La plupart des récits obéissent à une structure type qui comprend : une situation initiale, un événement perturbateur, des péripéties et une situation finale.
Commencez en créant les personnages et en exposant l'intrigue. Ensuite, écrivez le premier brouillon du début à la fin. Une fois que vous l'avez terminé, améliorez-le en utilisant des stratégies d'écriture. Pour finir, relisez votre histoire pour créer la version finale.
Le temps de narration est le temps principal d'un récit en français : passé simple, passé composé ou présent.
Le schéma narratif. Il s'agit de la présentation des lieux, du moment où se passe le récit et des personnages. L'imparfait à valeur d'arrière-plan est le plus souvent utilisé. Pour évoquer le passé des personnages, ou du lieu, on utilisera le plus-que-parfait.
Une bonne histoire est simple
Une bonne histoire éveille immédiatement la curiosité du public puis suit le fil d'une idée. Une seule ! Dans votre présentation, cela est également essentiel : vous avez un objectif, un message à faire passer à votre lecteur ou à votre audience, une action à déclencher chez lui.
Qu'une bonne histoire est d'abord affaire de complétude. Une histoire est un tout, avec un début, un milieu et une fin. Et, mieux que cela, chaque partie du récit sert l'intrigue principale. Une histoire est un tout composé de ses parties.
Le nom incipit (du verbe latin incipere : « commencer », et prononcé /ɛ̃.
Une histoire peut traiter de l'amitié, de l'amour, de la trahison, du suicide, du courage, etc. Certains sont plus importants que d'autres, ce sont alors des thèmes majeurs. Dans des parties de textes, des thèmes secondaires peuvent être développés.
Dénouement ou élément de résolution : il met un terme aux actions et conduit à la situation finale. Situation finale ou explicit : c'est le résultat, la fin du récit qui redevient stable.
L'élément perturbateur ou déclencheur perturbe l'équilibre décrit dans la situation initiale. Il peut prendre plusieurs formes : – l'arrivée ou la disparition d'un personnage ; – un événement extérieur (historique par exemple) ; – une décision que prend un personnage (projet/mariage/voyage).
Le texte à dominante narrative sert à : • raconter une histoire ou des événements imaginaires, réels ou documentaires. La séquence narrative est la séquence dominante dans un texte narratif. Elle comprend, dans un récit à 3 temps : • un début; • un milieu; • une fin.
La structure narrative a plusieurs catégories secondaires qui permettent de classer l'information et de comprendre le texte: la situation initiale, l'élément déclencheur, les péripéties et la situation finale.
Le récit est le plus souvent rédigé au passé, sauf lorsque le narrateur a choisi de le rendre dynamique en utilisant un présent de narration. Les temps les plus courants sont alors l'imparfait et le passé simple qui alternent, ayant des valeurs et emplois bien spécifiques.
Un texte narratif décrit une succession de faits qui s'enchaînent. Il est caractérisé par des verbes d'action et de mouvement qui indiquent la progression de l'histoire, à laquelle participent un ou des personnages. Le narrateur peut, aussi, être un personnage de l'histoire qu'il raconte.
On considère que le présent, le passé composé et le passé simple sont les temps de base du récit. C'est à l'un ou l'autre de ces temps qu'est rédigé le récit de base.
Il est fortement recommandé de commencer le récit par une introduction. Celle-ci va nous permettre de « planter le décor » : nous informer du lieu et de l'endroit où se passe l'action, nous présenter le personnage central, nous donner le ton général du récit. Exemple : C'était l'hiver, nous étions en 1948.