Échanger avec la personne sur son traitement et parler de l'importance de respecter les prises régulières d'antalgiques afin d'éviter que la douleur ne s'installe. Envisager la possibilité de mettre en place des techniques complémentaires : acupuncture, relaxation, sophrologie, hypnose, auriculothérapie, etc.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.
Des méthodes alternatives, comme la chiropractie, l'acupuncture ou la naturopathie ont également fait leurs preuves dans le traitement de la douleur chronique chez les personnes âgées. D'aucuns se tournent même vers l'hypnose ou différentes thérapies naturelles.
Pour être aidant, il suffit d'écouter et d'offrir notre disponibilité. Dire "je suis là", "tu es important pour moi et tu peux m'appeler quand tu veux", "s'il y a quelque chose que je peux faire pour rendre ça moins lourd pour toi, je le ferai volontiers".
Sommaire Reine des prés et écorce de saule (mal de tête) Bicarbonate de soude (estomac) Gaulthérie (douleurs articulaires) Menthe (piqûres) Camomille (règles) Harpagophytum (arthrose) Lavandin super (crampes) Clou de girole...
Les médicaments utilisés en fin de vie sont, entre autres, des benzodiazépines comme le diazépam ou le midazolam et/ou des anesthésiques injectables comme le propofol. En cas de douleur insupportable, le patient peut demander une sédation profonde et continue jusqu'au décès, comme le prévoit la loi du 2 février 2016.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
Qu'elle exerce en institution ou à domicile, l'aide-soignante doit, au quotidien, être très attentive aux manifestations physiques de la douleur, ainsi qu'aux paroles exprimées par les patients, la famille ou les proches, qui peuvent parfois employer des images pour exprimer leur douleur indirectement.
Le paracétamol (Doliprane®, Efferalgan®, Dafalgan®) fait partie des médicaments anti-douleur les plus utilisés.
La loi du 4 mars 2002 a défini le contenu de l'obligation de prise en charge de la douleur. - Il résulte des dispositions de l'article L 1110-5 du CSP que les soignants doivent s'efforcer de prévenir la douleur, notamment lors des soins douloureux (pansements, biopsie, rééducation, etc.).
Cette substance opioïde est intéressante pour soulager les douleurs modérées à intenses qu'elles soient chroniques ou aiguës. On peut, par exemple, l'utiliser en cas de lombalgie ou de lumbago (douleur dans le bas du dos) ou de zona en phase aiguë.
Les molécules utilisables en remplacement de la morphine avec une efficacité équivalente sont l'oxycodone et peut-être le tapentadol. Le tramadol, la codéine ou la buprénorphine sont des analgésiques moins puissants qui ne peuvent réellement remplacer la morphine.
Pour remplacer le tramadol, il est recommandé de rester au sein du pallier 2 dont il fait partie. Le médecin peut alors prescrire du paracétamol associé à la codéine, à de la caféine, ou à la caféine et à l'opium. Une association d'aspirine, de codéine et d'opium existe également.
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
La conscience faiblit, les membres refroidissent, voire bleuissent ou se marbrent, et la respiration devient irrégulière. La confusion et la somnolence peuvent survenir dans les dernières heures.
Par voie orale, le midazolam est utilisé dans la prise en charge de convulsions chez l'enfant et le nourrisson. Par voie injectable, le midazolam est utilisé dans la prise en charge de : anesthésies, sédations.
Marcher, bouger et masser les jambes aident à calmer ces sensations désagréables. Certains ont remarqué que poser un oreiller lourd sur leurs jambes avait un effet préventif.
En font partie le paracétamol, l'aspirine et l'ibuprofène. On les trouve en vente libre et sur ordonnance. Le palier 2 concerne certains opiacés, en association avec du paracétamol. Le palier 3 désigne les antalgiques puissants (morphine, fentanyl) réservés aux douleurs sévères.
des mots de réconfort, de la douceur:
« Prends soin de toi », « Tout simplement, je t'aime », « Je suis loin et j'aimerais juste te prendre dans mes bras en ce moment ».
Ainsi le tramadol est interdit par l'UCI en cyclisme plus en raison des risques liés aux effets secondaires que par un effet dopant.