Dépendance : Définie dans le DSM IV comme une tolérance accrue, une consommation compulsive, une perte de contrôle et un usage continu malgré des problèmes physiques et psychologiques causés ou exacerbés par la substance.
Le jeu pathologique (aussi nommé jeu compulsif, jeu excessif ou ludomanie) est une forte dépendance compulsive aux jeux et paris malgré les conséquences négatives ou le désir d'arrêter.
Ce lobe frontal se développe durant l'adolescence et le début de l'âge adulte. C'est pour cela que les enfants et les adolescents sont plus touchés par l'addiction aux jeux vidéo.
Le problème de la pratique du jeu vidéo régulière vient du fait que, lorsqu'une personne joue trop souvent, elle va libérer une quantité de dopamine très importante et trop souvent. Le corps va demander de plus en plus de dopamine afin de pouvoir continuer à ressentir ce sentiment de plaisir.
15 à 20 heures par semaine commencent à être exagérées, et plus de 21 heures par semaine (3 heures par jour) est le type de jeu qui commencera à avoir un impact néfaste sur le bien-être, selon cette étude d'Oxford. Cependant, cela ne constitue pas en soi un trouble du jeu.
L'addiction comportementale (jeux, écrans) Les addictions aux jeux de hasard et d'argent et celles aux jeux vidéo sont des addictions comportementales, considérées et reconnues comme une maladie. D'autres troubles addictifs comportementaux sont actuellement à l'étude.
Le traitement de l'addiction aux jeux vidéo passe par une prise en charge psychologique à l'aide le plus souvent d'une thérapie cognitivo-comportementale (TCC). Le but du traitement est de réduire et contrôler le temps de jeu, l'abstinence n'étant en générale pas réaliste.
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Il existe deux types d'addictions :
Des addictions liées à des produits : tabac, alcool, médicaments ou drogues. Des dépendances non liées à des produits : dépendance au travail , aux jeux, à Internet, au téléphone, au sport…
lorsque le besoin l'emporte sur le désir. lorsque la sensation remplace l'émotion et la relation. lorsqu'un produit ou un comportement envahit le champ des plaisirs possibles et devient prioritaire et impérieux pour obtenir du plaisir ou apaiser une tension. lorsque la passion l'emporte sur la raison.
Soyez compréhensif, mais ferme, lorsque vous fixez des limites quant au comportement du joueur. Prenez soin de vous en élargissant votre cercle d'amis et en participant à des activités sociales. Assurez-vous de protéger vos ressources financières afin que le joueur ne se les approprie pas.
la répercussion sur l'équilibre alimentaire ou le sommeil. la souffrance psychique rattachée à l'utilisation des jeux (tristesse, anxiété, agressivité) l'incapacité de réduire les temps de jeu.
Besoin impérieux et irrépressible de consommer la substance ou de jouer (craving) Perte de contrôle sur la quantité et le temps dédié à la prise de substance ou au jeu. Beaucoup de temps consacré à la recherche de substances ou au jeu. Augmentation de la tolérance au produit addictif.
Chez les premiers, on trouve comme principale motivation au jeu l'adrénaline, l'excitation que le jeu procure : « Quand tu sais que tu vas gagner, c'est ça cette sensation.
La dépendance aux jeux vidéo est un problème réel, et le temps passé devant un écran par un enfant au quotidien peut avoir un impact sur sa vie. Mais à quel point le jeu est-il excessif pour qu’un parent puisse s’attendre à des effets négatifs ? Il n'y a pas de consensus sur la quantité de jeu excessive, bien que la plupart des experts conviennent que la limite se situe entre 2 et 5 heures par jour .
Les jeux de rôle (RPG) sont considérés comme le genre de jeu vidéo le plus addictif. Les RPG représentent 23,5 % de toutes les ventes de jeux vidéo. Les jeux de tir à la première personne (FPS) constituent le deuxième genre le plus addictif. Les jeux FPS représentent 22,5 % de toutes les ventes de jeux vidéo.
Twice as many parents also say their teen boy plays video games every day compared to parents of teen girls. Teen boys are also more likely to spend three or more hours gaming. The American Academy of Pediatrics recommends no more than two hours per day of screen-based entertainment.
Jouer à ces jeux vidéo d'action atténue l'activité du cortex préfrontal et implique que jouer à des jeux vidéo affecte également la cognition dans l'hippocampe droit et les régions occipitopariétales. Des études de Nature Neuroscience montrent que jouer à un jeu vidéo d’action peut améliorer l’attention visuelle.
l'abus de tabac ; la consommation excessive d'alcool ; l'usage dérivé de médicaments (morphine, anti-douleur, stimulant sexuel, anxiolytiques, etc.) ; le recours à des drogues illicites (cannabis, héroïne, cocaïne, amphétamines, dérivés de synthèse tels que méthamphétamine, chemsex, etc.).
Être « addict » n'est pas une fatalité. En cas de consommation à risque ou de dépendance, un accompagnement par des professionnels renforce les chances de succès. Partager : Toute personne ayant une consommation problématique ou vivant dans l'entourage d'une personne en proie à des addictions peut se faire accompagner.
Recherchant à nouveau le plaisir procuré par la substance ou le comportement, le cerveau va vouloir répéter la consommation. Problème : au fur et à mesure de l'usage, il s'habitue aux effets et a besoin d'une dose plus importante pour retrouver le plaisir initial. C'est alors que la dépendance s'installe.
Les paramètres influençant la consommation sont le sexe, l'âge, le niveau d'éducation, la classe socio-économique, l'absence d'activité.