Nos yeux se débarrassent des détails non nécessaires lorsque nous regardons une personne dans la vraie vie, et c'est pour cela que les gens autour de nous, nous voient de manière moins détaillée, alors que notre image sur une photo est modifiée par les détails qui sont mis en évidence.
UNE VERSION DE NOUS INVERSÉE
En outre, le miroir montre un reflet inversé de nous-mêmes : nous voyons la droite et la gauche à l'envers. Nous utilisons la moitié du visage qui se trouve à droite sur l'image pour nous reconnaître, selon une étude du Collège universitaire de Dublin.
Sauf que là encore, c'est à cause du miroir. En général, nous ne regardons que notre visage et notre reflet dans un miroir tandis que l'appareil photo va nous rendre une image bien plus globale de nous-même, nous faisant par alors découvrir certaines positions qu'on ne refera pas devant la caméra.
Vous remarquerez le plus de changement dans votre nez et vos yeux, tandis que les oreilles sont moins visibles. En termes simples, plus le téléphone est proche de votre visage, plus la distorsion se produira. Alors oui, ne vous inquiétez pas, vous n'avez pas un gros nez, c'est juste l'objectif de votre appareil photo.
Notre point de vue n'est pas unique, et les choses que nous voyons, nous ne les voyons pas telles qu'elles sont, mais telles que nous sommes. Si nous sommes négatifs, nous verrons tout comme négatif. Et c'est ainsi que les autres nous verront, comme une personne négative.
Par exemple, la manière dont vous vous comportez ou ce que vous montrez aux autres leur donne une image de vous que vous ne partagez pas forcément. Tout cela peut influencer positivement ou négativement. Imaginez, par exemple, que vous avez quelques kilos en trop et que les autres vous disent que vous êtes très bien.
Un trouble fréquent et invalidant
"La dysmorphophobie est un symptôme phobique, donc à ranger plutôt du côté des névroses.
Distorsion de perspective
La distorsion de perspective est la déformation de notre image par l'objectif du téléphone pendant le selfie, en fonction de la distance d'exposition. Les lentilles placées à l'avant de l'appareil sont de grands angles et cela crée une déformation globale du visage.
La caméra frontale déforme le visage
C'est même prouvé scientifiquement. La caméra frontale possède plusieurs lentilles et filtres qui forment à eux deux un objectif. Il est donc conçu pour prendre des scènes larges afin de capturer à la fois votre silhouette et le paysage qu'il y a derrière vous.
On est trop habitué à notre reflet dans le miroir
Or, dans la vie, on est rarement pile poil de face quand on s'adresse aux gens alors quand ces derniers ont le mauvais goût de vous prendre en photo sous un angle que vous n'avez pas l'habitude de voir, vous vous trouvez dégueulasse.
Pas la personne que les autres voient, puisque notre reflet dans le miroir est inversé par notre cerveau. Lève la main gauche, et la personne dans le miroir lèvera sa main droite. De notre coiffure jusqu'au sourire, notre visage n'est pas symétrique.
Le miroir : symbole de la vérité
Cependant, quelque soit la culture, le miroir garde la même fonction et la même symbolique : il permet de se voir tel que l'on est. Il ne ment pas et est révélation de vérité.
Lors d'une conférence TED, David Duncan explique que la raison de ce rejet c'est le… miroir de notre salle de bain ! Vous êtes la seule personne à vous voir de cette façon, à travers ce reflet. C'est une perception très personnelle qui est remise en question quand quelqu'un vous prend en photo.
Résultat, l'image monoculaire offerte par un appareil photo fait apparaitre un objet comme plus imposant qu'il ne le serait - par rapport à l'arrière-plan - s'il était vu au travers de notre regard binoculaire. Mais cette différence « stéréoscopique » n'est pas la seule responsable de notre embonpoint photographique.
C'est en fait la notion d'avant-arrière qui est symétrisée dans le miroir (quand vous avancez vers le miroir, votre image se déplace dans le sens inverse de votre mouvement et vient à votre rencontre) alors que la tête reste en haut.
Facteurs de risque : Les principaux facteurs de risque sont : – le manque de mobilité, souvent lié à l'utilisation de sièges-coques, ou la présence de tensions musculaires (torticolis, syndrome de Kiss…).
La différence entre le miroir et la photo vient tout simplement du fait que lorsque l'on se regarde dans le miroir, on voit une image qui nous reflète directement, ce qu'une photo ne renvoie pas. Plus nous sommes exposés à un stimulus, plus il est probable que nous l'apprécions.
C'est fondamentalement un fait que l'appareil photo ajoute quelques kilos, et pas seulement ! Un appareil photo peut aussi vous faire soustraire quelques kilos. Ce qu'il est important de mentionner, c'est que chaque appareil photo de téléphone ajoute également quelques kilos.
Ce que l'on considère comme photogénique relève de propriétés mesurables et explicables : des angles de vue à préférer (le “trois-quarts” de face plutôt que la face frontale), des poses à privilégier, une exposition du visage (une lumière rasante plutôt qu'un éclairage agressif durcissant les traits), mais aussi une ...
La dysmorphophobie : symptômes et conséquences
La dysmorphophobie est un trouble de l'image de soi où la personne qui en souffre, a une vision déformée de son corps et/ou de son visage. Elle va avoir des préoccupations obsédantes par rapport à un aspect de son physique perçu comme un défaut.
Un miroir nous renvoie l'image de notre corps, cela signifie que notre image est réfléchie sur le miroir. Lorsqu'on éclaire un objet, il émet de la lumière dans toutes les directions de l'espace. C'est ce que l'on appelle la lumière diffuse.
« Que disent vos collègues de vous ? »
Pour un recruteur, la capacité de travailler en équipe et l'intégration sont des points relativement importants. Cette question lui permet de savoir comment vous êtes perçu dans votre ancienne ou actuelle structure et ainsi d'avoir des réponses à ses interrogations.
Conseils. Généralement posée en toute fin d'entretien, la question « Pourquoi vous et pas un autre ? » peut surprendre. L'objectif du recruteur n'est pas de mettre le candidat mal à l'aise, ni de lui demander de se comparer aux autres postulants, mais plutôt d'évaluer son degré de motivation.