Quelles solutions pour soigner les obsessions ? Afin d'éviter les obsessions, il est conseillé d'éviter les excitants tels que l'alcool, le café ou le tabac. Une activité physique est recommandée ainsi que la relaxation.
La Thérapie Interpersonnelle (TIP) est recommandée si les problématiques sont liées à des dysfonctionnements interpersonnels. La Thérapie cognitive et Comportementale (TCC) sont à privilégier notamment dans les troubles anxieux et les TOCs.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.
Les obsessions liées au TOC sont bien particulières, comme le prouve leur définition : des idées ou pensées intrusives, qui viennent à l'esprit malgré soi et qui semblent vous alerter contre un danger grave potentiel, dont vous seriez responsable. Cette notion de dommage, de danger, est essentielle pour définir le TOC.
La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est l'un des traitements les plus efficaces contre les obsessions ou les compulsions et utilise des techniques à la fois cognitives et comportementales (mars 1998).
Laisser filer les pensées négatives
Pour cela, la méditation active apporte une aide intéressante. "Observez vos pensées sans les juger ni vous y accrocher. Laissez-les passer comme des nuages au-dessus de votre tête sans qu'elles puissent prendre le pouvoir", conseille Latifa Gallo.
Il se manifeste quand une personne a des pensées récurrentes et/ou des comportements anxieux incontrôlables appelés compulsions qu'elle ressent le besoin de répéter sans cesse. Envahie par des craintes obsédantes, la personne se livre alors à des rituels destinés à calmer son anxiété.
La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher. Comment se débarrasser de la rumination mentale ? En détournant son attention sur des tâches distrayantes mais prenantes, en se recentrant sur l'instant présent grâce à la méditation ou encore en écrivant ses ruminations, il est possible de les contrer.
Les obsessions doivent être répétitives, persistantes, intrusives et causer une anxiété ou une détresse marquée, même en l'absence de l'objet ou de la situation redoutés. Les compulsions sont irrésistibles mais n'ont qu'une efficacité relative pour calmer l'anxiété.
Laissez de la place au mode de pensée de vos interlocuteurs, intéressez-vous à eux, assurez-vous que vous avez bien compris, reformulez ses propos. Et surtout laissez-lui la liberté de répondre et de penser à sa propre façon. Ses pensées ne vous appartiennent pas, vous n'êtes pas dans sa tête !
Selon la psychologue clinicienne, les anxieux le deviennent à la suite d'événements traumatiques ou encore à cause d'“un environnement insécurisant, instable, violent.” C'est le cas, par exemple, des enfants témoins ou victimes de violences.
La rumination mentale, c'est quoi ? Il s'agit de pensées et sentiments négatifs au caractère répétitifs, prenant la forme d'un flot ininterrompu de pensées pessimistes et obsessionnelles. La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher.
Pour arrêter de ruminer, il faut les accueillir pleinement. On essaye d'abord de comprendre laquelle de ces émotions se cache derrière sa pensée négative. Dans un second temps, on s'efforce de ne pas culpabiliser mais plutôt de l'accepter telle qu'elle nous apparaît, de lâcher-prise.
Lorsque les obsessions et les compulsions deviennent incontrôlables, on parle de « trouble obsessionnel-compulsif ». Le TOC est un trouble anxieux qui affecte environ un adulte sur quarante. Il est présent dans le monde entier et touche aussi bien les hommes que les femmes.
Les anxiolytiques, tels que les benzodiazépines, peuvent offrir un soulagement temporaire des signes en attendant que le traitement antidépresseur soit efficace.
Pour débrancher le cerveau, on commence donc par se déconnecter littéralement. Ou, du moins, par se discipliner un peu. On apprend donc à se fixer des plages consacrées à la consultation de nos messages, textos et autres notifications et l'on cesse de bondir à chaque alerte.
Vérifier, compter, se laver encore et encore, pendant des heures, sans jamais se sentir rassuré, peut être le signe d'un « Trouble Obsessionnel Compulsif » (ou TOC). C'est une forme de trouble anxieux qui se soigne, à bien différencier des petites manies ou inquiétudes que l'on peut ressentir épisodiquement.
Une pensée intrusive est tout simplement une idée ou une image désagréable qui revient sans que la personne parvienne à s'en dégager. Ces pensées peuvent générer un trouble anxieux ou un trouble obsessionnel compulsif : Trouble anxieux → inquiétude → La pensée doit être analysée pour éviter sa réalisation.
Ces personnes ont peur d'avoir peur, crainte qui se traduit le plus souvent par l'isolement, la timidité et le mal-être. Ce caractère se traduit par un état constant d'alerte et de vigilance, une conduite de fuite par peur de tout engagement, par inhibition ou par passivité.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
Marchez avec vos yeux
Mais pourquoi ? Parce qu'une marche tranquille est le meilleur exercice pour se libérer la tête des pensées parasites. Ce n'est pas le mouvement des pieds, pourtant si bénéfique à la santé, qui provoque cet allégement psychique, mais celui des yeux.