"Le meilleur conseil est de prendre le temps de se calmer et de respirer car très souvent cela permet de diminuer les symptômes du bad trip. Essayez de ne pas vous affoler car l'angoisse va au contraire augmenter l'intensité des symptômes.
OUI - Un bad trip (ou mauvais voyage) est une intoxication aigüe à une substance. Il se caractérise par une angoisse intense, des tremblements, des sueurs froides, des difficultés à respirer, des palpitations, des hallucinations, de la confusion, voire des attaques de panique.
Plusieurs facteurs peuvent être mis en cause. Le bad trip survient plutôt chez les personnes qui sont fatigués ou dans un état de fragilité psychologique (passager ou durable) : tristesse, déprime, anxiété, angoisse… A cela s'ajoute la consommation d'autres drogues comme l'alcool ou les médicaments.
La première chose à faire dans cette situation est de rester tranquille et ne pas s'affoler, pour transmettre notre attitude tranquille à la personne affectée et favoriser une amélioration de son état. Bien sûr, nous ne la laisserons jamais seule.
Lorsque le cannabis est ingéré ou consommé en association avec d'autres substances, ou lors d'humeur maussade, il peut parfois provoquer une « crise blanche », des angoisses, une attaque de panique, des vomissements, une perte d'équilibre (jambes molles…).
Sur le plan neuro-psychiatrique, la cocaïne est bien plus forte que les opiacés. Elle entraîne une altération de l'humeur et de la relation aux autres avec des comportements psychiatriques et sociaux impossibles à gérer. Elle rend les personnes paranoïaques et agressives.
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend.
On l'appelle blanc, trou vert (trou noir serait par l´effet de l´alcool), crise blanche, ou d'autres synonymes, à la sensation de malaise ou à l'inconfort général que l'on ressent lorsque l'on fume trop de cannabis.
Qu'est-ce qu'on peut faire ? Il faut en premier lieu évaluer la situation, vérifier qu'il n'y a pas de problèmes physiques, que la personne respire normalement. Sinon, il faut appeler les urgences (voir Que dire au 112 en cas d'urgence ? ). Lorsque quelqu'un est en Bad trip, on peut agir sur 4 pôles distincts.
les yeux dans le vague, les pupilles dilatées ; l'effet dure plusieurs heures ; un état somnolent, une lenteur dans ses mouvements ; dans le cas des fumeurs quotidiens, on peut observer le bout des doigts jaunis par la résine.
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Appartenir à un groupe : le souci de reconnaissance ou d'appartenance à un groupe est très important chez les ados. L'acceptation passe par la prise du produit "faire comme tout le monde".
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
Concentration et mémoire
C'est le cas du cannabis et de l'ecstasy. En effet, la molécule de THC (tétra-hydro-cannabinol) contenue dans le cannabis diminue considérablement les performances de mémorisation et de concentration d'une personne.
Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
Un traitement anxiolytique peut être proposé pour aider à gérer le phénomène de descente et l'anxiété et qui s'est installée. Certaines thérapies comme la TCC (Thérapie Cognitive et Comportementale) ont fait leur preuve dans ce type d'addition.
Il se peut qu'il soit très évasif par rapport à ses allées et venues, ou à ses activités. L'adolescent qui se drogue aura souvent un comportement fuyant; il évitera de vous regarder dans les yeux, il passera le plus de temps possible isolé dans sa chambre, il sera peut-être bourru et arrogant en votre présence.
Le CBD peut contenir du THC, qui est le principe psychoactif présent dans le cannabis et qui peut jouer un rôle dans le déclenchement d'un "bad trip". Ceci est possible en cas de consommations ponctuelle ou habituelle.
Les effets recherchés lors de la consommation d'une drogue ou d'un médicament psychotrope varient en fonction de chacun, mais sont notamment d'ordre anxiolytique (euphorie, bien-être, apaisement…), stimulant (toute-puissance, disparition de la fatigue, indifférence à la douleur…), ou encore hallucinatoires ( ...
Sentiments de tolérance et de convivialité, détachement ou engagement face à la législation sur le cannabis, équilibrage tacite du bien-être avec soi et du bien-être avec les autres, représentent souvent les axes de cette conception.