La luxure, c'est la recherche déréglée des plaisirs sexuels et plus généralement la prédominance accordée aux plaisirs de la chair. C'est la part animale dans tout ce que cette part a d'incontrôlable mais aussi de fondamentalement dérangeant.
La liste des sept péchés de la chrétienté comprend l'avarice, l'envie, la paresse, la gourmandise, l'orgueil, la luxure et la colère, les définitions en bleu ci-dessous étant issues de Wikipedia.
La liste que nous connaissons aujourd'hui a été fixée par Thomas d'Aquin. Elle pointe l'orgueil et l'envie comme vices irrécupérables et place gourmandise et luxure en bas de l'échelle. Au centre, la colère, l'avarice et la paresse.
C'est le pape Grégoire le Grand mort en 604, dans un passage de ses Morales sur Job , qui fit de l'orgueil la « racine de tous les maux ». En dériveraient les sept vices principaux : vaine gloire, envie, colère, tristesse, avarice, gourmandise et luxure.
« le Prophète a dit des péchés capitaux : "Ce sont : le polythéisme, l'ingratitude envers les parents, le meurtre et le faux témoignage". »
Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu. La passion peut indirectement mouvoir la volonté, et cela de deux façons: – En épuisant l'énergie de la volonté.
violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
Car, comme Bouddha semblait le penser : « S'accrocher à la rage, c'est comme attraper un charbon ardent dans l'intention de le jeter sur quelqu'un : c'est vous qui vous brûlez. » Pas étonnant de fait, qu'au-delà de la liste des péchés capitaux, l'on retrouve la colère parmi les « trois poisons » du bouddhisme qu'il ...
Un moment important dans l'histoire du blasphème est celui où fut inventé le huitième péché capital, le « péché de langue » (peccatum linguae), au milieu du xiii e siècle.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
Péché de chair : désigne le péché de luxure. Doux péché : désigne un péché qui ne semble pas provoquer de conséquences néfastes immédiates ou futures car il est lié au plaisir et au bien être. Cette expression est une manière de s'excuser, mais surtout de relativiser son acte.
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
- Le péché véniel est une désobéissance légère à la loi divine par laquelle on ne manque que légèrement à quelque devoir envers Dieu, envers le prochain, et envers soi-même.
Dans le christianisme il désigne un péché capital, celui qui donne le sentiment d'être plus important et plus méritant que les autres, de ne rien devoir à personne, ce qui se traduit par un mépris pour les autres et le reste de la création et un rejet de la révélation et de la miséricorde divines.
Par exemple, un moyen mnémotechnique de se rappeler des sept péchés capitaux : il faut retenir le groupe nominal « Ce galop », pour « Colère, Envie, Gourmandise, Avarice, Luxure, Orgueil, Paresse ».
Christianisme. L'envie est désignée comme vice par la tradition chrétienne et fait partie des Sept péchés capitaux définis par Thomas d'Aquin. Dans ce cadre, elle désigne plus particulièrement la convoitise ou émotion éprouvée par celui qui désire intensément posséder le bien d'autrui.
Ce sont l'orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, la négligence spirituelle), la luxure, l'avarice, la colère et l'envie.
« La communion sacramentelle peut ne pas être possible pendant un très long intervalle à cause des différentes infirmités que Dieu envoie à sa créature pour l'éprouver, mais cette privation, lorsqu'elle ne dépend pas de nous, n'empêche pas la sainteté.
On pourrait définir la chair de façon neutre comme la condition humaine. D'un autre côté, la chair est la puissance « d'inclination spontanée au mal »21. C'est en elle que Paul situe la source la plus profonde de la révolte contre Dieu — de ce que l'anthropologie biblique identifie comme le péché.
Suivant le catéchisme de l'Église catholique, un péché est mortel s'il a pour objet une « matière grave » et s'il est commis en pleine conscience et avec un entier consentement, à la différence du péché véniel qui affaiblit la grâce divine sans la supprimer.
Ordre et méthode. Dans une perspective chrétienne, l'exploration ne doit pas nécessairement être exhaustive, mais elle doit conduire à une attitude intérieure d'humilité, de repentir et de dépendance de Dieu. Il est inutile de chercher à se justifier devant Dieu.
Pour les théologiens du Moyen Âge, comme le rapportent Carla Casagrande et Silvana Vecchio dans leur ouvrage Histoire des péchés capitaux au Moyen Âge, l'avarice est l'amour excessif de la possession de richesses, le plaisir particulier de l'âme, la possession, et de l'esprit, la jouissance de la possession.
Mon Dieu, je vous offre mon cœur, mon esprit, mes pensées, mes paroles, mes actions, tout moi-même, pour ne servir que votre gloire. Je renouvelle les promesses de mon baptême. Mon Ange gardien, je vous remercie de m'avoir gardé pendant ce jour ; offrez à Dieu tous les battements de mon cœur pendant que je dormirai.