Introduite par une conjonction de subordination (comme, lorsque, puisque, quand, quoique, si...) ou une locution conjonctive (dès que, parce que, afin que, bien que, jusqu'à ce que...). La subordonnée conjonctive peut généralement se déplacer. Nous marchons en forêt quand le temps le permet.
Les propositions subordonnées circonstancielles peuvent marquer le but, le lieu, la cause, la conséquence, etc. tout comme les compléments circonstanciels dans une phrase simple.
La proposition principale, la proposition indépendante ( coordonnée, juxtaposée ou non ) n'ont pas de fonction. La proposition subordonnée relative est toujours complément de l'antécédent du nom. La proposition subordonnée conjonctive a pour fonction Complément circonstanciel (de temps, de manière, de but, de cause...)
Qui, pronom relatif. Qui, sujet, peut représenter des personnes ou des choses : l'homme qui parle ; le chien qui aboie ; la pomme qui tombe.
Une fonction est une relation mathématique qui prend une valeur et lui en associe une autre. On note souvent f la fonction et x le nombre de départ. On note f(x) le nombre d'arrivée. Par exemple, fonction f(x) = 2x + 3 est une fonction qui a tout x associe 2x+3.
quand adv. interr. Sert à questionner sur le moment d'une action, d'un événement.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où et les formes composées : lequel, auquel, duquel, etc.). Le plus souvent, elle complète un nom ou un pronom (= son antécédent), sur lequel elle apporte des précisions. Sa fonction est alors épithète.
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle apporte des précisions sur les circonstances dans lesquelles a lieu la proposition principale. Elle joue le rôle de complément circonstanciel. Elle est introduite par une conjonction de subordination (quand, si, comme, etc.)
Les propositions subordonnées complétives sont COD du verbe qu'elles complètent. Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
Pour distinguer la nature et la fonction d'un mot, il suffit de se souvenir du train de la phrase. Les passagers qui montent à bord du train représentent la nature des mots et les wagons qui composent le train représentent la fonction des mots. C'est ce que l'on appelle l'analyse grammaticale.
La phrase contient une ou plusieurs propositions. On distingue trois sortes de propositions: La proposition indépendante comme son nom l'indique, ne dépend de rien, et rien ne dépend d'elle; elle se suffit à elle-même.
- Une proposition indépendante a un sens par elle-même ; elle ne dépend d'aucune autre proposition. - Lorsqu'il y en a plusieurs dans une phrase, elles sont juxtaposées si elles ne sont pas reliées par un mot de liaison.
Une proposition subordonnée complétive a pour fonction d'être COD du verbe de la proposition principale. Exemple : Je te dis que c'est vrai. : la proposition subordonnée complétive que c'est vrai est COD du verbe dis. Elle fait donc partie du groupe verbal prédicat et ne peut pas être supprimée. Exemple : Je te dis.
Rôle joué par un élément dans un ensemble, destination d'un appareil ; activité, rôle, destination de quelque chose : Quelle est, dans le moteur, la fonction des bougies ? 3. Rôle exercé par quelqu'un au sein d'un groupe, d'une activité : Remplir correctement sa fonction.
Si la proposition subordonnée se rapporte à un nom, ce sera une « relative ». Si elle se rapporte à un autre élément (à l'ensemble de la proposition ou à un verbe), ce sera une « conjonctive ».
- La proposition principale commande une proposition subordonnée qui complète le sens de cette principale. - Il va à la banque pour ouvrir un compte. - Le joueur a été expulsé parce qu'il avait contesté la décision de l'arbitre.
laure, la subordonnée complétive n'est autre qu'une conjonctive. Parmi les subordonnées conjonctives,introduites par la conjonction de subordination ''que', on a deux sortes de subordonnées: - la complétive: quand le complément est essentiel, important pour le sens de la phrase. Ce complément peut-être COD ou sujet.
pronom. Pronom relatif des deux genres et des deux nombres servant à relier une proposition correspondant à un complément introduit par de. ➙ duquel, de qui.
attribut : le pronom est "qui" au sens de "celui qui" ou "quoi" précédé d'une préposition (Cet homme n'est pas qui vous pensez. C'est à quoi je rêve.). complément d'objet : le pronom est "qui" ou "quiconque" (Aimez qui vous aime.
La fonction grammaticale d'un mot
Anaïs prend son bain. Dans la phrase précédente, les mots ont différentes fonctions grammaticales : Le nom "Anaïs" est le sujet de la phrase, c'est sa fonction grammaticale. Le verbe "prendre" est le verbe conjugué principal de la phrase, c'est sa fonction grammaticale.