Discours direct : les paroles sont retranscrites telles qu'elles ont été prononcées. Discours rapporté, introduit par deux points et des guillemets. Discours indirect : les paroles sont retranscrites de façon indirecte par une proposition subordonnée, introduite par “que” ou “de”.
Le discours indirect consiste à rapporter les propos de quelqu'un en d'autres mots (reformulation). Les propos ainsi rapportés ne se distinguent pas du reste du texte, contrairement au discours direct dans lequel l'auteur doit employer les tirets et les guillemets.
Discours direct : Les paroles sont rapportées telles quelles, sans être modifiées. On remarque la présence des guillemets précédés de 2 points et de verbes introducteurs comme (demander ou répondre, dire…). On peut également trouver des points d'interrogation ou d'exclamation…
Discours indirect : Elle lui dit qu'elle ne partirait pas de là, le lendemain. Discours indirect libre : Elle se fâcha. Non ! Elle ne partirait pas de là, le lendemain !
— le verbe du discours direct est au passé simple ou au passé composé, lors du passage du discours direct au discours indirect le verbe se met au plus-que-parfait ; Exemple : Jean affirma : « Mon frère mangea (a mangé) son fruit. » ► Jean affirma que son frère avait mangé son fruit.
Les paroles sont mises entre guillemets et sans terme de liaison après le verbe de parole. Exemple : Il a dit : "Nous nous verrons demain." -> Soit indirectement : c'est le style indirect. Les paroles sont reliées au verbe de parole par un terme de liaison comme "de" ou "que".
Discours direct : Lila dit : “Viens chez moi !” Discours indirect : Lila lui dit de venir chez elle. Lila lui dit qu'elle vienne chez elle.
Par exemple, si tu as : « Il a fait beau hier », au discours indirect, tu vas avoir : « Il a dit qu'il avait fait beau la veille ». Le « hier » se transforme en « la veille ». On ne dit pas : « Il a dit qu'il avait fait beau hier ». Ce discours indirect, il est très utilisé au quotidien, il est vraiment très utile.
On parle de discours direct quand le locuteur (celui qui parle) rapporte directement les paroles d'une personne, telles qu'elles ont été prononcées. Elle dit : « Je rentrerai tard ce soir, ne m'attends pas pour dîner ! »
On a le choix entre le discours direct et le discours indirect. Quand on rapporte les paroles comme elles ont été prononcées, en faisant référence à la situation d'énonciation d'origine, on produit du discours direct. Celui-ci se caractérise par une ponctuation particulière : deux-points, guillemets, tirets.
Le complément d'objet direct ou COD désigne l'objet de l'action. – Il répond à la question qui ? ou quoi ? – Il n'est jamais introduit par une préposition.
Les phrases interrogatives sont introduites par un mot interrogatif au discours indirect comme au discours direct. Exemple : J'ai demandé : « Comment était-elle ? » → J'ai demandé comment elle était.
Pierre mange UNE POMME. UNE POMME est mangée par Pierre. Pour trouver le COD, il vous suffit de poser la question "QUOI ?" ou "QUI ?" Tu conduis une voiture.
Dans le discours direct, le narrateur rapporte les paroles sans y apporter aucune modification, c'est-à-dire qu'il conserve la situation d'énonciation. Les paroles sont rapportées telles qu'elles ont été prononcées par la personne.
Le discours direct libre est un type de discours direct dans lequel les marques de ponctuation (guillemets ou tirets) ainsi que le verbe introducteur sont supprimés, de telle sorte que l'énoncé cité se retrouve sur le même plan que l'énoncé citant.
Toutefois, on peut mettre cette phrase au style indirect en remplaçant l'exclamative par une énonciative. 'Elle me vit arriver de loin et cria qu'elle me saluait en agitant les bras'.
Le discours direct peut s'effectuer à l'aide du tiret de dialogue (-) qui marque le changement d'émetteur. Il est aussi possible d'introduire la première phrase par un verbe de parole (dire, demander, s'écrier, etc.) et les deux-points (:).
Verbe introducteur au passé
Si le verbe au discours direct est au présent ou à l'imparfait, le verbe passe à l'imparfait au discours indirect : elle m'a dit « J'ai faim ». → Elle m'a dit qu'elle avait faim. Elle m'a dit : « J'avais faim ».
La forme du discours (= tout texte écrit ou dit à l'oral) dépend de l'intention de l'auteur : raconter, décrire, expliquer ou convaincre. On distingue quatre principales formes de discours : narrative, descriptive, explicative et argumentative.
L'astronaute demande à son vis-à-vis : « Les extra-terrestres sont-ils tous de couleur verte ? » Cette phrase est au style direct. L'astronaute a demandé à son vis-à-vis si les extra-terrestres étaient tous de couleur verte. Cette phrase est au style indirect.
Le verbe introducteur sert à introduire un acte de parole, à rapporter des paroles dans un récit. Il précède ou suit une réplique dans un dialogue. Le verbe « dire » comporte plusieurs significations. Il devient ainsi un verbe dont le sens est vague.
Ce discours rapporté se caractérise par l'absence de verbe introducteur ou de guillemets, il passe inaperçu en somme. Il permet de retranscrire les pensées ou paroles d'un personnage et de conserver la fluidité de la narration.
Le discours indirect permet d'éviter de rompre la narration. Il permet souvent de résumer les propos d'un personnage en mettant en avant le contenu du message transmis. Comment ? L'utilisation de la subordonnée, complément d'un verbe de parole ou de pensée.
Le COD complète directement le verbe (transitif direct). Exemple : Zoé aime beaucoup les animaux. Le COI est relié au verbe (transitif indirect) par une préposition : les plus courantes sont à, de, en, sur. Exemple : Elle parle souvent de son chien.