Changer ses habitudes Quand on est motivé à faire des changements, on a envie d'aller vite, de tout faire en même temps. Mais prendre des habitudes demande du temps et parfois de l'énergie (perdre du poids, faire du sport,…). Mieux vaut donc faire les choses de manière plus lente mais certaine.
La première cause du manque de motivation est la fatigue et le surmenage. Quand vous êtes fatigué, vous avez moins d'énergie pour agir et donc moins de motivation. Quand vous dormez mal la nuit par exemple, vous avez ensuite beaucoup plus de mal à vous motiver à faire des choses le lendemain.
Le cardiologue et nutritionniste Frédéric Saldmann le rappelle pourtant : "Pour être en bonne santé physique et mentale, on a besoin d'être en mouvement". Même si la motivation est absente, il est primordial de bouger et de prendre l'air. Au risque de rencontrer certaines déconvenues.
Il y a plusieurs maux qui renforcent ce manque de motivation : la dépression, le burn-out, la schizophrénie, troubles alimentaires sont quelques causes psychologiques.
La névrose d'anxiété peut être une autre raison pour ranger les choses. Les personnes qui en souffrent ressentent une agitation permanente. L'inquiétude pour leur propre santé, leur sécurité et leur famille occupe beaucoup de leur temps et il ne leur reste plus assez de temps pour faire autre chose.
Causes liées à l'environnement :
La démotivation peut résulter d'un mauvais management. Le milieu de travail est souvent le domaine le plus touché par la démotivation : tâches répétitives, sentiments de ne pas progresser, manque de reconnaissance de la hiérarchie, mauvaise ambiance générale...
"Il ne faut pas attendre d'être parfait pour commencer quelque chose de bien." “Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait.” “N'aie pas peur d'avancer lentement. Aie peur de rester immobile.”
Méditation, yoga et massages favorisent la production de sérotonine. Pour nous aider à nous sortir des affres de la vie moderne, c'est encore à un sage des temps anciens que les neurosciences nous renvoient aujourd'hui : Bouddha, notamment pour son éloge de la méditation.
La précrastination est souvent le réflexe de personnes consciencieuses, perfectionnistes mais aussi anxieuses. On pourrait se dire que c'est un bon réflexe car nos tâches sont faites immédiatement, mais cela pose plusieurs problèmes : Perte d'efficacité : Pour être efficace, on doit s'organiser.
Cela peut être une situation dépressive. Mais si vous sentez que vous fonctionnez encore, si ce sont des hauts et des bas, et si vous vous reconnaissez dans le tempérament introverti, alors ces envies de ne plus voir personne peuvent être intimement liées à votre fonctionnement introverti.
La tristesse sans raison apparente peut être déroutante, surtout lorsque tout semble aller bien dans votre vie. Parfois, cette tristesse peut être le signe d'un trouble anxieux ou d'un stress chronique. L'anxiété peut se dissimuler derrière d'autres symptômes, tant mentaux que physiques.
Excès de stress : Un sentiment de mal-être peut également survenir lorsque vous faites face à un problème spécifique dans votre vie qui vous stresse plus que vous ne le pensez. Dans ces cas, le fait de subir des niveaux élevés de stress peut entraîner une dérégulation émotionnelle ainsi que des sautes d'humeur.
Le terme tachypsychie provient des mots grecs « tachy », qui signifie rapide et « psyche » qui signifie âme. Il s'agit non pas d'une maladie, mais d'un symptôme psychopathologique caractérisé par une accélération anormale du rythme de la pensée et des associations d'idées créant un état de surexcitation.
La méditation vous exerce à libérer votre esprit des idées du passé et des soucis de l'avenir, à vous concentrer sur le moment présent comme sur votre respiration. Elle peut clarifier vos pensées et réduire votre stress. Rire fait toujours du bien : le corps libère de l'endorphine, comme lors de l'activité physique.
Le plus souvent, cette forme d'asthénie est due à une dépression, à des troubles anxieux, à une phase dépressive d'un trouble bipolaire ou à des troubles du comportement alimentaire (anorexie mentale plus particulièrement).
La fatigue mentale est également le signe d'alerte d'un risque de surmenage (burn out), de fatigue chronique, de dépression légère ou d'une anxiété. Dans tous les cas, il faut prendre cette fatigue au sérieux, en explorer les causes et les symptômes associés par l'écoute du patient et son interrogatoire.