L'évaporation des trous noirs, qui se traduit par le rayonnement de Hawking (dit aussi de Bekenstein-Hawking), est le phénomène selon lequel un observateur regardant un trou noir peut détecter un infime rayonnement de corps noir, évaporation des trous noirs, émanant de la zone proche de son horizon des événements.
Dans le cadre de la relativité générale, un trou noir est défini comme une singularité gravitationnelle occultée par un horizon absolu appelé horizon des évènements. Selon la physique quantique, un trou noir est susceptible de s'évaporer par l'émission d'un rayonnement de corps noir appelé rayonnement de Hawking.
On estime ainsi que les trous noirs résidus d'étoiles disparaîtront d'ici 1065 ans (le chiffre 1 suivi de 65 zéros), les trous noirs supermassifs dans 1090 ans et les plus massifs dans 10100 ans.
Généralement, un trou noir absorbe toute la matière qui s'approche "trop près" de lui. A l'heure actuelle, plusieurs théories sont proposées pour expliquer ce que devient cette matière: → Certains scientifiques émettent l'hypothèse que toute la matière absorbée passe dans un autre univers que le nôtre.
Alors qu'en 1905 il avait démontré qu'une horloge embarquée dans un véhicule en mouvement « retardera » par rapport à celle restée immobile, en 1915, il prédisait que, tout comme la vitesse, le champ gravitationnel généré par un corps massif ralentissait les horloges ; et cela d'autant plus que l'horloge était proche ...
Les trous noirs jouent aujourd'hui un rôle crucial non seulement en astrophysique mais aussi en physique des particules, et en particulier dans les théories essayant d'unifier la relativité générale et la physique quantique.
La découverte de ce trou noir avait suscité un grand intérêt chez scientifiques et les médias. L'objet, situé à 1000 années-lumière du Système solaire, était considéré comme le trou noir le plus proche de la Terre. Cette place reste donc à celui de V616 de la Licorne, distant de 3300 années-lumière.
Résultat : tout ce qui s'en approche d'un peu trop près est systématiquement aspiré : des roches, de la poussière et même des étoiles toutes entières. Rien ne résiste à la gravité d'un trou noir. Pas même la lumière, pourtant la plus rapide de l'univers.
Un quasar est composé de trois grandes parties principales : le trou noir supermassif ,comportant la quasi-totalité de la masse du quasar (de quelques millions à quelques dizaines de milliards de fois la masse du Soleil).
Les trous noirs sont très froids : leur température s'approche du zéro absolu (0 kelvin ou -273,15 degrés Celsius). Plus un trou noir est massif, plus il est froid.
Les trous noirs peuvent nous dire beaucoup de choses sur la formation de l'univers. L'astrophysicien Nikodem Poplawski est ainsi convaincu que notre univers n'est pas né du fameux big bang, mais d'un "grand rebond" (big bounce). Suivant sa théorie, la genèse de notre univers pourrait bien être due à un trou noir.
Un trou blanc, ou fontaine blanche, est un objet hypothétique qui comme son nom l'indique est l'opposé du trou noir. En effet, tandis qu'en théorie rien ne peut s'échapper d'un trou noir, d'après les cosmologistes, rien ne peut pénétrer dans un trou blanc. De la matière et de l'énergie en sont éjectés en permanence.
Le trou noir M87* a une masse de l'ordre de 6,5 × 109 masses solaires et un rayon de 19 milliards de kilomètres ; son diamètre est donc de 38 milliards de kilomètres, ou 35 heures-lumière ; comme il est situé à 53,5 millions d'années-lumière de la Terre, son diamètre apparent serait de 15,5 μas (microsecondes d'arc).
Elle tourne très vite, à la vitesse proche de celle de la lumière, et elle émet donc des rayonnements.
Il existe deux types de trous noirs : ⭐ Les trous noirs supermassifs sont les plus grands de tous les trous noirs. Leur masse est jusqu'à Par exemple, le trou noir qui est au centre de notre galaxie, la Voie Lactée, est un trou noir supermassif.
On appelle « horizon cosmologique » la première lumière émise par le Big Bang il y a 13,82 milliards d'années.
Un article paru en janvier 2011 dans la revue Physical Review arrive à la conclusion que le temps va s'arrêter d'ici 5 milliards d'années. Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont étudié les implications de la théorie de l'inflation éternelle et l'existence de multivers associée à cette théorie.
Le moustique : incontestablement le plus dangereux
Le moustique est véritablement l'ennemi numéro 1 de l'homme car il tue à lui seul près de 750 000 personnes dans le monde chaque année. Ce n'est pas tant l'animal en soi qui tue que les virus qu'il transmet en piquant ses victimes.
Selon la théorie de la gravité quantique à boucles, les trous blancs seraient le destin ultime des trous noirs. La matière qui s'est effondrée dans un trou noir ressort alors de l'astre lorsque celui-ci se transforme en trou blanc.
Un choix simple mais efficace: l'histoire des trous noirs est passionnante. C'est un astrophysicien allemand, Karl Schwarzschild, qui prédit leur existence en 1915 (sans leur donner ce nom).
Surnommé « la Licorne », cet étrange objet stellaire semble être le plus petit trou noir jamais découvert. Il pourrait aider les astrophysiciens à résoudre l'un des plus grands mystères de l'univers. À près de 1 500 années-lumière de la Terre, un petit trou noir orbite autour d'une étoile géante.
« La lumière qui est trop proche du trou noir, assez proche pour être avalée par lui, finit par traverser son horizon et ne laisse derrière elle qu'un vide sombre en son centre », a expliqué Özel.
Formation du trou noir
Les trous noirs se forment lorsqu'une grande quantité de matière est entassée dans un très petit espace. Plus précisément, ils se forment quand les étoiles massifs ont brûlé toute leur énergie et explosent telles des bombes géantes, appelées supernovas.
Croissance des trous noirs : entre accrétion et fusion
Et les travaux des chercheurs de l'université de Harvard suggèrent que le canal préférentiel de croissance dépend de la masse du trou noir tout autant que de son « décalage vers le rougedécalage vers le rouge ».