L'avant-veille est jour de repos! Vous pouvez au mieux réaliser un programme d'étirements poussé. La veille de la compétition, réalisez tout au plus un petit footing, pourquoi pas agrémenté de quelques brefs sprints pour obtenir une bonne sensation du rythme. À part ça, oubliez l'entraînement et reposez vos jambes!
Faire une préparation mentale ressemble beaucoup à une préparation physique. Il faut connaitre son niveau actuel, avoir un objectif pour savoir où on veut aller. Ensuite, on met en place un programme pour progresser.
On ne peut pas changer les autres, par contre on peut modifier notre perception de l'autre … Apprendre auprès d'un professionnel expérimenté quelques exercices respiratoires très simples, à mettre en place quand les tensions sont présentes. Savoir faire ces quelques exercices au repos, mais aussi pendant l'effort.
La méthode reine de l'entrainement mental, c'est la visualisation. La visualisation consiste à s'imaginer mentalement réussir une action ou même un match tout entier. Le fait de se visualiser réussir nous familiarise avec cette idée et nous permet de mieux prendre conscience que nous en sommes capables.
L'organisation de l'avant match doit être bien réalisée.. Les petits "rituels" ( mettre toujours les mêmes chaussettes en match, prendre le même petit-déjeuner, s'échauffer de la même manière...) permettent ainsi de se concentrer, de s'apaiser et donc de mieux maîtriser son stress.
"L'échauffement doit être progressif. Il faut d'abord faire monter tranquillement la fréquence cardiaque. Puis se déverrouiller avec un peu de mobilisation musculaire. Plus on va se rapprocher du match, plus on va mettre de l'intensité, avec l'idée de débuter la partie en étant un peu transpirant."
Un footing la veille
Très peu de coureurs le font mais ça devrait presque être obligatoire !! Alors qu'on soit clair, il ne faut pas faire un footing de 1h ou 1h30, on est d'accord, mais 20 à 30 minutes, c'est très recommandé !
Le footing de veille de course est idéal pour entrer mentalement dans sa course. Les sensations des veilles d'épreuves chronométrées peuvent être très différentes. Que l'on ait l'impression de voler ou au contraire les jambes lourdes, cela n'augure que rarement du résultat du lendemain.
Les poils de la barbe sont des récepteurs, et transmettent un influx nerveux - qui est une activité électrique - dans les nerfs et vers le cerveau. Ainsi, on dit que se raser la barbe - ou s'épiler les jambes chez les coureurs et cyclistes - couperait cet influx nerveux et aurait un impact sur la forme du jour.
Ressentez votre respiration souple et détendue, votre regard de vainqueur, votre envie de réaliser une bonne course. Vous pouvez aussi utiliser la respiration dans une action future, redoutée ou non. Par exemple, pensez les yeux fermés à une situation difficile, recherchez votre respiration, écoutez, ressentez.
Mangez léger et simple (le temps du stockage est dépassé) et pensez à vous hydrater régulièrement. Jusqu'au dernier moment, essayez de vous tenir à l'écart de la foule : écoutez de la musique, regardez un DVD, lisez un livre, etc. Bref, une activité de détente qui détournera votre esprit du stress de la course.
Le Numéro 1 : le gardien de buts
Aujourd'hui dans le football moderne, le gardien de buts est obligé de savoir jouer avec les pieds pour jouer les ballons sur passes arrière ou quand sa défense se trouve haut sur le terrain (dans ce cas, le gardien joue loin de ses cages).
Il faut se concentrer sur ses points forts, se comparer à soi-même plutôt qu'aux autres, pratiquer l'imagerie mentale et prendre confiance au fil de la compétition. Vous savez peut-être que vous avez du talent mais votre manque de confiance en vous vous empêche de l'exprimer pleinement.
Pour travailler son pied faible, il existe des exercices de bases comme les jongles. Les jongles permettent d'alterner et d'utiliser les deux pieds. Ceci fait progresser le joueur de son mauvais pied et permet d'amplifier sa progression. Pour augmenter sa puissance de frappe foot, les passes sont aussi conseillées.
Lorsque nous sommes au-dessus de notre zone optimale, le stress joue un rôle négatif : L'augmentation des tensions musculaires conduit le sportif à dépenser plus d'énergie pour un même effort et peut affecter la coordination. L'attention et la concentration ont tendance à être perturbées.