Chez les individus présentant cette déficience en ALDH, on observe une accumulation d'acétaldéhyde dans le sang, avec pour conséquences un flushing qui se manifeste par un érythème (rougeur) transitoire de la face, de la nuque et de la poitrine ainsi que d'autres symptômes tels que céphalées et nausées.
Une intolérance à l'alcool arrive rarement sans raison, c'est souvent très en lien avec l'état psychologique dans lequel on se trouve lorsque l'on consomme. D'autres facteurs peuvent être mis en cause, comme la fatigue ou le stress,mais nous ne sommes pas compétents pour vous donner un avis médical.
Symptômes de l'intolérance à l'alcool
Nausées, vomissements. Douleurs abdominales, diarrhées. Flush au visage (rougeur subite), bouffées de chaleur, sueurs, sensations thermiques perturbées. Urticaire et démangeaisons des extrémités (mains, pieds, oreilles), du torse, des fesses et des cuisses.
Certaines personnes ont un déficit en aldéhyde déshydrogénase, ce qui entraîne un taux trop élevé d'acétaldéhyde dans le sang. “Cela peut causer une rougeur de la peau, et aggraver les symptômes habituellement associés à la 'gueule de bois',” indique le Dr Uren.
Les symptômes les plus fréquents comprennent une rougeur du visage et du cou, un rythme cardiaque rapide, une respiration sifflante, de l'urticaire, des étourdissements, des maux d'estomac avec diarrhée, une chute de tension artérielle, des picotements de la région de la bouche ou des difficultés à avaler.
Ces conservateurs sont surtout retrouvés dans les vins, en quantité plus importante dans les vins blancs et rosés, moins dans les vins rouges. En France, depuis le 25 novembre 2005, les bouteilles doivent mentionner la présence de sulfites si la teneur excède 10 milligrammes par litre.
Parmi les répondants, 68 personnes disent éprouver des malaises après avoir consommé du vin : rougeurs sur la peau, démangeaisons et écoulements nasaux sont les plus fréquemment observés. Mais il en y a d'autres : maux de ventre, accélération du rythme cardiaque et diarrhée sont souvent ressentis.
Si l'on boit un verre assez lentement pour qu'il dure une heure, il est peu probable que l'on s'enivre. Mais dès que l'on boit davantage, ou la même quantité mais plus rapidement, le foie est débordé. L'excès d'alcool se retrouve dans le sang et imprègne chaque organe du corps, y compris le cerveau.
Le processus d'élimination est incompressible. Le foie met en moyenne une heure pour éliminer entre 0,15 et 0,25 g d'alcool par litre de sang par heure.
Si l'estomac et l'intestin ne contiennent pas de nourriture solide, l'alcool entre plus rapidement en contact avec les parois intestinales et il est vite absorbé dans le sang. L'absorption peut alors se terminer 30 minutes après la consommation.
Il peut s'agir d'une réaction de type allergique à certains composants de l'alcool mais il est possible aussi que vous soyez dépourvue de certaines enzymes permettant de métaboliser, c'est-à-dire de transformer l'éthanol dans votre organisme.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
La douleur chronique
L'alcool est connu pour ses effets analgésiques. 25 % des personnes qui souffrent de douleur chronique l'utilisent pour se soulager. Par exemple, cette situation semble notamment présente chez certaines personnes souffrant de douleurs au dos chroniques et complexes.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
L'affection musculaire due à l'alcool s'appelle également «myopathie musculaire». Elle peut être soit aigüe, soit chronique. La myopathie aigüe engendre des douleurs peu après la consommation d'alcool. Alors que la myopathie chronique se développe au fur et à mesure.
Notez cependant que le vin rouge reste, nonobstant ses effets nocifs sur la peau, l'alcool le moins dommageable pour la santé. Consommé en petites quantités, il peut même avoir des effets positifs, comme la réduction des troubles de l'érection ou encore l'amélioration de la santé cardiovasculaire et du sommeil.
Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L'haleine commence à trahir l'addiction et les cheveux deviennent ternes. Mais d'autres indices peuvent alerter, comme un laisser-aller général : du désordre, des machines à laver en retard, de la nourriture périmée dans le frigo...
Un ventre qui dégonfle
"Un ventre gonflé est typique des buveurs de bière par exemple, ce sont des gens très minces avec des gros ventres à cause de l'alcool, de son action déshydratante sur l'organisme et du manque d'eau" argue le spécialiste.
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Une déficience génétique
Il s'agit en fait d'une mutation génétique qui touche jusqu'à 1/3 de certaines populations asiatiques, chez qui le gène permettant de métaboliser l'alcool est déficient. « Au départ, on a tous un gène qui permet de se débarrasser de l'alcool, qu'on appelle déshydrogénase (ADH).
Quels sont les symptômes d'une intolérance alimentaire ? Les intolérances alimentaires se traduisent par des maux de ventre, des nausées et des vomissements, des diarrhées, des ballonnements, des réactions de la peau de type rougeur ou boutons, des maux de tête, des sueurs froides ou une sensation de mal-être.
Résumé Le syndrome de Widal (SW) (également connu sous le nom de triade de Samter, maladie respiratoire exacerbée par l'Aspirine) est une entité clinique caractérisée par la triade comprenant un asthme, une polypose nasale et une intolérance aux AINS.
Les sulfites peuvent déclencher de l'asthme et les symptômes d'un choc anaphylactique. De nombreuses personnes asthmatiques peuvent aussi avoir une sensibilité aux sulfites. Un allergologue pourra vous confirmer une sensibilité aux sulfites. Si c'est le cas, il faut éviter les sulfites.