Pour indiquer la fin d'une période, on utilise jusqu'à suivi d'une indication de temps (ce soir, demain, lundi, Noël, mon retour, etc.) Je peux t'emprunter ta voiture jusqu'à lundi prochain ? Jusqu'à l'âge de 10 ans, je n'ai jamais mangé de moutarde.
Cette locution marquant la concession a le sens de « bien que, quoique ». Elle s'emploie normalement avec le subjonctif : Il est honnête, encore qu'il soit démuni. Ce saumon est savoureux, encore qu'il refroidisse très vite.
Bien entendu, on écrit « quand » dans « Quand portes-tu des shorts ? » (= À quel moment portes-tu des shorts ?). N.B. On évitera de confondre ces deux mots avec « qu'en », contraction de « que en ».
alors que
Avec l'indicatif, marque une opposition ; tandis que, et pourtant : Ici on grelotte, alors que là-bas on étouffe. 2. Littéraire. Avec l'indicatif imparfait, marque un rapport de temps ; lorsque, quand : Alors qu'il était encore enfant.
Adverbes et conjonctions exprimant l'opposition ou la concession. Les adverbes (et locutions adverbiales) "quand même", "pourtant", "cependant", "néanmoins", "toutefois", "au contraire" et les conjonctions de coordination "mais" et "or" introduisent l'expression de l'opposition et de la concession.
Pour éviter de confondre quand et quant, si l'on peut remplacer le mot dont on doute par lorsque, il faut écrire quand avec un d. Si l'on peut remplacer ce mot dont on doute par au sujet de, il faut écrire quant avec un t.
Comme certains ouvrages de référence mentionnent qu'il est préférable d'employer le subjonctif avec la locution jusqu'à ce que, on peut préférer utiliser la locution jusqu'au moment où suivie de l'indicatif pour exprimer l'idée d'un fait réel.
Mieux avisé, A. Lemaire, en 1862, apporta d'utiles distinctions : jusqu'à ce qu'est suivi du subjonctif quand on veut marquer le but de l'action, mais l'indicatif si l'on veut indiquer seulement " une circonstance de temps ".
Locution conjonctive
En attendant qu'un fait se produise à un moment donné et sans dépasser ce terme. Travaillez ferme jusqu'à ce que vous réussissiez.
jusque. Devant une préposition, un adverbe, indique : 1. Une limite, un seuil, une période qui ne sont pas dépassés, le terme d'une action : La fièvre est montée jusqu'à 40°.
Si la formule «jusqu'aujourd'hui» est plus littéraire et donc plus acceptable selon le Littré que sa cousine, «jusqu'à aujourd'hui» n'en demeure pas moins correcte, ainsi que le note l'Académie française dans la sixième édition de son dictionnaire. On peut donc dire les deux!
par exemple, comme, ainsi, c'est ainsi que, c'est le cas de, notamment, entre autres, en particulier, à l'image de, comme l'illustre, comme le souligne, tel que... LIAISON alors, ainsi, aussi, d'ailleurs, en fait, en effet, de surcroît, de même, également, puis, ensuite, de plus, en outre...
2. L'accroche basée sur des mots-clés. Exemple : "Mes qualités : organisé(e), optimiste, déterminé(e), flexible et toujours souriant(e)." On retrouve souvent cette accroche sous la forme d'un encadré, encore une fois juste en-dessous du titre du CV pour respecter la mise en page classique du document.
En conclusion, il n'y a pas de règle absolue interdisant d'utiliser les conjonctions de coordination en début de phrase, puisque même de grands auteurs ne se privent pas de le faire.
Utiliser le correcteur grammatical de Google est un jeu d'enfant. Il suffit de saisir une phrase ou une expression dans la barre de recherche, suivie de “grammar check”, “check grammar” ou “grammar checker”. Si la phrase est correcte, Google affiche une coche verte.
– Pour introduire des exemples et varier les expressions, on peut utiliser : « ainsi », « c'est le cas de », « par exemple », « notamment », « imaginez-vous que ». – Pour reformuler sa pensée on peut employer des termes comme : « en d'autres termes », « c'est-à-dire », « autrement dit ».
L'opposition d'une action à une autre, le contraste ; alors que : Vous reculez, tandis qu'il faudrait avancer.
Pour exprimer une concession, on a parfois tendance à dire « malgré que », mais les érudits tendent à déconseiller cet usage, considéré comme inélégant sinon fautif. À la place, on préférera l'emploi de « bien que » : « Bien qu'il soit très intelligent, il est nul en maths. »
Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ».