Face à un mégalomane, que faire ? Si vous avez dans votre entourage une personne mégalomane, montrez-lui votre approbation uniquement quand celle- ci est sincère et méritée et expliquez-lui pourquoi les autres ne la trouvent pas si exceptionnelle qu'elle pense.
Un manque de confiance en soi et d'estime de soi. Par peur d'être abandonnés car ils se sous-estiment, les égocentriques aiment faire croire qu'ils valent plus que les autres en se mettant sans cesse en avant. Des traumatismes psychologiques qui sont survenus dans l'enfance et qui ont bloqué l'évolution de la personne.
Mégalomanie. Les personnes atteintes du trouble de la personnalité narcissique surestiment leurs capacités et exagèrent leurs accomplissements (mégalomanie). Elles pensent qu'elles sont meilleures que les autres, uniques, ou spéciales.
La mégalomanie va de la suffisance, chez un sujet doué mais orgueilleux (dans le cadre d'un trouble de la personnalité), à l'expansion délirante du moi avec des idées de toute-puissance, de science infuse, de réalisation de projets démesurés (dans le cadre de maladies psychiatriques).
L'érotomanie est un trouble psychologique délirant qui se caractérise par la conviction chez un individu qu'il est aimé par un autre. Elle prend une forme obsédante qui se fixe généralement sur un individu au départ inconnu, voire une personnalité publique.
La tachypsychie pourrait se scinder en deux composantes : les « pensées accélérées » et les pensées dites « grouillantes ». Dans un état hypomane, la tachypsychie semble être caractérisée par des « pensées accélérées » résultant d'une production d'idées excessives se succédant les unes après les autres.
Le trouble de la personnalité
Les traits de caractère typiques de la personnalité narcissique sont un sentiment excessif de son importance personnelle, un besoin excessif d'être admiré et un manque d'empathie.
"Il ne s'agit pas d'une maladie mentale. C'est une structure, une organisation de personnalité. Elle touche principalement des personnes qui ont des troubles psychotraumatiques de départ.
Trouve des distractions. Lorsque quelqu'un parle dans ton dos, il peut être difficile de te concentrer à l'école ou bien sur ton lieu de travail. Oriente ton énergie vers des activités positives pour te distraire au lieu de te concentrer sur la négativité générée par les commentaires.
L'excès de demande d'attention et de reconnaissance, la frustration extrême voire l'impossibilité d'entendre la moindre critique, sont les grands signes des fragiles narcissiques. La critique engendre de leur part emportement, colère, rejet. Car elle les désorganise totalement. C'est le risque de chaos.
Pourquoi devient-on pervers narcissique ? La pathologie remonte souvent à l'enfance. Ainsi, Sylviane Barthe Liberge explique que pour être admiré par ses parents, l'enfant-pervers narcissique en devenir a dû développer des stratégies narcissiques : mentir à outrance, donner le change, faire en sorte d'être admiré…
Non, le narcissisme n'est pas un vilain défaut. Ce n'est pas un trouble de la personnalité qui se manifeste par un sentiment excessif de son importance et le besoin tout aussi excessif d'être admiré en conséquence, comme l'indique le DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders).
Le manipulateur narcissique
Ensuite, l'autre doit se conformer à tout ce qu'il veut et pense sans quoi il est dévalorisé, culpabilisé, menacé, ... Il se croit parfait et ne se remet pas en question, par contre il stigmatise l'autre pour ses imperfections en jouant sur ses valeurs morales.
Ainsi, si vous ressentez régulièrement de la honte, une culpabilité, des difficultés à communiquer, de la peur, une anxiété en présence de votre partenaire, un sentiment d'injustice, une impression de vous faire "fliquer", il peut s'agir potentiellement d'une emprise relationnelle.
"Le pervers narcissique en général n'est pas conscient et le déni est une des caractéristiques à plusieurs niveaux de cette pathologie, donc il nie également et surtout sa propre pathologie.
Ça s'appelle l'overthinking. Bonne nouvelle : quelque part dans notre cerveau, il existe un bouton "Stop", adapté à chaque manière de "trop penser". Démonstration.
L'anhédonie est un concept qui a été défini à la fin du 19e siècle. C'est un psychologue français, Théophile Ribot qui a créé ce néologisme du grec a "sans" et hêdonê "plaisir." De perte de la capacité à ressentir du plaisir et de l'intérêt, ce concept a évolué au cours des 20 dernières années.
La clinophilie désigne le fait de toujours vouloir rester dans son lit ou ne plus vouloir sortir de chez soi. S'il ne s'agit pas d'une maladie, elle est le symptôme de pathologies psychiatriques.