Les bactéries se nourrissent de matières organiques : sucres, amidon, cellulose, protéines, matières grasses, hydrocarbures… Elles fabriquent des enzymes qui vont permettre la dégradation (destruction) des macromolécules (grosses molécules) et leur transformation en molécules simples pour utiliser leur nourriture.
En 1917, Félix d'Hérelle découvre un microbe qui tue le bacille de la dysenterie. Il le baptise « bactériophage », mangeur de bactéries. Dans les années 1920 et 1930, la thérapie par les phages devient très populaire.
Les bactéries vivent dans pratiquement toutes les niches environnementales de la biosphère. Elles peuvent ainsi utiliser une très large variété de source de carbone et/ou d'énergie.
Les conditions de vie (nourriture , acidité du milieu, disponibilité de l'eau et des gaz) peuvent être favorables ou défavorables. Devant les difficultés, les bactéries optent pour une méthode de défense : la sporulation. Mode "de vie" qui les rend plus difficiles à combattre.
Dotés d'une membrane cellulaire et d'un matériel génétique (ADN), les bactéries sont capables d'assumer les fonctions élémentaires propres au vivant : se reproduire, transmettre l'information génétique, mais aussi tirer matière et énergie de l'environnement.
À partir de 60°C, la chaleur tue une partie des microbes (avec un lavage en machine par exemple) ; À partir de 120°C, la vapeur d'eau tue également les microbes (avec un fer à repasser par exemple).
La bactérie est un être vivant et microscopique (microbe). La bactérie est le tout premier être vivant apparu sur la Terre. Elle possède son matériel génétique contenu dans une seule cellule composée d'un noyau protégée d'une membrane.
La bactérie se multiplie par fission binaire : la bactérie grandit puis se divise en deux cellules filles séparées par un septum de division formé par la paroi cellulaire. Durant la division, l'ADN se duplique ainsi que les autres constituants.
Les bactéries prolifèrent généralement dans la lymphe, liquide où baigne l'ensemble de nos cellules, elles y trouvent des conditions favorables à leur développement, présence de nutriments, température….
En 1673, Antoni Van Leeuwenhoek (1632-1723) fut le premier à observer les bactéries qu'il appela animalcules. En plus de la première description des globules rouges et des spermatozoides, ce drapier hollandais observa pour la première fois les bactéries et décrivit leur différentes formes.
Ce sont des organismes procaryotes qui ne possèdent pas de noyau, mais un ADN chromosomique circulaire situé dans le cytoplasme. De nombreuses bactéries contiennent une autre structure d'ADN extra-chromosomique, appelée plasmide. Elles sont entourées d'une paroi complexe et possèdent souvent des flagelles.
La reproduction, toujours asexuée chez les bactéries, peut se faire de deux manières : par multiplication des cellules ou scissiparité, chaque cellule se divisant par cloisonnement en deux autres cellules qui s'allongent en restant unies et constituent des chaîne ou bâtonnets plus ou moins allongés, ou bien se séparent ...
Des températures plus basses empêchent les bactéries de se développer et d'atteindre des niveaux dangereux. Les températures supérieures à 60 °C tuent les bactéries.
Chez les bactéries, il s'agit d'une division cellulaire, on parle donc plutôt de croissance bactérienne ou encore, effectivement, de scissiparité. La cellule-mère grandit puis se divise, pour donner au final deux cellules-filles génétiquement identiques.
Plus un aliment contient d'eau, plus les bactéries s'y développeront facilement. Plus un aliment est sec, plus sa durée de conservation est longue. Beaucoup de bactéries se développent sur et dans les aliments riches en nutriments (sucre, protéines, lipides, sels minéraux) et en vitamines.
Les bactéries sont des micro-organismes vivants capables de se reproduire seuls grâce à la division cellulaire, à l'inverse des virus. Elles peuvent survivre dans des conditions extrêmes et se retrouve dans l'eau, l'air ou le sol.
La congélation ne détruit donc pas les micro-organismes (par exemple les bactéries) responsables de la dégradation des aliments ; elle ne fait que stopper leur développement pendant leur stockage à −18 °C ; comme les réactions enzymatiques ne sont que ralenties, il est utile avant la congélation de blanchir les ...
Contre les bactéries, on aura plutôt recours aux antibiotiques. Les antibiotiques, lorsqu'ils sont prescrits, doivent être pris durant toute la durée du traitement, et ce, même si l'état du patient s'améliore.
Les bactéries (aéro)anaérobies peuvent respirer d'autres molécules que le dioxygène. En effet, leurs chaines respiratoires peuvent utiliser d'autres molécules (en tant qu'accepteur terminal d'électrons). Certaines bactéries peuvent ainsi respirer du fer (Fe3+), des nitrates (NO3-) ou diverses molécules organiques.
Il s'agit selon les cas d'une plaie qui s'infecte, d'un furoncle, d'un germe qui colonise les bronches ou les poumons... Si l'infection reste en général localisée et confinée au premier site, les bactéries peuvent parfois passer dans le sang et être charriées par la circulation sanguine dans tout l'organisme.
« Thiomargarita magnifica » mesure jusqu'à deux centimètres, ressemble à un « cil » et bouscule les codes de la microbiologie, décrit à l'AFP Olivier Gros, professeur en biologie à l'Université des Antilles, coauteur de l'étude.
Les virus sont des microbes, c'est-à-dire des “petits êtres vivants”. Ils ne se voient pas à l'œil nu et provoquent des maladies. Les bactéries sont également des microbes mais il ne faut pas les confondre car leur mode d'action est complètement différent.
BACTÉRIES. Les infections bactériennes peuvent être des otites, angines, infections de la peau (panaris, abcès…), diarrhées, infections urinaires et génitales. La prescription d'antibiotiques peut être nécessaire pour lutter efficacement contre la bactérie impliquée.