On peut alors calculer l'argument de đ§ dans les diffĂ©rents quadrants comme suit : Quadrant 1 : a r g ( đ§ ) = đ Quadrant 2 : a r g ( đ§ ) = đ â đ Quadrant 3 : a r g ( đ§ ) = đ â đ
La dĂ©finition du conjuguĂ© de đ§ = đ + đ đ est đ§ = đ â đ đ . Si đ§ est un nombre rĂ©el pur, on sait que đ = 0 . Ainsi, on conclut que si đ§ est un nombre rĂ©el, đ§ = đ§ .
Le module d'un nombre complexe z=a+ib est : âŁzâŁ=a2+b2 . Un argument d'un nombre complexe non nul z est une mesure en radian de l'angle orientĂ© Ξ tel que cos(Ξ)=âŁzâŁRe(z) et sin(Ξ)=âŁzâŁIm(z). Il est dĂ©terminĂ©, en fonction des valeurs du cosinus et du sinus, grĂące au tableau suivant.
Quel est l'argument d'un imaginaire pur ? L'argument d'un nombre complexe est l'angle formĂ© par le nombre complexe et l'axe des rĂ©els positifs dans le plan complexe. Pour un nombre imaginaire pur, l'argument est Ă©gal à ±Ï/2, selon le signe de la partie imaginaire.
Un argument d'un nombre complexe z non nul est une mesure (en radians, donc modulo 2Ï) de l'angle entre la demi-droite des nombres rĂ©els positifs (l'axe des abscisses) et celle issue de l'origine et passant par le point reprĂ©sentĂ© par z (voir la figure ci-contre).
- Le nombre a s'appelle la partie réelle et la nombre b s'appelle la partie imaginaire. On note Re(z) = a et Im(z) = b . Remarques : - Si b = 0 alors z est un nombre réel. - Si a = 0 alors z est un nombre imaginaire pur.
Astuce. Pour dégager les arguments d'un texte argumentatif, il est possible de se poser la question suivante : Pourquoi l'auteur ou l'autrice pense-t-il ou pense-t-elle que⊠[thÚse]? Les énoncés qui constituent une réponse à cette question sont les arguments.
Dans les cas les plus simples, l'auteur affirme d'une maniÚre ou d'une autre qu'il a l'intention de persuader son public, de soutenir une idée, ou au contraire de s'y opposer. Il est alors trÚs probable que le texte contiendra des arguments.
Les arguments peuvent simplement venir d'un raisonnement ou ĂȘtre empruntĂ©s Ă un quelqu'un dont l'autoritĂ© c'est-Ă -dire la compĂ©tence sur le sujet est reconnue. Ils peuvent aussi provenir de l'expĂ©rience et de l'observation voire ĂȘtre un exemple bien choisi.
Le module d'un nombre complexe đ§ = đ + đ đ est dĂ©fini par | đ§ | = â đ + đ . ïš ïš . Si đ§ est un nombre rĂ©el, son module est simplement sa valeur absolue. Pour cette raison, on appelle souvent le module, la valeur absolue d'un nombre complexe.
Pour un nombre complexe de la forme đ plus đđ, son conjuguĂ© notĂ© đ§ barre ou đ§ Ă©toile est đ moins đđ. En termes simples, le conjuguĂ© d'un nombre complexe est trouvĂ© en changeant le signe de la partie imaginaire du nombre.
ThĂ©orĂšme â DĂ©finition : Tout nombre complexe non nul z s'Ă©crit sous la forme suivante : z = r (cos (Ξ) + i sin (Ξ)) avec r = |z| et Ξ = arg (z) [2Ï] Cette forme est appelĂ©e forme trigonomĂ©trique du complexe z.
Exemple : Pour z = 2+3i et zâČ = â1+4i, calculer z2 = 2z +3zâČ et z3 = (z +1)(i +z).
Interprétation géométrique
Si on interprÚte z comme un point dans le plan, c'est-à -dire si on considÚre son image, alors |z| est la distance de (l'image de) z à l'origine. Il est utile d'interpréter l'expression |x - y| comme la distance entre les (images des) deux nombres complexes x et y dans le plan complexe.
MĂ©thode 1: Effectuer la division euclidienne et rĂ©cupĂ©rer la valeur du reste. La valeur du modulo est la valeur du reste, donc 123âĄ3(mod4) 123 ⥠3 ( mod 4 ) . Il est possible de dĂ©finir des modulos nĂ©gatifs (plus rares), dans ce cas 123=31Ă4â1 123 = 31 Ă 4 â 1 , donc 123âĄâ1(mod4) 123 ⥠â 1 ( mod 4 ) .
1 Présenter la controverse soulevée par la question fondamentale. 2 Prendre clairement position, c'est-à -dire énoncer votre thÚse concernant la question posée. 3 Soutenir cette position par la formulation d'arguments crédibles et pertinents faisant appel aux notions et concepts vus en classe.
Les arguments sont les raisons de fond qui sont avancĂ©s pour justifier sa thĂšse et convaincre le lecteur. Il faut les distinguer des figures rhĂ©toriques qui cherchent Ă persuader par la forme (beautĂ© du discours, force des imagesâŠ). Comme la thĂšse, les arguments s'opposent Ă des arguments adverses explicites ou non.
« Pierre est un grand joueur d'Ă©chec. De plus, c'est un trĂšs bon chercheur. Donc Pierre est intelligentâ constitue un argument. Attention, nous dĂ©couvrirons bientĂŽt que certaines prĂ©misses ou la conclusion d'un argument peuvent ĂȘtre omises.
Arguments et exemples
Il les appuie et les rend plus concrets grĂące Ă des exemples. Un argument est abstrait, gĂ©nĂ©ral : il fait le plus souvent appel Ă la logique. Un exemple est plus concret, plus particulier, voire mĂȘme anecdotique.
Lorsqu'un nombre complexe est Ă©crit sous la forme a+bi a + b i , oĂč a,bâR a , b â R , on appelle a la partie rĂ©elle et b la partie imaginaire. (Notons que i n'est pas inclus dans la partie imaginaire.)
DĂ©finition : On appelle nombre complexe toute quantitĂ© de la forme a + ib, o`u (a, b) â R2 et o`u i est un nombre complexe tel que i2 = â1. a est la partie rĂ©elle de z et b est la partie imaginaire et on note a = Re (z) et b = Im(z). Vocabulaire : Si la partie rĂ©elle de z est nulle, on dit que z est imaginaire pur.
Un nombre est Ă©gal Ă son conjuguĂ© si et seulement s'il est rĂ©el : Ëz=zâzâR. Un nombre est Ă©gal Ă l'opposĂ© de son conjuguĂ© si et seulement s'il est imaginaire pur : Ëz=âzâzâiR. Le conjuguĂ© d'une somme est Ă©gal Ă la somme des conjuguĂ©s : ÂŻz±zâČ=Ëz±¯zâČ.