Il n'existe pas de moyens permettant d'éradiquer la mineuse du marronnier de façon efficace, seule la prévention s'impose aujourd'hui en installant notamment des nichoirs à mésanges, très gourmandes de chenilles.
Actuellement, aucun moyen curatif (chimique ou biologique) n'existe pour lutter contre le chancre bactérien du marronnier. Des essais ont été menés, mais la bactérie étant présente dans les tissus profonds de l'arbre, l'action curative est difficile à mettre en œuvre une fois l'infection commencée.
En milieu urbain, les sols imperméables et la pollution favorisent le jaunissement. Les élagages, véritables portes d'entrée pour bien d'autres problèmes, peuvent également le causer. Ce qui ne relève d'aucun traitement.
Laisser tomber ces feuilles est un réflexe naturel du marronnier pour se protéger de la sécheresse. Mais d'autres dangers le guettent, comme la mineuse, une maladie qui voit une larve lui grignoter son feuillage, ou encore le peu d'espace dont il dispose.
Le marronnier apprécie les sols profonds, riches, frais mais bien drainés. Une exposition au soleil ou à mi-ombre lui convient parfaitement. Plantez le marronnier en automne ou en hiver au jardin dans un espace assez dégagé pour accueillir son futur développement.
En juillet, tout le feuillage du marronnier est généralement atteint. Il sèche et tombe.
La floraison du marronnier est spectaculaire. Elle commence, selon les régions, au mois d'avril ou de mai et s'étend jusqu'au mois de juillet.
En général, les plantes perdent leurs feuilles avec l'arrivée de l'hiver qui nous contraint à allumer les appareils de chauffage dans nos habitations. De ce fait, l'air devient souvent trop sec ou/et trop chaud. Maintenez une humidité suffisante : généralement, un seul arrosage hebdomadaire est conseillé en hiver.
Pour remplacer un arbre mort de la maladie de l'encre, il est nécessaire d'utiliser un porte-greffe tolérant à ce parasite. En curatif, le curetage du collet, suivi d'un badigeonnage avec un produit cicatrisant et un élagage sévère, peut parfois améliorer la situation.
Utilisez une perceuse et un forêt de 15 mm. Percez le trou en partant de l'extérieur de l'arbre. Glissez ensuite un fin tuyau en plastique flexible dans le trou percé, en le faisant dépasser de quelques centimètres du tronc de l'arbre.
Les cas sont décrits chez les ruminants et le cheval, ainsi que chez le chien qui grignote les marrons par jeu ou par gloutonnerie, plus rarement chez d'autres animaux de compagnie . Les animaux s'intoxiquent en mangeant les marrons (à l'automne) ou bien les feuilles et bourgeons.
Le marronnier ne requiert aucune taille particulière durant ses premières années. Avec le temps, celle-ci pourra être envisagée si l'arbre vient à trop s'étaler en largeur et pour lui redonner de la force.
Mélangez de l'argile à de l'eau de pluie et, si vous en avez, ajoutez des cendres de bois récentes. Mélangez de l'argile à de la bouillie bordelaise. Malaxez de la cire d'abeille jusqu'à ce qu'elle ait la consistance d'un mastic : la cire d'abeille contient de la propolis qui a des vertus désinfectantes.
Sur votre branche sectionnée, une fois la coupe faite, appliquez un mastic cicatrisant ou un goudron végétal. Vous pouvez également recouvrir cette plaie de glaise ou d'argile. Avec ces pansements, votre arbre sera protégé des champignons et profitera en plus d'un apport d'engrais complet.
Sa croissance est très rapide et son couvert est particulièrement épais, ce qui le cantonne aux grands jardins. Les feuilles caduques sont vert foncé, avec un long pétiole, palmées, à 5 ou 7 folioles dentelées.
Le marronnier et ses “marrons d'Inde” est considéré comme un arbre protecteur et bienfaisant. Pour beaucoup d'entre nous, c'est l'arbre des cours d'école : les marronniers et leurs marrons ont été pour des générations d'enfants le symbole de la cour d'école, pourvoyeurs de jeux, d'histoires et de rêves.
Le marronnier d'Inde est un arbre majestueux, familier de nos parcs et de nos avenues, doté d'une spectaculaire floraison parfumée blanc jaune ou rosée. Ses feuilles, vert sombre, brunissent à l'automne avant de chuter. Végétation. Annuelle : Plante qui vit moins d'un an.
Faut-il tailler le marronnier rose ? Le marronnier rose supporte aisément les tailles sévères mais une taille d'entretien lui est suffisante pour se développer correctement. Procédez entre février et avril, lorsqu'il ne gèle pas.
Feuillage caduc. Les feuilles sont opposées, grandes (30-50 cm), munies d'un long pétiole, palmées, à 5 ou 7 folioles dentelées. Fleurs : les marronniers ont des fleurs en mai, de forme particulière appelée thyrse dressée (une forme pyramidale avec un axe sur lequel naissent les pédoncules des fleurs).
Les feuilles du marronnier sont grandes : de 30 à 50 cm. Les folioles sont d'une vingtaine de cm de longueur et leur plus grande largeur, jusqu'à 10 cm, se situe vers l'extrémité. Le longueur du pétiole varie entre 10 et 20 (27) cm. L'avers de la feuille est vert foncé terne, le revers est plus clair et glabre.
Depuis les années 2000, la plantation de marronnier connaît un ralentissement remarquable. Il faut dire que leur espérance de vie a chuté en dix ans. Jean Mahaud : « Un marronnier vivait 120 à150 ans, aujourd'hui, en milieu urbain, il survit trente ans. »
Ces châtaignes sont comestibles crues et ont un goût de noisette. Soufflées, grillés ou utilisées en purée, elles ont également un goût sucré. Le fuit du marronnier commun ou marronnier d'Inde (Aesculus hippocastanum), en revanche, est reconnaissable à sa coque recouverte d'épines plus courtes.