Exemple : > forme interrogative : Manges-tu des bonbons ? > forme négative : Tu ne manges pas de bonbons.
interro-négatif, interro-négative (Réf. ortho. interronégatif, interronégative, interronégatifs) Se dit d'une phrase interrogative dont l'interrogation porte sur une phrase négative (par exemple Ne viendra-t-il pas demain ?).
La phrase négative dit le contraire de la phrase positive. On met une phrase à la forme négative en encadrant le verbe par : ne… pas , ne… plus, ne… jamais, etc. Attention à ne pas oublier le ne (ou n') devant le verbe, à l'écrit comme à l'oral !
Lorsque la question est négative, la réponse est en si ou en non, comme l'illustrent les exemples ci-dessous. (1) A. – Néron est-il humain ? B.
interrogative : l'une en utilisant est-ce que, l'autre en utilisant l'inversion du sujet. Demain, nous partons en vacances à la mer. Demain, est-ce que nous partons en vacances ?
La phrase négative s'oppose à la phrase affirmative. Elle sert à dire le contraire. Pour transformer une phrase affirmative en phrase négative, on encadre le verbe par une des négations suivantes : ne/pas, jamais, ne/plus... Par exemple : Gustave ne met pas son chapeau.
On peut remplacer la négation simple ne ….. pas par une négation complexe : ne ... plus, ne ... jamais, ne... personne, ne ... rien, ne...
On utilise le plus souvent des adverbes exprimant la négation : ne… pas, ne… point, ne… guère, ne… plus, ne… jamais, etc. Ex. : Maxime n'a pas prévu de se rendre en Espagne l'été prochain.
La forme interrogative la plus soutenue est celle de l'inversion du sujet. Un trait d'union apparaît entre le verbe et le sujet qui se retrouve alors à droite du verbe : verbe + trait d'union + sujet + complément + ?.
Ils ne sont pas encore arrivés. Ils ne sont toujours pas arrivés.
JAMAIS (apparaît aussi comme le contraire de souvent, toujours, déjà...).
. Cela signifie que l'interrogation est formulée sous la forme d'un complément de verbe : Je me demande si elle est heureuse d'avoir remporté cette compétition.
La proposition interrogative indirecte est une subordonnée introduite soit par la conjonction si, soit par un terme interrogatif : pronom (qui, que, quoi, lequel), déterminant (quel) ou adverbe (comment, pourquoi, où, quand, combien). Dis-moi s'il est heureux et ce qu'il compte faire.
Voici la transformation d'une phrase interrogative en phrase impérative : Voulez-vous me dire pour quelle raison vous peignez ces roses ? → Phrase interrogative. Dites-moi pour quelle raison vous peignez ces roses.
Construite en associant l'adverbe « ne » et un mot négatif, elle porte sur un seul élément de la phrase : « Elle ne mange rien » (négation de « Elle mange quelque chose » : la négation porte sur « quelque chose »). « Je n'entends personne » (négation de « J'entends quelqu'un » : la négation porte sur « quelqu'un »).
Tout en liant les termes, la conjonction « ni » les disjoint. Emploi : La conjonction « ni» s'emploie généralement avec la particule de négation « ne », placée avant ou après « ni ». Elle est utilisée pour lier des propositions négatives ou différents termes d'une proposition négative.
L'emploi de ou pour coordonner des éléments dans une phrase négative est incorrect. En fait, dans une phrase affirmative, ou sert à marquer une alternative. Dans une phrase négative, c'est le coordonnant ni qui joue ce rôle.
Les formes de phrases. Les phrases sont ainsi classées par types (déclarative, interrogative, exclamative, injonctive), mais elles peuvent aussi prendre différentes formes : l'affirmation/la négation, la voix active/la voix passive, la forme personnelle/la forme impersonnelle et la forme neutre/la forme emphatique.
L'interrogation, ou la phrase interrogative, se détermine par plusieurs caractéristiques : l'inversion du sujet ; l'usage du point d'interrogation (et le ton ascendant exprimé à l'oral) ; l'emploi de mots interrogatifs.
La phrase interrogative a essentiellement pour but de poser une question, de demander une information. , selon la place de l'interrogation dans le discours. , d'après la portée de l'interrogation dans l'énoncé.