Étudier le signe du discriminant Δ. Si Δ < 0, alors cette équation n'admet pas de solutions réelles. Si Δ = 0, alors cette équation admet une solution unique .
Lorsque la valeur absolue est égale à un nombre positif |x+3|=5 | x + 3 | = 5 Comme 5 est un nombre positif, cette équation possède 2 solutions. Lorsque la valeur absolue est égale à un nombre négatif |x−4|=−25 | x − 4 | = − 25 Comme −25 est un nombre négatif, cette équation ne possède aucune solution.
Si la fonction f ( x , y ) admet des dérivées partielles (par rapport à et ) qui sont continues, et si l'on se fixe des réels et , il existe une solution et une seule de l'équation y ′ = f ( x , y ) , définie sur un intervalle contenant , qui vérifie u ( x 0 ) = y 0 .
S'il existe une ligne du type 0=b′i 0 = b i ′ avec b′i non nul, alors le système n'admet pas de solutions.
Équation qui n'admet aucune solution dans son ensemble de définition.
Si tous les coefficients aij sont nuls, et si l'un au moins des bi est non nul, alors le système n'admet pas de solution : S = ∅. Si l'un des coefficients aij est non nul, on peut le choisir comme pivot.
L'hypothèse de Riemann, un problème irrésolu
Les énigmes de maths passionnent les gens depuis des générations ! Ce problème est considéré par de nombreux mathématiciens comme l'un des plus difficiles de tous les temps. Et en effet, l'hypothèse de Riemann n'a jamais été résolue !
Afin de déterminer le nombre de solutions d'une équation du type f\left(x\right)=k sur I, on utilise le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires pour chaque intervalle de I sur lequel la fonction est strictement monotone.
Équation non linéaire,
équation de la forme f (x) = 0 lorsque f (x) n'est pas de la forme ax + b. (Cette notion s'étend aux équations et systèmes d'équations non linéaires à plusieurs inconnues.)
En utilisant le corollaire du théorème des valeurs intermédiaires (c'est-à-dire le théorème appliqué au cas des fonctions strictement monotones), on peut montrer qu'une équation admet une unique solution sur un intervalle. Montrer que l'équation x^3-2x+1=0 admet une unique solution sur \left]-\infty ; -1 \right].
Afin de valider la solution trouvée, il suffit de remplacer l'inconnue dans l'équation de départ par la solution trouvée. L'égalité est vérifiée ce qui confirme que la solution de l'équation est bel et bien x=58. x = 5 8 .
Une fonction admet une réciproque si et seulement si sa courbe représentative a un seul point d'intersection avec une parallèle à l'axe des abscisses.
Voici quelques exemples d'équations impossibles :
x + 1 = x Cette équation est impossible car quelle que soit la valeur de x, on ne peut jamais obtenir l'égalité. En soustrayant x des deux côtés, on obtient 1 = 0, ce qui est une contradiction.
Résoudre une inéquation, c'est trouver toutes les valeurs de x qui vérifient cette inégalité. Il s'agit d'un ensemble de valeurs. Les solutions sont tous les nombres strictement inférieurs à . L'ensemble des solutions de l'inéquation est donc l'intervalle : −∞ ; .
C'est donc une équation du second degré. Le nombre de solutions de l'équation ax^2+bx+c=0 (avec a\neq 0), dépend du signe du discriminant \Delta : Si \Delta<0, l'équation n'admet aucune solution réelle. Si \Delta=0, l'équation admet une unique solution (dite « double ») : x_0=\dfrac{-b}{2a}.
Pour vérifier que a est racine de P , il suffit de calculer P ( a ) et de vérifier que le résultat vaut 0. Pour vérifier que a est racine double de P , on peut vérifier que le polynôme est divisible par (X − a )2 ou bien vérifier les égalités P ( a ) = 0 et P ′( a ) = 0, où P ′ est le polynôme dérivé de P .
Des équations sont dites EQUIVALENTES si elles ont le même ensemble de solutions. Exemples: et sont deux équations équivalentes.
Lorsque la courbe est au-dessus de l'axe 𝑥 des abscisses, le signe de la fonction est positif, quand elle est en dessous de l'axe 𝑥 des abscisses, le signe de la fonction est négatif et à l'intersection avec l'axe 𝑥 des abscisses, le signe de la fonction est nul.
Pour rechercher une solution particulière, on utilise souvent la méthode de variation de la constante : on cherche une solution sous la forme λ(x)e−A(x) λ ( x ) e − A ( x ) où λ:I→R λ : I → R est une fonction dérivable et on regarde quelle condition doit vérifier λ pour que cette fonction soit une solution de l' ...
Appellé «le dernier théorème de Fermat», cette équation avait été posé en 1637 par le mathématicien français Pierre Fermat. Il l'avait formulée ainsi : «il n'existe pas de nombres entiers non nuls x, y et z tels que : xn + yn = zn, dès que n est un entier strictement supérieur à 2».
Professeur·e de mathématiques Le professeur de mathématiques éveille la curiosité des élèves aux spécificités du raisonnement mathématique. C'est incontestablement le métier le plus...
Pierre de Fermat et Andrew Wiles. Le « dernier théorème de Fermat » (ou « grand théorème de Fermat », ou « théorème de Fermat-Wiles ») affirme que si n est un entier supérieur à 2, alors il n'existe pas de triplets d'entiers positifs x, y, z tels que xn + yn = zn. Il est considéré comme démontré depuis 1995.
1.1.
Cette équation s'appelle équation linéaire dans les variables (ou inconnues) x et y. Par exemple, 2x + 3y = 6 est une équation linéaire, alors que les équations suivantes ne sont pas des équations linéaires : 2x + y2 = 1 ou y = sin(x) ou x = y.
Pour résoudre un système de deux équations linéaires à deux inconnues par la méthode de substitution, il suffit d'isoler l'une des inconnues dans l'une des équations et de remplacer cette inconnue par sa valeur dans l'autre équation.