La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
Voici certains signaux d'alarme : Une chute soudaine des notes ou une perte d'intérêt pour les activités scolaires. Un cercle d'amis qui change rapidement et de façon inexpliquée. Des changements d'humeur soudains et violents, manifestés particulièrement par des épisodes de dépression, de colère et d'agression.
On peut également décrire la toxicomanie et la dépendance comme suit : état de besoin intense. perte de contrôle à l'égard de la consommation ou de sa fréquence. compulsion.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
Concentration et mémoire
C'est le cas du cannabis et de l'ecstasy. En effet, la molécule de THC (tétra-hydro-cannabinol) contenue dans le cannabis diminue considérablement les performances de mémorisation et de concentration d'une personne.
Éblouissements et visions de loin et de près déséquilibrées. Plus rarement, la dilatation de la pupille provoquée par le cannabis peut donner lieu à des éblouissements et des déséquilibres entre la vision de loin et celle de près.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
Ils se définissent, dans la grande majorité des cas, par des : – Troubles subjectifs : anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, cauchemars ; – Troubles neurovégétatifs : sueurs, tremblements, hyperthermie, tachycardie, hypertension artérielle ; – Troubles digestifs : anorexie, nausées, vomissements, diarrhée.
Les signes de manque apparaissent le plus souvent dès l'arrêt, leur intensité est maximale pendant les trois premiers jours, ils diminuent ensuite pendant trois semaines en moyenne et disparaissent généralement après 6 à 8 semaines en fonction de l'importance de votre dépendance.
La cocaïne, d'autres stimulants, les amphétamines et le LSD dilatent les pupilles, les rendant hautement sensibles à la lumière.
Il a parfois les yeux rouges ou vitreux, Il sent le cannabis (une odeur âcre), Il possède des pipes, des bongs, du papier à rouler, etc. Il se blesse souvent.
L' intoxication à la drogue et à la ricine peut également engendrer une coloration jaune ou jaunâtre des yeux.
C'est quoi le GHB, ou acide gamma-hydroxybutyrate ? Communément appelée « la drogue du violeur », cette substance incolore, inodore et sans goût, est généralement sous forme de liquide ou de poudre blanche. Elle peut être versée, à votre insu, soit dans une boisson, sans en changer l'aspect ni le goût.
des nausées légères à fortes avec vomissements ; des maux de têtes ; une perte de repère ou une disparition des réflexes ; une perte de conscience, aussi appelé « G-hole », pouvant conduire jusqu'au coma (conséquences potentiellement mortelles).
Le Buddha Blues, nom commercial d'un cannabinoïde de synthèse, se consomme avec une cigarette électronique. Ce produit stupéfiant peut provoquer de graves effets, de l'hallucination à la paralysie.
Symptômes. On peut soupçonner qu'un individu a consommé des hallucinogènes comme du LSD ou des « champignons magiques » lorsqu'il apparait désorienté et complètement déconnecté d'avec la réalité. Tremblements, frissons, dilatation des pupilles et troubles de coordination peuvent également être des indices potentiels.
Les effets recherchés lors de la consommation d'une drogue ou d'un médicament psychotrope varient en fonction de chacun, mais sont notamment d'ordre anxiolytique (euphorie, bien-être, apaisement…), stimulant (toute-puissance, disparition de la fatigue, indifférence à la douleur…), ou encore hallucinatoires ( ...
Quand il est consommé de manière récréative, en particulier avec de l'alcool ou d'autres drogues, il peut être extrêmement dangereux. Le GHB est un dépresseur du système nerveux central, c'est-à-dire qu'il a un effet sédatif et qu'il ralentit la respiration et le rythme cardiaque.