L'atterrissage L'avion descend sur une pente finale stabilisée à la vitesse d'atterrissage. Près du sol le pilote « arrondit » c'est-à-dire qu'il cabre l'avion pour réduire la pente de descente afin de venir tangenter le sol. En même temps, il réduit complètement la puissance des moteurs.
En sortant les hypersustentateurs (volets) progressivement et à fond. En réduisant la vitesse de l'avion à sa vitesse de décrochage + 10%, selon la masse restante, +5% en cas de rafales ou vent de travers. Puis en descendant selon une pente de 2,5° et en maintenant la vitesse constante.
Pour faire tourner l'avion vers la droite ou vers la gauche, les ailerons sont relevés sur une aile et abaissés sur l'autre. L'aile avec l'aileron abaissé monte tandis que l'aile avec l'aileron relevé descend. Le tangage fait descendre ou monter un avion.
Poussée + Portance > Poids + Traînée
De plus, alors que la vélocité de l'avion augmente, la force de portance augmente. Ceci crée le déséquilibre de la force qui fait décoller l'avion du sol. Les avions montent généralement jusqu'à ce qu'ils atteignent l'altitude et la vitesse.
Les ailes sont courbées sur le dessus et plates en dessous. Elles sont aussi un peu inclinées. Ce qui veut dire qu'elles ne sont pas droites comme une planche. C'est grâce à leur forme que l'air du ciel peut voyager autour des ailes et faire soulever l'avion.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Lorsque l'avion est en mouvement, cette forme courbée provoque un rétrécissement de la zone de circulation de l'air au niveau de l'avant de l'aile (bord d'attaque). On appelle ce phénomène l'effet venturi. Il provoque alors une dépression qui aspire l'avion vers le haut et lui permet de tenir dans les airs.
La force de traînée est donc celle qui s'oppose au mouvement de l'avion ; c'est la résistance à l'avancement. La force de portance, ou de sustentation, est celle qui maintient l'avion en l'air.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Ils desservent des lignes régulières, ou sont affrétés pour le transport de groupes à partir et à destination d'aéroports commerciaux. En moyenne, ils volent à une altitude de 17 000 à 40 000 pieds (5 200 à 12 200 m ) et à une vitesse de croisière comprise entre 810 et 920 km/h .
Le premier, c'est l'économie de carburant. Un avion, ça consomme beaucoup de kérosène. Un Airbus A320, c'est 3 000 litres par heure de vol. Voler très haut permet d'en dépenser moins car à ces altitudes élevées, l'air étant moins dense, il offre moins de résistance à l'avion.
En aviation, le calcul de l'itinéraire prend en compte plus de variables. C'est pour cela que les avions ne volent pas en ligne droite.
Un avion vole grâce à la portance de ses ailes, qui varie (pour faire simple) selon l'angle entre les filets d'air et la corde de l'aile. C'est ce qu'on appelle l'angle d'incidence.
Situé sur l'île néerlandaise de Saba, l'aéroport Yrausquin dispose de la piste la plus courte au monde. Elle mesure seulement 396 mètres.
Premier de la liste : l'aéroport Tenzing-Hillary de Lukla, au Népal, qui est donc considéré comme l'un des plus dangereux du monde. Il faut dire qu'il est perché à 2 845 mètres d'altitude, et bordé par une falaise de 700 mètres de haut.
Les avions de chasse optent pour le vol à basse altitude pour éviter de se faire détecter ou de se faire prendre pour cible par l'ennemi. Par mauvais temps, il est aussi préférable, voir important, de rester en vue du sol ou de l'eau.
Mais leurs qualités aérodynamiques peuvent aussi constituer un danger : même au sol, un avion conserve ainsi une tendance naturelle à s'orienter « face au vent » ! Malgré une masse importante, sous l'effet de vents forts, un avion mal calé peut ainsi se déplacer et occasionner d'importants dégâts.
La rotation de la Terre n'a pas cet effet car les avions se déplacent par rapport à l'atmosphère, et l'atmosphère suit la rotation de la Terre en moyenne. En l'absence de vent, votre parcours dans l'air est identique, que vous alliez vers l'Est ou vers l'Ouest.
Un avion sombre se réchaufferait beaucoup plus, ce qui obligerait la climatisation à travailler plus fort. Cependant, plus le système de climatisation fonctionne, plus l'avion consomme du carburant - ce qui est coûteux et mauvais pour l'environnement. C'est la deuxième raison de la couleur blanche."
Portance. La poussée du moteur fait avancer l'avion, mais ce n'est pas ce qui le fait décoller du sol; le gros du travail est effectué par la forme et l'angle des ailes de l'avion. Les ailes sont fixées à l'avion à un angle de 5 à 10 degrés. Elles sont plates à la base et arrondies sur le dessus.
Il existe quatre forces qui agissent sur les objets qui volent. Il s'agit du poids, de la portance, de la poussée et de la traînée. Chacune d'entre elles joue un rôle essentiel pour maintenir un avion dans les airs et le faire avancer.
Malgré le poids d'un avion, oui ils sont bien cables de flotter, et même un long moment si celui-ci n'a pas subit trop de dommages. Dans le cas contraire, et surtout si de l'eau parvient à s'infiltrer dedans, son temps de flottaisons sera réduit considérablement!
Bien sûr qu'un avion de ligne peut rester immobile à basse altitude. Il lui suffit de freiner. Même à très basse altitude, c'est plus facile, ainsi quand il arrête de bouger il brûle moins. AFR447 est immobile à très très basse altitude, sous le niveau de la mer.
Les patients souffrant d'une maladie cardio-vasculaire
Que cela soit de l'angor de poitrine ou un infarctus du myocarde, les personnes souffrant d'une pathologie cardio-vasculaire non stabilisée doivent éviter l'avion. "C'est en effet une contre-indication" estime le médecin.
Si un avion vole, c'est justement grâce à la force exercée par le vent sur ses ailes. Il peut donc chuter un peu brutalement quand le vent devient capricieux.