Sur un avion, les forces aérodynamiques sont décomposées en une force de traînée, qui s'exerce dans la direction opposée à la vitesse de l'avion, et une force de portance, dirigée vers le haut, qui s'exerce dans une direction perpendiculaire à cette vitesse.
Quand l'air frappe les ailes de l'avion, il change de direction : il est dévié vers le bas. L'aile exerce une force et pousse l'air vers le bas. En réaction, l'air exerce une force dans le sens opposé et pousse l'aile vers le haut : ça la fait monter. C'est aussi grâce à ça que l'avion s'élève et peut rester en l'air.
Celui qui le dirige est appelé pilote ou aviateur.
Les avions circulent dans le ciel sur des autoroutes de l'air. Sur la quasi-totalité des routes aériennes, une altitude correspond à une direction et une vitesse, et les avions sont donc alignés à grande distance les uns derrière les autres à vitesse stable, gardant un espacement constant.
Où dorment les pilotes ? Dans la zone de repos de l'équipage, bien sûr. Celui-ci est situé dans le lobe supérieur à l'avant de l'avion.
L'air qui se déplace plus lentement pousse plus fort sur l'aile que l'air qui se déplace plus rapidement. L'air sous l'aile pousse donc l'avion vers le haut, c'est pour cela que les avions restent dans le ciel et ne tombent pas.
Mise à jour : Les explications de l'Armée de l'Air
Ils volaient à basse altitude mais dans le strict respect des procédures." Si le survol de la région est assez classique, notamment du fait de la présence d'une base à Creil, les survols à basse altitude sont moins fréquents.
La portance est une force liée à l'effet du vent sur l'aile qui attire l'avion vers le haut. C'est elle qui permet de faire décoller un avion et de le maintenir dans les airs. À l'inverse, le poids est une force qui attire l'avion au sol.
Bien que la marche arrière soit possible pour les avions équipés d'inverseurs de poussée, celle-ci est rarement effectuée près des installations au sol, et cela pour des raisons de sécurité !
En principe, un avion peut reculer grâce à son propre système de propulsion, mais il consomme alors une quantité importante d'énergie. En outre, cela provoque beaucoup de bruit et d'émission de CO2, ce qui entraînerait une pollution supplémentaire indésirable.
Mais pourquoi monter si haut ? Pour s'éloigner des reliefs, passer au-dessus des nuages et éviter les turbulences ? Oui, mais essentiellement plutôt pour des raisons de densité de l'air. Plus on monte en altitude, moins l'air en effet oppose de résistance à l'avion et plus les moteurs sont efficaces.
Pour les avions
En général, les aéroports se ferment aux vols commerciaux entre 23h et 06h du matin, afin de respecter des accords en matière de nuisances sonores. En pratique, ce n'est pas une règle universelle puisqu'il n'est pas rare, surtout l'été, de voir des vols commerciaux atterrir après 2 ou 3h du matin.
Les feux. Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol.
En effet, au décollage ou à l'atterrissage, le personnel de bord a besoin que les stores des hublots soient ouverts afin de pouvoir s'apercevoir le plus rapidement possible s'il y a un problème à l'extérieur de l'avion. Ainsi, il n'y a aucun angle mort ou presque.
L'avion de chasse F-22 Raptor de l'USAF est largement considéré comme le plus puissant des avions de chasse et n'est pas vendu à d'autres pays.
Il est utilisé par l'armée américaine pour transporter des troupes et du matériel médical. Il est le chasseur le plus cher du monde avec un prix unitaire de 310 millions d'euros. Construit par les américains, il est pour l'instant le meilleur avion de chasse au monde. Il coûte près de 2,1 milliards d'euros !
Le bruit aérodynamique est dû aux turbulences aérodynamiques créées autour de l'avion. Le bruit des volets, des becs et du train d'atterrissage en sont des exemples.
Alors, que se passe-t-il pendant cette phase ? Anthony Brickhouse : Généralement au décollage et à l'atterrissage, l'avion vole bas, et lentement. Et quand des problèmes surviennent, les pilotes ont peu de temps pour réagir.
La fatigue provoque des erreurs humaines
Le corps ayant normalement envie de dormir pendant les heures de noirceur, la fatigue se fait sentir pendant la plupart des vols de nuit. Elle diminue la rapidité de réaction, réduit la concentration et altère les aptitudes à la prise de décision.
Tant que l'avion a de la vitesse, l'air s'écoule au dessus et en dessous de son aile et il est capable de voler. Si les moteurs ne fonctionnent pas, on ne peut pas maintenir sa vitesse en gardant son altitude et on se met donc en descente.
La première n'est autre que le port d'une couche pour adulte, ce qui n'est pas franchement confortable. La seconde est tout simplement de se retenir de faire ses besoins, mais là encore, les contraintes sont peu acceptables.
Lorsque la trappe de sortie de secours est correctement verrouillée, les crochets verrouillés s'engagent dans les cages des galets supérieurs. Galet inférieur. Les galets inférieurs mettent la sortie de secours en ligne avec le fuselage pendant la mise en place de la sortie de secours.
galley. Dans l'aviation, ce terme vient de l'anglais et signifie cuisine. Ces la partie de la cabine d'un avion où est situé l'essentiel de l'armement commissariat, les fours, les trolleys…