Le traitement du mal de dos repose sur la prescription de médicaments contre la douleur, de relaxants musculaires et, éventuellement, de séances de kinésithérapie (dont le bénéfice a plutôt été montré pour les lombalgies dites subaiguës, c'est-à-dire durant plus de 4 semaines).
Les douleurs lombaires sont généralement provoquées par le fait de porter une charge, à la suite d'une activité physique, d'une chute ou d'un accident de la route. La cause la plus fréquente des douleurs lombaires est la déchirure musculaire.
L'application de compresses chaudes ou froides est souvent efficace. Certaines personnes arrivent à soulager la douleur en prenant des antidouleurs ou des anti-inflammatoires en vente libre comme l'ibuprofène (Advil, Motrin) ou le naproxène (Aleve).
En cas de lombalgie chronique, vous devez pratiquer la marche en dehors des poussées inflammatoires. Des sports doux peuvent également vous aider à limiter les douleurs dorsales comme : la natation, le yoga, le tai chi, le vélo ou la danse. Vous pouvez également faire des exercices chez vous et notamment du gainage.
Dans la majorité des cas, la douleur ne dure que quelques jours, mais cela peut aller jusqu'à plusieurs semaines. Généralement, un traitement anti-douleur et les conseils du médecin suffisent pour aller mieux. Si votre lombalgie dure plus de 4 semaines, elle peut devenir chronique.
L'ibuprofène ou le kétoprofène sont des exemples typiques. Ces médicaments possèdent un effet antalgique et analgésique efficace. Ils peuvent être prescrits pour soulager l'arthrose ou, dans le cas présent, une douleur du dos. L'effet de l'ibuprofène est optimal si les prises sont espacées de 6 heures au minimum.
Le lumbago (ou lombalgie aiguë) se manifeste par des douleurs subites et violentes dans la région du bas du dos (tour de reins). Celles-ci surviennent à la suite d'un geste un peu brusque ou lorsqu'on a soulevé une charge lourde. Elles sont parfois tellement fortes que tout mouvement du dos devient impossible.
Penchez-vous en avant jusqu'à ce que votre buste soit parallèle au sol (dos plat). Tenez la position pendant 10 secondes puis remontez en gardant le dos droit. - Respiration : inspirez en position de départ puis soufflez lors de la descente. - Consignes de sécurité : veillez à ne jamais arrondir ni cambrer le dos.
BOUGER : ne pas rester en mode "canapé"
Quand un lumbago survient, ça peut être très douloureux et rendre même le mouvement quasi impossible mais il faut bouger autant que vous le pouvez. Si possible, allez marcher, si impossible de marcher, essayez de mobiliser un peu les jambes quand même, étirer le bas du dos.
Les douleurs du bas du dos, appelées lombalgies, sont un problème très fréquent qui peut concerner une grande partie de la population au cours de sa vie. Elles n'entraînent généralement pas de conséquences graves sur la santé mais la lombalgie peut parfois se chroniciser.
Faites des mouvements appuyés de va-et-vient de bas en haut pour décontracter les muscles. Appuyez, sans les bouger, le bout des doigts de chaque côté et au plus proche de votre colonne vertébrale. Maintenez ces pressions statiques pendant 3 secondes, puis relâchez 3 secondes. Poursuivez jusqu'à sentir la détente.
La position idéale pour ceux qui souffrent de maux de dos est de dormir sur le côté, c'est-à-dire dans la position fœtale classique. Cette position est excellente car elle maintient les courbes naturelles de la colonne vertébrale.
Les principaux actifs anti inflammatoires sont le diclofenac, l'acide niflumique et l'ibuprofene. Le diclofenac, se trouve dans Antacalm, Diclofenac Mylan, les médicaments des gammes Voltaren et Flector.
Le VoltarenActigo 1 %
Il est essentiellement composé de Diclofenac qui est un puissant anti-inflammatoire. Le VoltarenActigo 1% permet de calmer les douleurs de rhumatisme, d'entorse, de foulure, etc.
Debout, tête, dos et fesses collés au mur, jambes en avant. Exercice : glisser vers le bas comme pour s'asseoir, arrêter quand les jambes sont pliées en angle droit. Le dos et la tête restent en contact avec le mur. Maintenir la position le plus longtemps possible en respirant profondément.
Reculez un pied, puis fléchissez la jambe avant en fente en relevant le buste. Le poids du corps doit être très bas, à l'avant. Reculez le deuxième pied en relevant le fessier, talons au sol. Enfin, relâchez le buste au sol en gardant les coudes levés et les genoux fléchis pour permettre aux orteils de rester en appui.
La marche à pied et ses variantes comme la marche nordique ou la randonnée sont particulièrement indiquées en cas de mal de dos. "Ces activités permettent de muscler le dos et renforcer les muscles de la posture tout en gardant bien les courbures physiologiques de la colonne vertébrale, précise notre spécialiste.
C'est une douleur au repos et en particulier la nuit qui signe l'origine inflammatoire de la lombalgie. La douleur est surtout gênante la nuit et le matin au réveil. Elle n'est, contrairement à la lombalgie mécanique, pas liée à l'effort.
La lombalgie substitue une fatigue nerveuse à une fatigue physique. La fatigue nerveuse augmente à cause du stress : peur de la douleur, peur de ne pas guérir, … Cette fatigue perturbe le sommeil. La fatigue physique diminue parce que souvent, à tort, l'activité physique diminue.
Le paracétamol est le médicament de premier choix, son efficacité est modérée mais supérieure à celle d'un placebo. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (ibuprofène, diclofénac...)
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Quatre AINS sont vendus sans ordonnance : l'ibuprofène (Motrin, Advil et autres marques), le naproxène (Aleve, Motrimax), le diclofenac (Voltaren Emulgel) et l'acide acétylsalicylique (AAS, Aspirine et autres marques).
Les anti-inflammatoires stéroïdiens, eux, sont des corticoïdes, dérivés du cortisol et de la cortisone, et ont un effet plus puissant. " Parmi les anti-inflammatoires stéroïdiens, on trouve le prednisone, prednisolone, méthylprednisolone ,ou encore, avec un effet plus prolongé, le bêtaméthasone ou le dexaméthasone.
Dans la plupart des cas, les douleurs lombaires sont d'origine mécanique : de mauvaises postures au bureau, des gestes inadaptés pour ramasser des objets ou encore porter des charges en sont le plus souvent responsables. Elles se manifestent souvent après 40 ans sous la forme de lumbagos à répétition.