En cas de nodule pulmonaire suspect, une intervention chirurgicale est envisagée. Elle consiste à retirer le nodule. En cas de développement cancéreux, une résection plus étendue peut être réalisée.
La résection cunéiforme (résection wedge)
Cette opération est indiquée pour enlever des nodules pulmonaires d'origine indéterminée (des petites boules anormales), des métastases ou des bulles dans le cadre d'un pneumothorax ou d'un emphysème.
La plupart des nodules pulmonaires sont très petits (moins de 10 mm de diamètre). Lors de l'examen d'imagerie, on observe qu'ils sont ronds et solides ou qu'ils semblent remplis de liquide. Puisqu'ils sont si petits, les nodules pulmonaires ne provoquent ni signe ni symptôme.
Les nodules ont plusieurs causes : Les infections du poumon sont une cause fréquente (pneumonie, tuberculose). Bien souvent, la cicatrisation du poumon infecté peut laisser une cicatrice sous la forme de un ou plusieurs nodules.
Un traitement de 2 à 3 mois suffit, normalement, pour que les nodules se résorbent et que les symptômes de l'hyperthyroïdie disparaissent.
Le traitement des nodules thyroïdiens dits "chauds" (sécrétant des hormones thyroïdiennes) est similaire à celui prescrit en cas d'hyperthyroïdie. Un traitement radical par chirurgie de la thyroïde ou par l'iode radioactif ou "iode 131" est choisi en fonction de chaque cas.
Un goitre volumineux peut causer une toux, une voix enrouée ou de la difficulté à respirer. Au Canada, la cause la plus fréquente du goitre est la présence de nombreux nodules thyroïdiens.
Le traitement des nodules thyroïdiens bénins inclut la thérapie aux hormones thyroïdiennes, la chirurgie, la thérapie à l'iode radioactif, la thérapie par injection percutanée d'éthanol et le traitement au laser ou le traitement par radiofréquence pour rétrécir les nodules.
infections et pneumonies : les infections du poumon, dont font partie les pneumonies, peuvent occasionner des douleurs thoraciques et dorsales. Celles-ci sont accompagnées d'une forte fièvre, de toux et d'une gêne respiratoire. Ces infections doivent être prises en charge par un médecin.
Les nodules peuvent avoir des causes très variées, mais en général ils sont le reflet d'une pathologie sous-jacente : Infections virales ou bactériennes (tuberculose, maladie de Lyme...). Inflammation. Abcès.
La technique d'exploration recommandée pour la recherche et le suivi des nodules pulmonaires est la TDM haute résolution (épaisseur de coupe < 2 mm) volumique sans opacification en inspiration et décubitus. Le produit dose longueur (PDL) doit être < 150 mGy.cm.
L'intervention est réalisée par une incision de la paroi latérale du thorax, d'environ 12 cm de longueur, sans enlever de côtes. Les suites sont un peu plus douloureuses qu'après thoracoscopie et l'hospitalisation est comprise entre 5 et 10 jours.
Selon une étude parue dans Nature : nos poumons ont la capacité de se régénérer après l'arrêt du tabac. Cela confirme un vieil adage : il n'est jamais trop tard pour arrêter de fumer.
La plupart des nodules mammaires ne sont pas cancéreux, mais des examens sont nécessaires pour le confirmer, car il est important de distinguer les nodules cancéreux des nodules non cancéreux.
Elle peut même provoquer des vomissements ou la fracture d'une côte si vous toussez très fort. La toux peut être sèche et quinteuse ou grasse et productive (expectorations). Il arrive parfois que les expectorations contiennent du sang provenant des poumons.
Ainsi une simple prise de sang pourrait déterminer qui doit se voir conseiller un dépistage précoce avec une plus grande précision. Cette identification des patients à risque de cancer du poumon permet dès lors de les orienter plus rapidement vers des examens spécifiques (CT scanner à faible dose).
Nous utilisons surtout l'endoscopie bronchique souple. De durée variable, entre 10 et 30 minutes, cet examen consiste à introduire, par les voies respiratoires naturelles (le nez ou la bouche), un tube flexible appelé bronchoscope qui permet d'examiner la trachée et les bronches.
Un nodule au sein peut être bénin (non cancéreux) ou malin (cancer). Le cancer peut être de type localisé appelé in situ ou être de type infiltrant. Vous trouverez dans la section « Types de cancer du sein » d'autres informations sur les différents types de cancer du sein.
Quand un nodule est-il considéré comme suspect ? Un nodule est considéré comme suspect lorsqu'il est solide et supérieur à 1 centimètre de diamètre. Dans ce cas, une cytoponction peut être réalisée. Cet examen consiste à introduire une aiguille très fine dans le nodule thyroïdien pour en extraire quelques cellules.
En cas de positivité ou de doute, seule l'ablation chirurgicale du nodule permet l'examen anatomopathologique et l'affirmation du diagnostic de cancer thyroïdien.
Parfois, le nodule connu devient douloureux et augmente de volume. Enfin, le nodule peut être découvert devant des symptômes d'hyperthyroïdie : perte de poids avec appétit conservé, diarrhée et nausées, chaleur mal supportée, palpitations, insomnies, tremblements, fatigue...
La toux chronique est un motif de consultation fréquent tant en pneumologie qu'en médecine générale. Les étiologies les plus courantes sont le syndrome de toux d'origine des voies aériennes supérieures (STOVAS), l'asthme et le reflux gastro-œsophagien (RGO).
Un nodule pulmonaire est défini comme une lésion focale, plus ou moins arrondie, de moins de 3 cm de diamètre, entourée de tissu pulmonaire sain. Au-delà de 3 cm on ne parle plus de nodule, mais de masse. Lorsque le diamètre est inférieur à 10 mm, on parle de micro nodule.