (capitaux propres) à dégager un certain niveau de profit.
La rentabilité économique (ou en anglais, Return On Capital Employed) est un ratio financier dont le but est d'estimer la capacité d'une entreprise à générer des bénéfices grâce aux capitaux investis.
Pour un calcul rapide du seuil de rentabilité avec le tableur, il faut commencer par remplir la liste des charges variables (type et montant) puis la liste des charges fixes (type et montant) et après remplir les champs de la période et le montant total du chiffre d'affaire de la période étudiée.