Invitez-la gentiment à déjeuner au restaurant et posez-lui un lapin. À reproduire une fois par semaine pendant 3 mois. Déboulez chez elle à l'improviste, souvent. Appelez-la à 23h55 pour savoir si elle est bien rentrée après avoir dîné chez vous.
Dans un premier temps, il vaut mieux en parler avec son compagnon, en lui demandant de l'aide. Si on lui demande d'intervenir il risque d'être pris dans un conflit de loyauté. Mieux vaut aussi dire : « J'ai du mal quand ta mère m'aide avec le bébé. », plutôt que : « Ta mère est pénible ».
Utilisez le principe du « merci positif ».
« Face aux remarques désobligeantes, répondez quelque chose comme "tiens, c'est une bonne idée, je vais essayer", quitte à faire exactement le contraire dès qu'elle sera partie. Pour la belle-mère, c'est souvent une manière (certes maladroite) de vouloir se rendre utile.
Éloignez-vous d'elle.
Faites-le dès que vous commencez à vous énerver. Si le simple fait de passer du temps avec elle vous agace ou vous énerve, retirez-vous ou éloignez-vous de la conversation. Assurez-vous de vous excuser tranquillement ou de demander à quelqu'un d'autre à proximité ce qu'il pense du sujet.
Elle est intrusive, manipulatrice, possessive, jalouse et parfois haineuse. Cette situation est particulièrement plus habituelle et prévisible entre une fille et sa belle-mère. Néanmoins, dans bien des cas, la belle-mère envahissante est la mère de la conjointe.
Une belle-mère manipulatrice narcissique utilise essentiellement la violence psychologique pour contrôler sa belle-fille qui est une victime. Elle va donc vous contrôler, vous rabaisser publiquement et littéralement vous casser mais jamais en présence de son fils et donc votre mari.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Expliquez votre point de vue et vos limites à votre belle-famille. Faites savoir à vos beaux-parents que vous cessez tout contact avec eux et donnez les raisons de votre décision. Gardez la conversation courte et tenez-vous-en aux faits. Évitez de vous quereller.
Constamment elle essaie de faire partie de votre vie mais ne tombe pas à pic. Résultat, elle se sent rejetée. La façon dont cela s'exprime: elle multiplie les arrivées improvisées, ne part pas quand elle tombe mal, se plaint d'être mal reçue, dit à votre chéri que vous n'êtes pas accueillante et que cela la peine.
Sa famille traite vos enfants comme s'ils n'appartenaient qu'à votre partenaire et à son côté de la famille. Ils invitent votre partenaire aux fêtes de famille, mais pas vous. Ils vous critiquent devant votre partenaire ou devant vos enfants.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
Affirmez votre autorité si elle essaie de diriger votre foyer. Si elle essaie toujours de contrôler la situation lorsqu'elle vient vous rendre visite, dites-lui qu'elle peut s'assoir et se détendre.
Ne pas supporter sa belle-fille ou son gendre est souvent dû au fait qu'on les considère inconsciemment comme des rivaux ou des concurrents alors qu'en matière de relations beaux-parents/beaux-enfants, il ne s'agit pas du tout de ce registre là.
Quelles distances garder avec sa belle-famille ? La distance que vous gardez avec vos beaux-parents, et notamment le fait d'employer le tutoiement ou vouvoiement, est à jauger selon votre ressenti. N'hésitez pas à en parler avec eux : pour être plus à l'aise, le mieux est souvent de leur poser directement la question.
Faites-le de façon claire et paisible, en lui parlant « au je », et en évitant de l'accuser de quoi que ce soit. Gardez toujours en tête qu'il aime ses parents et tentez de trouver un terrain d'entente raisonnable pour tous. Soyez patiente et conservez votre calme. Rien ne se règle dans l'adversité.
Évitez d'insinuer quoi que ce soit au sujet de votre belle-sœur ou, pire, de l'insulter. Contentez-vous de lui dire qu'en sa présence, les choses tournent toujours au vinaigre. Votre conjoint ne peut pas critiquer ce que vous ressentez, il est donc important d'être clair et prudent dans la façon de le formuler.
Souriez, soyez amical sans être trop hypocrite, mais rappelez-vous que c'est de votre devoir de partager avec eux, comme le fait votre partenaire avec votre famille, donc faites que tout se passe bien.
Ne pas répondre du tac au tac
Quand on a une belle-famille qui a pris l'habitude de dire tout ce qu'elle pense à haute voix, et en particulier de critiquer à peu près tout ce qu'on fait, on a envie de répondre aussi sèchemment pour ne pas se laisser faire.
Rien ne doit rester en suspens, au risque d'empirer les choses rapidement. Seulement, il est important que cela soit fait avec respect et tact. Ces relations sont très souvent conflictuelles par définition. Il vaut donc mieux faire en sorte de parler calmement et poliment pour éviter les tensions.
Ne vous écrasez pas face à elle, et ne lui laissez pas croire qu'elle peut toujours avoir le dernier mot. Prenez des décisions sans elle, et montrez-lui que son avis n'est pas un élément indispensable comme elle peut le penser. Le plus important est d'avoir confiance en vous et de ne pas vous laisser intimider.
La détestation de la figure de la belle-mère se trouve alors affermie par la naissance de la famille nucléaire, qui bouleverse la donne. «Elle implique l'intimité du couple, il n'y a plus de place pour la belle-mère», résume Yannick Ripa. Ce contexte donne une nouvelle jeunesse au conflit avec les brus.
Plus vous discutez ou vous opposez, plus vous alimentez un conflit présent ou sous-jacent. Il faut s'imposer, imposer ses choix, et prendre ses distances si besoin. Ne culpabilisez pas de ne pas prendre tous ses appels, ni de ne pas assister à toutes les réunions familiales. Surtout si elles vous pèsent.