La tristesse peut se transformer en véritable force Après une rupture, on choisit le repli sur soi plutôt que la colère. Mais ce moment en tête à tête avec soi-même est aussi l'occasion de se poser les bonnes questions. Il est alors essentiel de réussir à mettre des mots sur ce chagrin.
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
La tristesse est souvent liée à un sentiment de perte d'une chose qui nous est chère. Nous pouvons, par exemple, pleurer le décès d'une personne qui compte pour nous ou la perte de capacités physiques à mesure que nous vieillissons.
La tristesse intense signe de dépression
Elle peut s'accompagner de pleurs inexpliqués et d'un sentiment de désespoir, de l'impression que tout va mal, que tout est noir, et que rien de positif ne peut nous advenir. Bien sûr, il nous arrive régulièrement d'être triste : la vie n'est pas uniquement constituée de joie.
Selon les émotions, agréables ou non, différentes zones du corps réagissent. Ainsi, le dégoût est plus souvent associé à des sensations au niveau du système digestif et de la gorge alors que la tristesse est liée à une moindre activité des membres inférieurs.
La peur exprime par exemple un besoin de sécurité, la colère un besoin de respect et de considération, la tristesse un besoin de réconfort et la joie un besoin de partage.
Le trouble explosif intermittent, ou TEI, est un problème de santé mentale caractérisé par de fréquents accès de colère excessive et d'impulsivité.
Il est normal, par exemple, d'être plus en colère après une mauvaise nuit de sommeil. Cependant, une irritabilité extrême ou prolongée peut indiquer des problèmes physiques et psychologiques sous-jacents, tels qu'une infection, du diabète, de l'anxiété ou une dépression.
La personne se sent dévalorisée, elle a l'impression qu'elle ne vaut rien, qu'elle ne fait que déranger les autres ce qui l'amène à culpabiliser. La tristesse s'y ajoute. La personne pense que la vie n'a plus de sens. Tout cela peut l'amener à se demander si ce ne serait pas mieux qu'elle ne soit plus là.
Tristesse chronique : signe alarmant de dépression
Il s'agit d'un phénomène normal lors d'un deuil, d'une perte ou à la suite d'un événement pénible. Par exemple vous pouvez vous sentir triste parce que vous avez perdu un être cher ou lorsque vous vous êtes violemment disputé avec votre meilleur ami.
Sans qu'il y ait forcément de raisons, la personne dépressive ressent une immense tristesse. Celle-ci est très envahissante et s'accompagne souvent d'un sentiment de désespoir. Il devient alors difficile d'éprouver du plaisir, tout devient sans intérêt comme si la vie n'avait plus de sens.
Le foie est en relation avec colère le Coeur est en relation avec la joie, La Rate est en relation avec l'excès de pensée, Le Poumon est en relation avec la tristesse, Le Rein est en relation avec la peur. En médecine occidentale on confirme le lien entre douleur et émotions notamment à travers la fasciathérapie.
le dégoût : cause -> nocivité, viol ; besoin -> sécurité, respect, accueil des émotions, justice ; la honte : cause -> non alignement avec les valeurs, moquerie, jugement ; besoin – > restauration de l'estime de soi et de la valeur personnelle, acceptation, amour inconditionnel.
Dans la colère, il est important de se rappeler que la vérité d'une personne est rarement la vérité d'une autre. Par conséquent, l'habitude de séparer vos points de vue de ceux de l'interlocuteur est utile dans la communication.
Le poumon et le gros intestin : la tristesse
Ces organes sont liés à la mélancolie, à la tristesse et à l'affliction. Les poumons régulent la respiration et l'intestin s'occupe de la digestion, de l'absorption des nutriments et de l'immunité de l'organisme.
La personne triste a tendance à adopter certaines réactions comportementales typiques suite à la perte de l'être cher, telles qu'un ralentissement psychomoteur, des cris, des pleurs, ainsi qu'un certain repli sur soi et une recherche de soutien (Freed et Mann, 2007 ; Izard, 2000).
LA TRISTESSE
On ne doit pas la nier mais il est important d'apprendre à la distancier pour la voir sous un angle différent. Il faut vivre avec, l'accepter, mais ne pas la laisser nous submerger : c'est une réaction saine tant qu'elle ne nous paralyse pas et que l'on garde le gout de faire les choses.
de troubles de l'humeur avec tristesse, abattement, découragement, pleurs fréquents, angoisse envahissante.