Les conjonctions de coordination ne doivent pas s'employer en début de phrase ; si cette règle peut souffrir quelques exceptions, essentiellement pour des raisons stylistiques, s'agissant de mais, donc ou et, il n'en va pas de même pour car.
Le mot « car », c'est ce qu'on appelle une conjonction de coordination. Ce sont des mots qui sont invariables (c'est-à-dire qu'ils ne varient jamais, il n'y a pas d'accord, etc., les mots restent comme ils sont, ils ne varient pas) et ils servent à relier deux phrases ou deux événements ou deux actions.
En utilisant la conjonction car, on souhaite généralement introduire une explication ou une justification. Tout comme la conjonction mais, la conjonction car est précédée le plus souvent d'une virgule : Exemples : Je serai en retard, car j'ai eu un problème de voiture.
Comme la conjonction car introduit une explication ou une justification, elle est généralement précédée d'une virgule : Les gens économisent, car ils ont peur de perdre leur emploi. Elle a dû renoncer aux travaux d'aiguille, car elle fait de l'arthrite.
Les conjonctions de coordination ne doivent pas s'employer en début de phrase ; si cette règle peut souffrir quelques exceptions, essentiellement pour des raisons stylistiques, s'agissant de mais, donc ou et, il n'en va pas de même pour car.
“Car” est aussi plus utilisé à l'écrit. Finalement, “car”, à la différence de “parce que”, est toujours précédé d'une virgule. Et on ne le trouve pas en début de phrase ! D'ailleurs, “car” ne répond pas à la question “pourquoi ?” Dans ce cas, on doit utiliser “parce que”.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
« Mais où est donc Ornicar ? », ou « Mais où est donc Carnior ? » en Belgique, en France, au Liban et au Québec, est une phrase mnémotechnique permettant de retenir les conjonctions de coordination en français (à savoir : mais, ou, et, donc, or, ni, car).
Les pronoms dont, où, que et qui sont toujours précédés d'une virgule lorsqu'ils introduisent une relative explicative : Le Coquelicot, où j'ai mangé mes premières crêpes Suzette, est l'un de mes restaurants préférés.
L'information contenue dans cette nouvelle phrase n'est pas exactement la même que celle de la précédente : car exprime une justification plutôt qu'une cause. La différence est encore plus évidente dans les phrases suivantes : Marie est malade, car je ne l'ai pas vue de la journée.
MAIS, OU, ET, DONC, OR, NI, CAR sont des conjonctions de coordination. Elles coordonnent ou lient deux mots ou deux propositions de nature ou de fonction identiques.
Lorsque la cause est mensongère ou s'il s'agit d'une excuse, on emploie "sous prétexte que". Exemple : Il arrivait chaque jour en retard sous prétexte que sa montre retardait. Il est introduit par les locutions prépositives : à cause de(du), en raison de (du), grâce à, à force de + nom.
Car, à la différence de parce que, est toujours précédé d'une virgule. Car en effet n'est admis que dans le cas très rare où en effet signifie « dans la réalité, dans les faits » : il peut l'imposer, car en effet et non plus seulement en théorie il en a maintenant le pouvoir.
CAR: indique une cause. Exemple : Il mange du poulet car il a faim. Consigne : Inscrivez la bonne conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car).
Le mot "car" appartient à une classe grammaticale spécifique : c'est une conjonction. La "classe grammaticale d'un mot" peut être appelée : Catégorie grammaticale d'un mot.
"or" ressemble à "mais", mais il est plus utilisé pour rétorquer, chercher à démontrer, mettre en doute ou exprimer la surprise en reliant deux propositions logiques mais opposées. On pourrait presque dire que c'est le contraire de "donc", car il sert à renforcer le contraste entre deux oppositions.
Conjonction de coordination qui permet d'indiquer une différence, une opposition, une précision, une objection ou une transition. Exemple : Il a faim mais il a oublié son pique-nique.
Il s'agit alors de la conjonction de coordination « or ». Dans le cas contraire, il convient d'écrire « hors », lequel signifie « en dehors de ». Il avait rendez-vous ce matin, or il ne s'est pas présenté. = Il avait rendez-vous ce matin, et il ne s'est pas présenté.
Lorsqu'une phrase contient plusieurs verbes conjugués, elle est complexe. Exemple : Je vais au concert ce soir et je rentrerai tard. Le verbe conjugué est le noyau d'une phrase, il y a donc autant de propositions que de verbes conjugués.
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
Les adverbes en –ment sont construits à partir d'un adjectif. Il y a trois cas de figure possibles: L'adjectif se décline au féminin, dans ce cas on garde son radical on ajoute -ment: bref → brève → brièvement; vif → vive → vivement; précis → précise → précisément; etc.
Car, parce que et puisque sont tous invariables. Ils ont un sens très proche et sont utilisés pour exprimer un lien causal entre une action et un résultat. « Car » est une conjonction de coordination et permet de donner une explication, une raison, une cause.
Les termes et structures qui expriment la conséquence sont : donc, alors, ainsi, en conséquence, par conséquent, c'est pourquoi, si bien que, de manière que, de façon que, de sorte que, si … que, tellement … que, au point de/que, à tel point que, un tel … que, une telle … que, de tels … que, de telles … que, il suffit ...
Elle a froid, c'est pourquoi elle tremble. Dans l'exemple précédent, "c'est pourquoi elle tremble" exprime la conséquence de la première proposition. Elle a froid donc elle tremble. Dans l'exemple précédent, "donc elle tremble" exprime la conséquence de la première proposition.