La grande majorité d'entre elles sont d'origine naturelle (éruptions volcaniques, tempêtes de sable, etc.) mais elles peuvent également résulter des activités humaines (aérosols primaires) ou de transformations physico-chimiques dans l'atmosphère (aérosols secondaires).
1. Dispersion en particules très fines d'un liquide, d'une solution ou d'un solide dans un gaz. 2. Emballage, muni d'une valve de commande, permettant, à l'aide d'un gaz sous pression, de projeter un liquide sous forme de très fines particules ou de distribuer des crèmes, laques, mousses, sirops, etc.
Les aérosols dévient le rayonnement solaire dans toutes les directions et en renvoient une partie vers l'espace. Ce phénomène modifie le bilan radiatif de la Terre et contribue à refroidir le climat. Les aérosols absorbent aussi le rayonnement solaire : cela chauffe l'atmosphère et contribue à réchauffer le climat.
Une bombe aérosol est un récipient sous pression (généralement en acier ou en aluminium), qui contient un liquide destiné à être pulvérisé. Il est équipé d'une valve qui permet, à l'aide d'un gaz propulseur comprimé, de libérer le liquide sous forme de fines particules.
Jetez les aérosols (exemple : chantilly, déodorant, ...) dans un sac transparent ou dans un conteneur pour emballages à recycler (jaune). Les aérosols de produits de bricolage vont directement en déchèterie.
L'aérosol est une méthode qui permet l'administration de médicaments directement dans les voies aériennes. Les principaux avantages : les médicaments sont ciblés sur la zone malade directement, ce qui diminue les effets secondaires d'une administration par voie systémique.
L'aérosolthérapie présente des avantages, tels que : Le médicament agit rapidement et efficacement car il est délivré directement au niveau de la cible respiratoire voulue. Les effets secondaires sont limités car le médicament passe peu dans le sang et dans l'organisme.
Les produits inhalés sont essentiellement des bronchodilatateurs (pour asthme, BPCO), des anti-inflammatoires corticoïdes et des antibiotiques (pour mucoviscidose, dilatation des bronches).
Faites chauffer de l'eau jusqu'à ce qu'elle soit frémissante. Versez-la dans le réservoir de l'inhalateur ou dans un bol. Dispersez dans l'eau les gouttes d'huiles essentielles ou une capsule indiquée pour cet usage. Placez-vous au-dessus ou du bol (avec une serviette au-dessus de la tête) ou de l'inhalateur.
Certains médicaments en aérosol pour la toux n'ont pas d'effet sur la toux elle-même ; ils agissent en revanche sur les effets collatéraux comme le mucus et les glaires, des sécrétions que les poumons produisent lorsqu'ils sont agressés par une infection respiratoire comme la toux justement ou un rhume.
Les bronchodilatateurs par inhalation sont des médicaments à prescription restreinte, comme les dispositifs aérosols, prescription réservée exclusivement aux médecins spécialistes en pédiatrie et en pneumologie.
L'aérosolthérapie : jamais pendant le sommeil
Pendant le sommeil, l'aérosolthérapie est pratiquement inefficace : avec la bouche fermée et la respiration ralentie, le médicament parviendra difficilement vers la zone à atteindre.
Ainsi, l'aérosolthérapie peut être utilisée chez les patients souffrant de pathologies pulmonaires comme l'asthme, la bronchite chronique (y compris BPCO) et la mucoviscidose. Elle convient aussi en cas d'affections ORL comme la laryngite et la sinusite.
Retenez votre respiration pendant 10 secondes
En cas de prise de corticoïdes inhalés, il est aussi recommandé de se rincer la bouche avec un verre d'eau afin d'éviter les mycoses buccales.
Si, pendant la nébulisation, le produit vous fait tousser ou provoque un spasme des bronches vous empêchant de respirer correctement, arrêtez la séance et contactez votre médecin.
- Vérifier le débit d'oxygène et l'adapter selon la prescription médicale. - Vérifier le niveau d'eau de l'humidificateur (Barboteur). - Vérifier régulièrement la perméabilité de la sonde nasale qui peut se boucher par des mucosités, la changer si nécessaire.
Contre la pneumonie par inhalation, un inhibiteur de bêta-lactamine/bêta-lactamase est recommandé, la clindamycine étant réservée aux patients allergiques à la pénicilline (1. en apprendre davantage ).
BPCO : pour Seretide Diskus® (fluticasone + salmétérol), 500/50 µg/dose ; pour Symbicort Turbuhaler® (budésonide + formotérol), 200/6 µg/dose et 400/12 µg/dose.
Il existe des cas d'allergie ou d'intolérance au salbutamol, qui se manifestent généralement par une toux ou un spasme bronchique après l'inhalation du produit.
La réponse de notre expert
La VENTOLINE devrait par contre agir immédiatement pour le soulager si cette toux est d'origine asthmatique, même si ce n'est uniquement pour 1-2 heures.
On utilise des aérosols soniques dont le mode de propulsion est une capsule vibrante dont la fréquence est de 100 Hertz. 4- Les cures thermales : Il existe deux types de source thermale, les sources sulfurées (Gréoux les bains, Challes, Enghien, Allevard..) les sources chloro-bicarbonatées (Le Mont Dore, La Bourboule).
Ainsi, pour les pathologies broncho-pulmonaires, l'interface à privilégier est l'embout buccal. Pour ce qui est de la sphère ORL, l'interface à privilégier est l'embout narinaire. Quant à lui, le masque facial est surtout adapté aux nourrissons, jeunes enfants et aux patients qui respirent la bouche ouverte.