Tout comme la fécule ou la chapelure, le gluten de blé peut être ajouté à la charcuterie et aux plats préparés. Il sert d'agent liant afin de donner une texture parfaite à l'aliment. Ainsi, le gluten permet de préparer du seitan, ou minchin. C'est pour cela que « seitan » signifie protéine en japonais.
Mode d'utilisation: Le gluten de blé contient 75 à 80% de protéines. Ajoutez environ une cuillère à soupe par tasse de farine dans votre recette de pain. Ceci améliorera notamment la texture et l'élasticité et aidera votre pain à lever. Peut aussi être utilisée pour la fabrication du seitan.
dans les pains et viennoiseries, de fabrication artisanale ou non, le gluten renforce le moelleux et améliore la conservation. dans les plats préparés divers (sauces, boulettes de viande, etc.), le gluten joue un rôle de liant et d'épaississant.
À quoi ça sert ? C'est grâce notamment à ce gluten que nous pouvons fabriquer des pâtes. Il assure le bon déroulement des étapes de panification grâce aux réactions consécutives induites par la formation du gluten. En effet, le gluten se forme lors du pétrissage de la pâte grâce à l'hydratation de la farine.
Le gluten ne fait pas grossir, mais les farines qui en contiennent sont présentes dans un grand nombre d'aliments à base de farine de blé, dont certains sont également gras et/ou sucrés : biscuits, viennoiseries, gâteaux, pizzas, etc.
Les risques liés à l'ingestion de gluten
Toutefois, l'ingestion de gluten n'est pas sans risque pour autant. En effet, une consommation excessive de gluten peut augmenter le risque de développer la maladie ou de développer le syndrome du côlon irritable.
Et bien non, le gluten n'est pas un sucre. Un grain de blé est certes constitué d'un sucre, mais il s'agit de l'amidon. Le gluten, quant à lui, correspond à la masse de protéines restante après extraction de l'amidon. Il est le composant de la farine qui donne du volume, du moelleux et de l'élasticité au pain.
Les perturbations digestives de l'intolérance au gluten
Il s'agit par exemple d'une diarrhée chronique ou intermittente, de nausées et vomissements, et/ou d'un manque d'appétit. Parfois, l'enfant souffre aussi de douleurs abdominales récidivantes ou d'un météorisme, dû à une accumulation de gaz intestinaux.
Pas de gluten dans...
Lorsqu'on est intolérant(e) au gluten, le riz est un allié incontournable. Qu'il soit rouge, blanc, brun ou complet, il est très nourrissant et constitue l'aliment de base de nombreuses cultures. C'est une très bonne alternative aux pâtes alimentaires.
La farine T65 est un incontournable, car elle est utilisée pour préparer les pains et baguettes dits « Tradition ». Cette farine peut d'ailleurs être vendue sous le nom de farine de tradition. Pour la réalisation de tous les pains de campagne, une farine semi-complète T80 peut être privilégiée.
La farine T55 est aussi une farine blanche. C'est la farine la plus courante et la plus utilisée généralement. Elle sert confectionner des gâteaux, des pâtes à tarte mais aussi du pain blanc, de la pâte feuilletée et des brioches.
La farine de maïs est la farine sans gluten indispensable dans vos placards de cuisine. Elle apporte une jolie couleur jaune dorée à vos sauces et vos plats et c'est un des rares substituts sans gluten à la farine de blé que vous pouvez utiliser en quantité équivalente.
Le riz, le quinoa, le sarrasin et le maïs peuvent remplacer les céréales qui contiennent du gluten (blé, avoine, etc.). On utilise leurs farines et semoules pour réaliser le pain, les biscuits et les pâtes. L'huile, le beurre, le sucre, le miel et la confiture sont dépourvus de gluten.
Le gluten est un ensemble de protéines végétales présentes à l'état naturel dans le blé, l'orge, le seigle. Rien ne justifie de supprimer le gluten de son alimentation si l'on n'a pas été diagnostiqué intolérant au gluten. De plus, un régime sans gluten peut conduire à des carences alimentaires, en fibres notamment.
On trouve du gluten dans les céréales comme le blé (froment, blé dur, kamut, blé Khorasan), le seigle, l'orge, l'épeautre et l'avoine.
Que l'on soit atteint de maladie cœliaque, ou sensible au gluten, on développe souvent des tas de désordres intestinaux : diarrhées chroniques, nausées, vomissements, douleurs abdominales, ballonnements ou encore constipation, flatulences et reflux gastrique.
Le gluten stimule la production d'interleukines (IL 8 et IL 15) qui déclenche la production de zonuline qui crée de l'inflammation.
Souvent associée à une allergie, l'intolérance au gluten est pourtant une pathologie qui nécessite le suivi d'un régime strict pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque. Désagréments digestifs, fatigue chronique, coups de blues inexpliqués en sont les symptômes.
Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de la Harvard Medical School de Boston (Massachussetts), retirer le gluten de son alimentation, c'est prendre le risque de développer une maladie cardiovasculaire.
Une perte de poids significative :vous réduisez l'apport en glucides donc vous allez perdre des kilos. Une diminution de l'appétit. Une diminution de l'énergie et un sentiment de faiblesse, car vous éliminez les bons nutriments (vitamines et minéraux) que le pain peut apporter à votre corps.
Car chez certaines personnes atteintes de maladie cœliaque, (intolérance au gluten), la présence de cette protéine entraîne non seulement fatigue, anémie et amaigrissement mais également un risque plus important de maladies cardiovasculaires. Il est donc conseillé pour eux d'arrêter d'en consommer.
Quand on est intolérant au gluten, on ne sait que trop bien que les douleurs, l'inconfort digestif, les ballonnements du ventre ne contribuent absolument pas à une silhouette harmonieuse. Le ventre qui gonfle après l'ingestion de gluten donne plus l'impression d'un ventre de femme enceinte que des abdos d'athlète …
On peut l'appliquer à l'alimentation, mais pas que… puisqu'on vit dans un régime démocratique ! Dans le cas du sans gluten, il s'agit plus souvent d'un régime curatif qui permet, en le suivant, de soigner des maux. Il ne s'agit donc en aucun cas de maigrir en mangeant sans gluten.
C'est un fait établi cliniquement : les allergiques et les intolérants au gluten se plaignent d'avoir des douleurs articulaires.