Régimes alimentaires. Pour traiter la diverticulite sans intervention chirurgicale, il convient de : suivre le régime alimentaire adapté ; suivre un régime liquide strict sans aucune prise alimentaire pendant 48 heures.
un régime hydrique (boire beaucoup), un régime sans résidus (aliments ne laissant pas de résidus dans le côlon, donc sans fibres), la prise de médicaments analgésiques pour soulager les douleurs.
En cas de douleur, vous pouvez prendre du paracétamol. Évitez certains médicaments en vente libre, en particulier les anti-inflammatoires comme l'ibuprofène qui peuvent augmenter le risque de complications.
Avoir une bonne hydratation : une hydratation suffisante est évidement indispensable pour participer au transit digestif, et par conséquence prévenir les risques de diverticulites. Nous vous recommandons de boire au minimum 1,5 L d'eau plate ou minérale par jour. Pensez également aux boissons chaudes, comme le café.
La maladie diverticulaire peut être liée à une alimentation pauvre en fibres. Une alimentation pauvre en fibres peut causer de la constipation, ce qui rend les selles dures et difficiles à évacuer. Le fait de pousser fort lorsque l'on va à la selle peut aussi entraîner une pression dans le côlon.
Potentiellement grave par ses complications (abcès, fistule, hémorragie, péritonite, rétrécissement de l'intestin), la diverticulite peut récidiver et devenir invalidante. Dans ce cas, un traitement chirurgical peut être prescrit pour enlever la zone du côlon qui porte les diverticules.
Pour prévenir l'infection des diverticules, on va se tourner vers des tisanes antiseptiques (thym ou menthe poivrée), ou des huiles essentielles (citron, à raison d'une goutte sur une cuillère de miel) tout en luttant contre la constipation.
Habituellement, 1 seul diverticule est en cause, situé dans le sigmoïde. Douleur : - Début brutal, persistante. - Localisée en FIG, irradiant dans le dos fréquemment.
Si ces diverticules deviennent irrités, une inflammation locale risque de se produire. Cette réponse peut entraîner des spasmes du côlon plus intenses, une enflure et une obstruction partielle du côlon, et même une franche perforation du diverticule accompagnée d'une fuite de fèces et de gaz dans la cavité abdominale.
Le traitement à domicile repose sur le soulagement de la douleur : paracétamol voire opioïde quand les douleurs sont intenses. Les antiinflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont à écarter en raison du risque accru de complication.
La mésalamine a des propriétés anti-inflammatoires et immunomodulatrices, et a récemment fait l'objet d'études pour déterminer son potentiel comme traitement contre la diverticulite.
Parmi les facteurs susceptibles d'augmenter le risque de contracter un diverticule, on retrouve un régime alimentaire pauvre en fibres et un manque d'exercice. L'excès de poids ainsi que le tabagisme peuvent également contribuer à la diverticulite.
de légumes cuits, faciles à digérer comme les carottes, potirons, blancs de poireaux, endives, côtes et vert de côtes, laitues, pointes d'asperges, tomates et courgettes (sans peau, ni pépins), betteraves, haricots verts extra fins. Varier les préparations: en potage, en accompagnement, froids, en salade.
Une fois formé, un diverticule ne peut disparaître par lui-même. Il semble que la meilleure mesure de prévention pour éviter la diverticulose colique est un régime alimentaire bien équilibré et à haute teneur en fibres aussi tôt que possible dans la vie.
Parfois qualifiée d'appendicite gauche, les symptômes les plus courants de la diverticulite sont, dans 90 % des cas, des douleurs dans la partie gauche basse du ventre, la fièvre chez un patient sur 2, de la constipation et, parfois, une augmentation du taux de globules blancs dans le sang.
Quel est le risque de complication ? Affectant l'ensemble du côlon, la pancolite est une forme grave de colite. En l'absence d'un traitement médical adéquat, le développement de l'inflammation peut entraîner des effets néfastes pour la santé. Une pancolite augmente notamment le risque de cancer du côlon.
De nombreux experts recommandent l'association de métronidazole et de ciprofloxacine. La rifaximine, un antibiotique non absorbable, à la dose de 200 mg par voie orale 3 fois/jour ou 800 mg par voie orale 2 fois/jour, peut également constituer un traitement bénéfique de la maladie de Crohn active.
Le thym provoque peu d'effets indésirables. Un surdosage peut entraîner des réactions allergiques, voire des troubles de la digestion comme des brûlures d'estomac ou des diarrhées "et en huile essentielle, s'il est mal dilué, la solution peut être irritante pour les muqueuses" souligne la naturopathe.
La mélisse aurait une action calmante sur les spasmes douloureux de l'estomac et de l'intestin. D'autres plantes sédatives comme l'aubépine, le coquelicot (Papaver rhoeas), le houblon, la passiflore et la valériane permettraient également de calmer les maux de ventre liés à la nervosité.
Elle doit être réservée aux seuls patients à risques de cancer colorectal (comme la population générale). Cependant, pour les patients qui ont présenté une diverticulite compliquée (abcès, perforation) la coloscopie reste indiquée à distance de l'épisode afin d'éliminer un cancer colorectal.
Le polype intestinal est une tumeur bénigne, de taille variable. Il est nécessaire de le retirer du fait du risque potentiel de cancérisation.Il est à différencier du diverticule colique qui est, au contraire, une hernie au travers de la paroi colique, mais qui ne se cancérise jamais.
Elle se manifeste sous forme de spasmes ou de crampes. Souvent localisée au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou de la région ombilicale, elle peut être soulagée par l'émission de selles ou de gaz. les ballonnements y sont également souvent associés.