Racontez une histoire
Commencer une présentation par une anecdote en lien avec le sujet principal de votre oral est en effet l'une des techniques les plus efficaces pour capter l'attention de votre public, dès les premiers instants.
Donnez votre poste, votre grade et votre statut. Par exemple : «Je suis actuellement chef du service Propreté urbaine. Je suis ingénieur territorial contractuel.» En une phrase, vous expliquez quels sont votre niveau de responsabilité, votre grade actuel et votre statut.
Regardez ce jury - en souriant - tout en avançant vers votre chaise et en prononçant de façon très audible la formule "Bonjour Madame, bonjour messieurs" ou Bonjour Mesdames, bonjour Monsieur" - ou la formule adaptée. Ne dites pas simplement "Bonjour". Prenez et occupez le temps et l'espace. Soyez conquérant.
Pour commencer
Je vais vous parler de quelque chose qui va vous intéresser. Bon, je crois que je vais commencer. Saluer et se présenter Bonjour, je m'appelle / je suis ... S'adresser à des participants Avez-vous déjà entendu parler de… / lu...?
Il faut parler de soi (état-civil, âge, formation, expérience), de ses qualités (ou de ce qu'on dit de vous), de vos goûts et centres d'intérêt et du pourquoi vous êtes ici en entretien. C'est un bon prétexte pour montrer sa motivation et son intérêt pour le poste et l'entreprise.
Votre phrase d'introduction sera la première phrase de votre paragraphe. Par conséquent, elle doit préciser clairement et brièvement l'idée que vous traiterez. Elle doit comprendre un thème et une opinion ou une idée principale. Gardez à l'esprit qu'il ne s'agit pas seulement d'annoncer l'objet.
Pour remercier à la fin d'une soutenance, vous pouvez dire : « Je tiens à remercier tout le monde pour votre présence et votre attention pendant ma soutenance. » « Je suis très reconnaissant envers les personnes qui m'ont permis de présenter mon travail aujourd'hui, et je suis ravi de répondre à vos questions. »
« Salut est une expression très usitée dans le français oral, nous l'utilisons aussi bien dans un entourage familial qu'amical. Les jeunes comme les générations d'après s'apostrophent de cette façon. « Hello », bien qu'il s'agisse d'une expression anglophone.
Pour le grand honneur qu'ils nous font en acceptant de juger ce travail. Nous vous remercions de l'honneur que vous nous avez fait en acceptant de présider notre jury. Nous vous remercions de votre enseignement et nous vous sommes très reconnaissants de bien vouloir porter intérêt à ce travail.
Je m'appelle + prénom (nom). Exemple : je m'appelle Audrey (Dupont). En français, on donne d'abord son prénom et ensuite son nom.
Quelques mots sur qui vous êtes suffisent ! Par exemple, vous pouvez donner votre nom, votre âge et dire ce que vous aimez faire dans la vie, tout simplement ! Pas besoin d'écrire un pavé, quelques phrases suffisent. Décrivez vos passions et expliquez d'où elles vous viennent et comment vous les vivez.
Démarrez par votre présentation personnelle : déclinez votre identité. Vous n'êtes pas obligé d'évoquer votre vie privée dans les détails. Un exemple : si vous pensez que pour le poste votre statut de parent, ou votre âge, est un plus, parlez-en, sinon attendez que le recruteur vous pose la question.
"Bonjour à tous. Merci de me recevoir. Je m'appelle ______ _______ et je vais vous parler aujourd'hui de _______. Pour commencer, _______ est important parce que… »
Pour présenter une nouvelle idée, utilisez des mots de transition comme à ce propos, à l'égard de, à propos de, au sujet de, dans cet ordre d'idées, de ce point de vue, en ce qui concerne, pour ce qui est de, et tout d'abord.
Pour éviter d'écrire rebonjour , on peut employer une autre formule d'introduction, qui dépend de la relation qu'on entretient avec le destinataire, et donc du degré de formalité de l'échange.
Bonjour Madame / Bonjour Monsieur ; Madame / Monsieur ; Madame / Monsieur suivi du titre de la personne (Madame la Présidente, Monsieur le Directeur, etc.)
Les quatre formulations sont correctes. On peut évidemment dire aussi "merci à tous" et "bonjour à tous", le masculin pluriel englobant les hommes et les femmes, mais ces dernières aiment bien que l'on s'adresse aussi à elles, peut-être parce que, dans ce cas, on les cite en premier ! Bon dimanche...
Il n'y a pas de méthodes universelles pour conclure, mais il y a deux attitudes possibles : - reprendre brièvement ce qu'on a dit; - indiquer les perspectives futures. Elle rappelle clairement les points de la question traitée. Ainsi le lecteur ou l'auditeur conserve une vue nette et globale de la problématique.
Répondez à leur question, gardez le sourire. Si un des membres de jury pense ou voit différemment les choses, c'est son avis et cela lui appartient. Inutile d'aller au conflit avec lui. Respectez son point de vue et passez à la question suivante.
👉 Tu peux marquer le coup avec une accroche, c'est-à-dire une anecdote, un fait, une question, etc., reliée avec pertinence au sujet. Développe quelques secondes maximum, de façon à en arriver de manière logique à la question de ton Grand oral.
Plus l'accroche est proche du sujet, plus il est facile de passer à la suite de l'introduction. Une remarque étymologique peut faire une bonne accroche. Une question sur le (ou les) sens d'un mot du sujet aussi. On enchaîne ensuite de façon fluide vers la définition des termes et l'exposé de la problématique.
Comment faire une introduction ? L'introduction doit amener le sujet du contenu en incluant les éléments essentiels pour informer et éveiller la curiosité du lecteur. Le rédacteur commence par une accroche pour capter son attention, puis pose un contexte, énonce une problématique et aborde le plan à suivre.