Faites-lui porter une montre pour éviter qu'il regarde constamment l'heure sur son téléphone… et équipez sa chambre d'un réveil analogique : pas d'excuse pour garder son portable la nuit ! Encouragez-le à faire du sport, proposez autant que possible des activités en famille et/ou avec ses amis loin des écrans.
Le temps conseillé devant un écran pour les adolescents par les experts est de 120 minutes par jour. Cette limite permet de réduire l'impact des outils numériques sur leur santé, et de leur faire garder un rythme naturel, en accord avec leur développement physiologique et cognitif.
- un sentiment de vide ou de déprime loin des écrans ; - une agressivité en cas d'impossibilité d'accéder aux écrans ou au réseau ; - une absence d'intérêt pour toute autre activité, y compris les occupations habituellement appréciées (ex. : scolarité, travail, moments passés en famille ou entre amis).
3 à 6 ans : 20 min. 6 à 8 ans : 30 min. 8 à 10 ans : 45 min. après 10 ans : 1 h.
En effet, le psychiatre Serge Tisseron proscrit un temps d'écran supérieur à 1 h 30 min par jour pour les enfants de 3 à 5 ans et 2 heures pour les plus de 6 ans et recommande la règle du « 3-6-9-12 ». Le neuroscientifique Michel Desmurget, plus alarmiste, note des effets délétères dès 30 minutes.
L'initiative européenne pour plus de sécurité sur la toile préconise les durées suivantes : De 0 à 3 ans : maximum 5 minutes. De 4 à 6 ans : maximum 20 minutes (mais pas tous les jours) De 7 à 10 ans : maximum 30 à 45 minutes chaque jour.
Il s'agit de lui donner des gratifications dans la vie réelle pour ne pas qu'il cherche une fausse popularité dans des univers virtuels.
Il suffit d'activer les restrictions (Réglages > Général > Restrictions), d'entrer un code secret à quatre chiffres puis de sélectionner les fonctionnalités à bloquer (Internet, vidéos, téléchargement de nouvelles applications…).
Entre 9 et 12 ans, l'enfant doit apprendre à s'autoréguler et à tenir lui-même le compte du temps passé devant les écrans, en n'excédant pas 1 heure par jour à 12 ans.
la lumière bleue émise par les écrans contribue à bloquer la production de mélatonine et favorise ainsi l'éveil, même à des niveaux faibles d'exposition ; les activités sur écrans maintiennent notre cerveau dans un état d'excitation intellectuelle peu propice à l'endormissement.
Une utilisation prolongée des écrans peut causer une sécheresse oculaire (du fait qu'on cligne cinq fois moins des yeux quand on regarde un écran), une fatigue visuelle, une vision trouble, des maux de tête, des yeux qui chauffent ou qui picotent de même qu'une perte d'attention ou de concentration.
ne pas s'exposer aux écrans le soir au lit : la mélatonine se sécrète dans l'obscurité. laisser de côté smartphones, tablettes, ordinateurs... 1h30 avant l'heure du coucher. attendre le lendemain matin pour lire, sms, mails et actualités.
Sur iPhone, vous pouvez choisir de prolonger l'utilisation de 15 minutes, ou indéfiniment en cliquant sur "ignorer la limite pour aujourd'hui". Sur Android, il faut retourner dans les paramètres du minuteur dans "Bien-être numérique et contrôle parental". Ne vous fixez pas non plus de limite intenable.
Ouvrez l'application Paramètres de votre téléphone. Appuyez sur Bien-être numérique et contrôle parental. Appuyez sur le graphique. Choisissez le temps que vous pouvez consacrer à cette application.
Limiter le temps passé sur certaines applications, restreindre l'accès en fonction de l'âge et des contenus prévient donc l'apparition de cette addiction et protège les enfants et adolescents de conséquences néfastes sur leur bien-être, leur santé mentale et leur développement.
Apprenez à écouter activement. Beaucoup d'ados pensent tout savoir sur tout et ne veulent donc pas écouter les autres. Apprendre que vous avez quelque chose à apprendre de chaque personne est un signe de maturité.
Abandon progressif d'autres sources de plaisir et d'intérêts au profit de l'utilisation de la substance psycho-active, et augmentation du temps passé à se procurer la substance, la consommer, ou récupérer de ses effets. Poursuite de la consommation de la substance malgré ces conséquences manifestement nocives.