La gestation pour autrui, communément appelée GPA, est une technique de procréation médicalement assistée. Elle consiste à implanter un embryon, issu d'une fécondation in vitro (FIV) ou d'une insémination, dans l'utérus d'une mère porteuse qui remettra le bébé à un couple demandeur à sa naissance.
"Mère porteuse" est l'appellation donnée à une femmes qui consent, généralement moyennant rétribution, à porter pendant le temps de la fécondation, un ovocyte provenant d'une autre femme. A la naissance, la mère porteuse remet le nouveau-né à la mère d'intention.
Prix de la GPA : combien coute une mère porteuse ? Dans les pays où la GPA est autorisée, les prix sont élevés. C'est le traitement de procréation médicalement assistée le plus onéreux. Au total, le prix moyen peut osciller entre 50.000 et 180.000 euros.
La candidate mère porteuse :
La candidate doit subir de façon concluante quelques tests médicaux et psychologiques. La candidate doit déjà avoir sa propre famille et ne doit plus avoir le souhait d'enfanter. La candidate doit avoir mené à terme au moins une grossesse (sans complications majeures).
Plusieurs pays européens, dont la France, interdisent la GPA : l'Allemagne, la Belgique, l'Espagne, l'Italie, le Luxembourg, etc. D'autres pays, en revanche, autorisent le recours aux mères porteuses : le Danemark, les Pays-Bas, la Russie, la Grèce, le Canada, certains états fédérés américains, l'Inde, etc.
À Hollywood, de nombreuses stars ont recours à la gestation pour autrui (GPA) pour avoir un enfant. Pour les Français, alors que la GPA est interdite en France, il s'agit souvent de faire appel à une mère porteuse américaine.
Le vocabulaire employé pour nommer la mère porteuse varie : elle est parfois aussi appelée gestatrice, femme porteuse, « mère de substitution », ou simplement « mère » lorsque le droit s'appuie sur le principe que la mère est celle qui accouche (mater semper certa est, « la mère est toujours certaine » en latin).
Cette technique de procréation, qui vise à recourir à une mère porteuse pour avoir un enfant, est strictement interdite en France au nom du principe d'indisponibilité du corps humain.
VittoriaVita recherche indépendamment des femmes qui sont prêtes à devenir les mères porteuses gestationnelles et à aider les couples infertiles. L'agence les examine et organise une procédure de FIV. Plus tard, nos médecins suivent la grossesse et surveillent l'état de santé de la mère porteuse.
Souvent associée au débat bioéthique de la procréation médicalement assistée (PMA), la gestation pour autrui, ou GPA, est le fait d'avoir recours à une "mère porteuse" pour le compte d'un couple tiers.
La première substitution gestationnelle réussie —une GPA où la mère porteuse n'est pas la mère biologique de l'enfant à naître, conçu à partir de l'ovocyte d'une donneuse— date de 1985, soit l'année de naissance de «Bébé M.».
La première raison de recours à la GPA est l'infertilité féminine, qui peut être causée par un utérus en dysfonctionnement ou une absence de ce dernier. Dans certains cas, et même si l'utérus fonctionne, le médecin soumet une contre-indication à la grossesse si celle-ci présente un risque trop élevé pour la femme.
Les conditions pour avoir recours à la GPA
La GPA peut se définir ainsi : une femme accepte de porter un fœtus dans le but de confier un bébé à un parent d'intention après sa naissance. Il faut donc qu'une femme, proche des parents d'intention (une amie, une sœur, une cousine…) soit d'accord pour porter un enfant.
La principale différence entre la PMA et la GPA est qu'il n'est pas illégal de procéder à une PMA à l'étranger, contrairement à la GPA. Cela provoque une véritable différence de traitement pour ceux ayant recours à la PMA à l'étranger. Certains couples de femmes ont procédé à l'insémination artificielle à l'étranger.
Pour résumer et pour répondre à la question de façon terre à terre, les femmes portent les bébés tout simplement parce qu'elles sont "équipées pour", ce qui n'est pas le cas des hommes. Quant à savoir pourquoi il en est ainsi, il s'agit là d'un autre de ces grands mystères de la nature !
La gestation pour autrui, communément appelée GPA, est une technique de procréation médicalement assistée. Elle consiste à implanter un embryon, issu d'une fécondation in vitro (FIV) ou d'une insémination, dans l'utérus d'une mère porteuse qui remettra le bébé à un couple demandeur à sa naissance.
La gestation pour autrui (GPA) est formellement interdite en France. Plusieurs cas de couples gays ayant un ou des enfants ont été médiatisés, mais c'est une situation qui reste rare. Ceux qui en ont les moyens financiers se tournent vers les pays qui autorisent la GPA.
Dans la plupart des agences de donneuses, il suffit de s'inscrire pour accéder gratuitement à une base de données de donneuses. On rentre ensuite ses critères (physiques, mais aussi sur l'anonymat ou non de la donneuse). Le règlement des frais d'agence est demandé pour « confirmer » le choix d'une donneuse.
En effet, le principe en France est celui de l'indisponibilité de l'état des personnes et de la filiation : la mère d'un enfant est sa mère biologique, autrement dit celle qui accouche, indifféremment de l'existence d'un accord entre celle-ci et le couple.
Femme qui porte un enfant qu'elle n'a pas conçu naturellement afin de le donner après la naissance.
Si Kim Kardashian et Kanye West s'apprêtent à devenir parents pour la quatrième fois dans les prochains mois, ils n'ont en revanche pas fait appel à La'Reina Haynes, la mère porteuse qui a donné naissance à leur petite Chicago le 15 janvier 2018.
"Ne pas mettre son corps à plus rude épreuve encore". C'est ainsi que Khloe Kardashian aurait soutenu son choix personnel : celui d'avoir recours à une mère porteuse pour la naissance de son deuxième enfant - qui sera un garçon.
Il n'existe pas de centre de recrutement de mère porteuse en Belgique et tout recrutement commercial est tout à fait interdit. Les mères porteuses sont donc des mères porteuses « relationnelles », le plus souvent des membres de la famille ou des amies proches du couple intentionnel.