S'en foutre de ce que les gens pensent de vous, c'est se focaliser sur des valeurs essentielles, importantes, et si possible « bâcler le reste » sans état d'âme, et je pèse mes mots.
Demandez-vous si la personne défend vos intérêts et veut vous aider ou bien elle veut simplement vous insulter. Par exemple, un excellent camarade peut dire « ces derniers temps, vous avez l'air d'être dans les nuages et vous n'êtes pas comme d'habitude ». Vous pouvez donner de l'importance à un tel jugement.
Le plus important est de ne pas vous laisser démoraliser par les choses négatives. Vous pouvez vous soucier de ce que les gens pensent de vous, ne pas changer, vous accepter comme vous êtes et être quand même heureux ! Apprendre à ne pas s'en faire prend du temps. Ne pensez pas y arriver du jour au lendemain !
Je-m'en-foutiste : Définition simple et facile du dictionnaire.
Ce que les autres pensent de vous, c'est leur réalité, pas la vôtre. Ils connaissent votre nom, mais pas votre histoire. Ils n'ont pas vécu à votre place. La seule chose que les autres savent de vous, c'est ce que vous leur avez raconté ou ce qu'ils ont pu deviner, mais ils ne connaissent ni vos anges, ni vos démons.
Pour vaincre la blemmophobie il est conseillé de pratiquer une activité qui aide à accepter le regard des autres, comme la danse ou le théâtre. L'approche cognitivo-comportementale peut également être une solution, car elle force la personne à se confronter à ses peurs.
La tendance à juger à l'excès tient au fait d'avoir été soi-même une cible. Il s'agit donc de retrouver comment, à quelle fréquence et pourquoi des jugements vous ont été imposés. En identifiant ces blessures du passé, on prendra conscience des raisons qui incitent, au présent, à en infliger à soi-même et aux autres.
Il s'agit simplement de ne pas leur accorder d'importance. Faîtes en sorte que leurs actes et leurs mots ne dépassent jamais la limite de votre intégrité émotionnelle ou psychique. Dans ce cas, la distance sera la solution la mieux adaptée.
Lorsque la conscience est propre, l'opinion des autres ne compte pas !
Certaines personnes utilisent l'ironie et la moquerie pour se créer un cercle relationnel basé sur la crainte, se donnant une image de force. Souvent cette attitude de « persécuteur » devient pathologique se traduisant par de la manipulation relationnelle.
Perspicace : Définition simple et facile du dictionnaire.
Pour ignorer quelqu'un en changeant vos habitudes, la façon la plus simple est d'emprunter de nouveaux itinéraires afin de ne plus croiser cette personne. Si vous croisez toujours cette personne entre deux cours, prenez un chemin plus long pour vous rendre en classe afin de ne pas voir cette personne.
Indépendamment du fait que vous attirez réellement les regards, il est probable que votre sentiment que tout le monde vous regarde soit dû à une perception subjective erronée. Ceci est courant chez les personnes souffrant de phobie sociale ou celles qui souffrent d'une extrême timidité.
On peut avoir peur de vous pour diverses raisons : vous parlez fort, vous tapez sur la table en parlant, vous prenez beaucoup de place, vous êtes intense, passionné, vous explosez de manière imprévisible, vous répondez aux arguments avec une logique implacable qui n'admet pas de répartie, vous prenez toujours le lead ...
La personne qui critique sans cesse jouit d'une si faible estime d'elle-même qu'elle n'arrive pas à discerner les aspects positifs chez les autres. Au fond, elle projette ses propres faiblesses. Elle vous déprécie pour tenter de se valoriser. Sachant cela, prenez ses critiques avec un grain de sel.
Par pudeur, peur du regard extérieur et du jugement, les timides ou les personnes n'ayant pas confiance en elles vont avoir tendance à éviter de regarder dans les yeux. Ainsi, il peut y avoir une sensation d'infériorité ou de puissance vis à vis de la personne qui nous regarde.
La conscience immédiate et la conscience réfléchie, la connaissance du monde, la connaissance de soi.
La conscience est un pouvoir de connaissance de soi, du monde et du bien et du mal. Un savoir qui accompagne mon être, mes pensées en général. Si on prend un être inconscient comme un dormeur, il est comme un objet puisqu'il ne se représente ni le monde, ni lui-même.
Notre conscience morale est son œuvre et l'exprime ; quand notre conscience parle, c'est la société qui parle en nous. Émile Durkheim, L'Éducation morale [1903, publ.