Les hommes, qui sont passés ou sont destinés à passer par l'armée, observent le plus souvent l'usage militaire et disent " Mon commandant ", " Mon colonel ", etc. Cependant, les civils qui occupent une haute situation sociale ou ne sont plus d'âge militaire peuvent supprimer le " Mon ".
a) par le titre « Monsieur », « Madame » ou « Mademoiselle », selon le cas, suivi de leur nom, lorsque des officiers et des militaires du rang de même grade s'adressent à eux, b) par le titre « Monsieur » ou « Madame, selon le cas, lorsque des militaires de grades inférieurs s'adressent à eux.
Pour les hommes de la société civile, les mêmes appellations sont utilisées pour s'adresser à un officier, alors qu'une femme non militaire s'adresse à un officier subalterne en disant « Monsieur » et à un officier supérieur en l'appelant directement par son grade sans le faire précéder de « mon ».
au lieutenant-colonel, Mes respects mon colonel ; au colonel, Mes respects mon colonel. Cependant lors d'une présentation nous dirons Je vous présente le lieutenant-colonel Alpha. Pour ce qui concerne la formule d'appel utilisée dans un courrier, on utilisera Mon Colonel pour le grade de lieutenant-colonel.
Saluer vient du latin « Solve » qui veut dire sauver. Ainsi le salut indique à la personne le fait que je peux la sauver, quoi de plus normal pour notre profession. Chez les militaires le salut a la même signification : je peux te sauver, te protéger, je t'assure de ne pas t'attaquer.
Comment un civil doit appeler un gendarme ? Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
notamment aux subalternes... si vous êtes un civil en écrivant un courrier, dites seulement "Commandant + nom" ou alors comme il a été dit précédemment par sa fonction "monsieur le chef de centre" par exemple.
Il est d'usage pour un officier de présenter ses respects au supérieur hiérarchique. « Je vous présente mes respects Mon Colonel » ou « mes respects Mon Colonel» et de dire bonjour au subordonné.
Les formules telles que «lieutenante» ou «colonelle» sont rarement utilisées au sein de l'armée française, qui est pourtant l'une des plus féminisées d'Europe.
Locution interjective. (France) (Militaire) Ordre donné lorsqu'un officier général ou l'officier commandant la formation entre en uniforme et coiffé dans un local, et à la suite duquel les militaires présents se mettent au garde à vous avant que l'autorité ne les mette au repos.
Lorsqu'on s'adresse à lui, on lui dit « Major » si on est d'un grade égal ou supérieur au sien, sinon on lui dit « Mon major ». Le capitaine de corvette se fait appeler « Commandant ».
Pourquoi dit-on ''mon'' avant de s'adresser à un officier ? Mon lieutenant, mon colonel, mon général, etc. sont tout simplement des abréviations de ''Monsieur le lieutenant, colonel, général, etc.'' il ne faut penser en aucun cas qu'il s'agisse d'un pronom possessif.
Un autre, plus téméraire, se fait lui aussi arrêter après avoir commencé sa phrase par « Mon Général, mes devoirs » : autrefois employée par les putschistes saluant le Général de Gaulle en Algérie, cette expression est aujourd'hui signe de rébellion contre l'autorité.
« Merci de vos nombreux sacrifices. C'est grâce à vous si aujourd'hui nous nous sentons en sécurité. Merci encore, jamais nous n'oublierons. »
Le général d'armée et l'amiral sont les plus hauts grades de l'armée française.
Général de Brigade
« Mon Général » – Dans la gendarmerie, l'armée de terre et l'armée de l'air, le mot « Mon » devant certains grades signifie Monsieur. Il n'est donc pas utilisé pour le personnel féminin.
Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
Colonelle, subst. fém. Épouse de colonel. On appelait une femme Madame la générale.
Une colonelle est une femme ayant le grade d'officier supérieur dans l'armée de terre, la gendarmerie ou l'armée de l'air.
Mon Colonel, Je me réjouis pour cette distinction qui récompense votre dévouement pour notre patrie. Votre engagement est total et cette médaille qui vous honore, était bien due à l'homme dont la déjà longue carrière est jalonnée de succès.
Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
Une légende prétend qu'après la défaite de Trafalgar, Napoléon, qui tenait pour responsables les officiers de la « Royale », décida qu'on ne leur dirait plus « mon » devant leur appellation de grade, « mon » étant le diminutif de « monsieur » ; il les aurait ainsi punis en leur retirant cet honneur.
Formule de politesse : Je vous prie d'agréer, (titre), l'expression de mon respectueux souvenir. Lettre adressée aux militaires : NOTE : Mon = abréviation de "monsieur". Les femmes utiliseront juste le terme "Colonel" (sans "mon").
Lorsqu'un officier est un homme, on s'adresse à lui en faisant précéder son grade de « mon », « mon colonel » par exemple ; en revanche on appelle un officier féminin directement par son grade.