L'abattage du porc se réalise par une saignée dans la poitrine. La section des artères et veines du tronc brachiocéphalique interrompt l'apport de nutriments et d'oxygène au cerveau, provoquant ainsi la mort de l'animal. Cette mort n'est pas immédiate mais intervient dans un délai allant jusqu'à 24 s.
on tue des cochons. Une truie reçoit des chocs électriques avec une vieille pince inadaptée. Elle ne s'écroulera qu'après 5 tentatives. Les jeunes cochons sont aussi étourdis avec une pince qui devrait provoquer un étourdissement instantané ce qui n'est clairement pas le cas.
Après étourdissement, l'animal est levé par la patte arrière, afin d'accélérer la perte de sang suite à la saignée (ou section des vaisseaux sanguins) de l'animal qui doit être effectuée le plus rapidement possible après l'étourdissement, afin que l'animal se vide de son sang sans douleur.
Dans bon nombre de pays, les animaux sont supposés être d'abord étourdis pour qu'ils ne souffrent pas, ou moins, lorsqu'ils sont tués. Les animaux sont également soumis à de terribles souffrances psychologiques dans les abattoirs.
Une corde est passée dans sa gueule, une autre autour d'un pied. L'animal est ensuite traîné jusqu'à un socle pour être abattu. La tête dans le vide, et les pieds immobilisés, le boucher procède au saignement du cochon.
Le porc commence à être engraissé en novembre. Quand il atteint environ 200 kg, il peut être abattu, généralement aux environs de Noël. La tradition de la pelèra voudrait qu'un petit cochon soit tué en décembre, l'autre, celui de 200 kg en février.
La dhabiha se pratique par une incision profonde et rapide avec un couteau effilé sur la gorge, de façon à couper les veines jugulaires et les artères carotides bilatéralement et rapidement, mais en laissant la moelle épinière, afin que les convulsions améliorent encore le drainage.
L'acte est accompli par un shohet, spécialiste dûment autorisé et formé aux lois de la shehita. Il coupe, au moyen d'un couteau particulier, la trachée, l'œsophage, les artères carotides et les veines jugulaires ; la bête abattue est suspendue la tête en bas de façon qu'elle se vide de son sang.
En France, sauf pour les abattages rituels qui bénéficient d'une dérogation, les moutons et les agneaux sont « étourdis » au moyen d'une pince à électronarcose avant d'être saignés.
L'abattage sans étourdissement des animaux est organisé afin de garantir le libre exercice des pratiques religieuses dans le respect des dispositions réglementaires relatives à la protection animale, l'hygiène alimentaire et la protection de l'environnement.
Le bovin est alors assommé par un coup de pistolet d'abattage (pistolet soit à projectile captif, soit à projectile libre) tiré dans le front, ce qui a pour effet de l'insensibiliser entre le moment de réalisation de la saignée et la fin du processus de destruction du système nerveux conduisant à la mort.
Il est généralement effectué par des sociétés spécialisées, soit directement à la main, soit par une machine. Dans ce cas, les oiseaux sont engloutis à grande vitesse par une « moissonneuse à poulets », convoyés par tapis roulant, puis propulsés vivement dans les caisses.
Une astuce : Avant de piquer, tapotez l'endroit ou vous allez piquer juste avant d'y enfoncer l'aiguille afin que le cochon ne soit pas surpris ! En cas de questions ou d'urgence appeler l'association : 06 63 17 93 46.
Pour saigner l'animal, soit on le décapite, soit on sectionne au moins une jugulaire et une artère carotide. La décapitation n'est admise qu'après un étourdissement réussi. L'habillage ne commence pas avant que le lapin soit mort.
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) nous a confirmé, de son côté, que l'abattage rituel ne cause pas davantage de douleur à l'animal. «Lors de l'abattage traditionnel, l'animal est étourdi avant l'abattage et est entièrement inconscient. L'animal ne peut pas ressentir de douleur à cette étape.
La différence proviendrait de ce que la viande halal serait issue d'un animal complètement vidé de son sang, ce qui modifierait son goût. La preuve manifeste de cette différence serait la clarté de la viande halal comparée à la couleur rouge de la viande vendue dans les boucheries non islamique.
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
La douleur et la peur provoquées par l'égorgement demeurent, mais la perte de conscience intervient rapidement après.
Sur chaque emballage de viande vendue en supermarché figure le numéro d'abattoir commençant par les deux chiffres de son département. Si celui-ci fait partie de la liste de l'OABA, cela signifie qu'il ne pratique pas l'abattage rituel et, donc, que la viande que vous avez devant vous provient d'un animal étourdi.
Le liquide restant dans la viande est uniquement de l'eau. La myoglobine, lorsqu'exposée à l'air, obtient une couleur rougeâtre. C'est pour cette raison qu'une fois mêlée à l'eau, elle pourrait faire penser à du sang. Une fois cuite, cette myoglobine, toujours présente dans la viande, brunit.
une grande partie de l'approvisionnement en viande pour l'année entière et entraînent des choix impor- tants pour l'alimentation familiale. précepte selon lequel il faut tuer un porc mâle à la lune jeune et une truie à la lune vieille2. on peut l'observer dans d'autres régions de France.
Prévoir une zone d'environ 10 m autour pour les rares odeurs, bien qu'un cochon élevé dehors, avec de l'espace, ne sente rien. Équiper votre parcelle d'une solide clôture d'environ 1 m de hauteur, car le cochon est un véritable motoculteur au groin doté d'une force colossale qui défonce tout sur son chemin…
Si vous voulez découper la tête tout en laissant les bajoues intactes, découpez vers le coin de la bouche, sous les oreilles, pour en séparer la viande. Les bajoues sont excellentes pour préparer du bacon de bajoues, mais d'autres personnes préfèrent garder la tête intacte pour préparer du fromage de tête.