Coupez les tiges. En climat froid, n'hésitez pas à tailler à 20 cm du sol. Cernez le tronc d'un grillage en grandes mailles et suffisamment haut pour couvrir une bonne hauteur de tige. Remplissez l'espace de feuilles mortes, de paille... et ce jusqu'en haut du grillage.
Le bananier ne se taille pas.
La seule chose à faire est de le débarrasser de ses feuilles mortes à l'automne. Vous pouvez couper le bouquet de feuilles jusqu'au début du faux tronc avant de lui mettre sa doudoune pour l'hiver (lire ci-dessus).
Remplissez l'intérieur de feuilles mortes, de fougères ou de paille. Recouvrez le grillage avec un voile d'hivernage qui laisse l'air passer et fixez sur le dessus un morceau de bâche plastique pour ne pas que l'eau rentre à l'intérieur ce qui risquerait de faire pourrir le bananier.
Couper les feuilles en dessus de leur base, pas trop ras. Comme chez le palmier c'est cette base qui forme le “tronc”, le stipe de la plante, dont il faut garder entre 25 et 50 cm. Pour protéger le bananier, ne pas l'habiller de matière plastique ou autre qui conserverait l'humidité.
La résistance au froid du bananier est réelle. Certes, son feuillage devient marron et se met à pendre misérablement au premier coup de gel, mais le stipe lui même est capable de résister jusqu'à -5°C sans protection, et le rhizome de la souche peut tenir jusqu'à -12°C dans les mêmes conditions.
1) Le bananier résiste-t-il au gel ? Le bananier du Japon (Musa basjoo) est le plus résistant au froid. Au premier coup de froid, les feuilles du bananier deviennent marron et flétrissent. Les feuilles vers le bas, le bananier fait triste mine et n'est pas beau à voir.
Replanter un rejet de bananier
La repousse est plus lente, mais bel et bien effective si l'on prend soin de le replanter dans un substrat riche et humide. Avec une situation qui n'est ni trop ensoleillée ni trop ombragée et en enterrant très peu le collet.
Pour un belle croissance et un magnifique feuillage vous pouvez ajouter de l'engrais pour plantes vertes. Arrosage au printemps et en été : Il s'agit en général de la période de croissance pour le bananier. Pour le bananier en pot, arrosez régulièrement tout en laissant sécher le terreau en surface entre 2 arrosages.
Taille : 2 m à 2,50 m de haut. Feuillage : vert clair, jeunes feuilles teintées de rouges. Qualités : bananier nain aux fruits comestibles qui se cultive très bien en pot, et peut donc servir de plante d'intérieur. Il ne supporte pas les températures inférieures à -5°C.
Au printemps et en été, n'hésitez pas à l'arroser régulièrement en laissant toutefois sécher le terreau entre deux arrosages. Pour obtenir un très beau feuillage et une croissance optimale, n'hésitez pas à apporter de l'engrais pour plantes vertes à votre bananier durant la période estivale.
Concernant son cycle biologique, le bananier est une espèce monocarpique (il ne possède qu'un seul bourgeon terminal ou apex méristématique s'exprimant dans l'auxèse et la mérèse du végétal) et monoblastique (le végétal meurt après la floraison).
Les feuilles se couvrent de taches marron
Si les feuilles de votre bananier deviennent molles et se couvrent de taches marron de plus en plus larges, il s'agit probablement d'un problème d'excès d'eau au niveau des racines, ce qui peut entraîner rapidement leur pourrissement, surtout en hiver.
Le bananier produit beaucoup de racines (rhizomes) et a besoin d'un contenant de dimensions importantes.
– Le bord des feuilles brunit et les feuilles sèchent : la plante a soif et l'atmosphère est trop sèche. Placez le pot sur une soucoupe de billes d'argile tenues humides. – Les feuilles pâlissent lorsque le bananier manque de lumière. – La croissance est faible quand la plante a faim.
Le jaunissement des feuilles peut être causé à la fois par la sécheresse et les inondations. En effet, les bananiers ne se sentent pas bien par temps froid. Ainsi, lorsque les températures sont inférieures à 14 °C, les feuilles seront endommagées par le gel.
La température idéale pour faire pousser un bananier se situe entre 26 et 30°C. Vous devez tailler votre bananier en pot après 6 à 8 semaines d'une croissance soutenue. Pendant son développement, les surgeons vont commencer à pousser. Taillez-les tous de sorte à ne laisser qu'un seul surgeon.
Le bananier n'est pas un arbre.
C'est donc une plante herbacée. Il faut pour qu'un bananier pousse bien et donne plein de bananes 6 millimètres d'eau par jour. Si besoin les bananiers sont irrigués. Entre la plantation et la récolte il s'écoule 9 mois.
Re: Quand mon bananier va t-il repartir
Maintenant à savoir qu'au printemps je coupe en biais le tronc juste sous les attaches de feuilles si ça me semble mauvais je coupe plus bas et ainsi de suite. Souvent ça l'aide à repartir.
Le pied du bananier doit être coupé à un mètre du sol d'une coupe nette. La plante va repousser à partir de ses racines pour donner naissance à des pieds fils. Le pied du bananier est rabattu après la récolte des bananes.
Les racines qui se trouvent dans la zone superficielle du sol,entre 0 et 30 cm , représentent environ 60 p . cent du nombre total . Plus profondément, entre 30 et 60 cm, on e n trouve 20 p . cent.
Il est impossible d'évoquer les engrais naturels sans citer le marc de café, riche en azote et en phosphores, deux éléments nutritifs nécessaires pour les bananiers. Ne jetez plus votre marc de café (ni même de thé) ! Vous pouvez le mettre au pied de la plante en le mélangeant avec la terre. C'est tout !
Il est possible mais pas nécessaire de sortir le bananier du pot pour mieux y accéder. Coupez la jeune pousse avec un couteau bien éguisé le plus près possible de la plante mère. Placez la bouture de nouveau en pleine terre ou dans un pot (utilisez du terreau de semis de préfèrence).
Humectez la serviette avec de l'eau mélangée à un peu de bière et frottez chaque feuille. Vous pouvez également essayer avec un mélange eau lait. Cela a pour effet de rendre les feuilles plus brillantes. L'eau et la glycérine sont aussi conseillées, tout comme l'eau déminéralisée ou l'huile d'olive.
Une fois le régime récolté, la tige meurt. Un bananier ne produit donc qu'un seul régime, d'où l'importance de le couper après la récolte pour laisser la place au rejet (petite pousse à côté de celui qui vient de donner le régime).