On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses. Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.
Si… que, encadrant un adjectif ou un adverbe, introduit une subordonnée concessive ; quelque… que : Si mal qu'il ait agi, il faut lui pardonner. (Avec un adjectif, on peut employer si… soit-il : Si aimable soit-il.)
Si + proposition exprimant une condition
Dans une proposition introduite par si qui exprime une condition, le verbe n'est jamais au conditionnel. Toutefois, il n'est pas toujours exact de répéter que « les scies (si) n'aiment pas les raies (‑rais) ». Dans certains contextes, le conditionnel après si est possible.
Locution conjonctive de subordination. Indique la manière dont élément existerait si. Exemple : Vous ne cessez pas de vous adresser à moi comme si nous nous connaissions vraiment.
Les phrases avec si doivent respecter la concordance des temps : Pour exprimer une quasi-certitude ou probabilité : Si + présent de l'indicatif → verbe 2 à l'indicatif (présent ou futur simple) ou à l'impératif. Pour exprimer une hypothèse (incertain) : si + imparfait → verbe 2 au conditionnel présent.
La conjonction « si » introduit généralement une subordonnée circonstancielle de condition qui est complément de phrase. Elle est invariable et unit seulement des phrases. Emploi : La conjonction « si » exprime une condition, une supposition, une hypothèse probable, éventuelle, ou encore contraire à la réalité.
La fonction SI permet d'effectuer une comparaison logique entre une valeur et une hypothèse en testant une condition et en renvoyant un résultat Vrai ou Faux.
On utilise la structure "Si + verbe à imparfait, verbe au conditionnel présent" pour exprimer une hypothèse. Exemple : Si j'avais une baguette magique, je changerais beaucoup de choses. Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.
« Ci » en tant que pronom démonstratif est la contraction familière de « ceci » et s'oppose à « ça ». Par exemple : « comme ci comme ça », « fais ci fais ça ». Excepté dans l'expression « comme ci comme ça », il faut généralement écrire « comme si », suivi d'une hypothèse.
Les conjonctions de subordination pour exprimer la conséquence sont « si bien que, de sorte que, si…que ». « Je suis venue souvent si bien que à la fin j'en ai eu marre », on exprime une conséquence, « si bien que à la fin j'en ai eu marre », qui est lié à la première partie de la phrase qui exprime une autre chose.
- Introduite par si, advenant que, au cas où, etc. La proposition subordonnée de condition doit TOUJOURS être précédée d'une virgule. J'irai à New York,si mon budget me le permet. Subordonnée d'opposition (opp.)
On utilise SI (et pas OUI) lorsque l'on répond à une question négative de manière affirmative. Par ex. dans le dialogue du podcast, on peut entendre : – Ok, comme toujours, à 5 heures devant la cafétéria ?
Si je faisais plus attention, je ferais moins de fautes
Pour vous en assurer, remplacez "je" par "nous" : Si nous faisions (imparfait) plus attention, nous ferions (conditionnel) moins de fautes. En règle générale, "si" n'est jamais suivi du conditionnel.
Si : conjonction de subordination, introduit une proposition subordonnée de condition (ou d'hypothèse).
Si est suivi d'un verbe à l'imparfait pour exprimer la(les) condition(s) (ou probabilités) sans laquelle (lesquelles) un événement ou une action ne pourrait se réaliser, puis d'un verbe au conditonnel présent pour lequel les conditions énumérées précédemment sont nécessaires pour sa réalisation concrète.
Le conditionnel présent se construit à partir du radical du verbe au futur suivi des terminaisons de l'imparfait : j'aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient.
S'emploie pour suggérer l'accomplissement futur et éventuel d'un fait ou d'une action, dans le cas où aucun élément contraire ne viendrait perturber son bon déroulement. Exemple : Pourriez-vous, si possible, m'indiquer mon chemin ?
La virgule permet de séparer des groupes de mots, des pronoms, des subordonnées ou des phrases, qui sont coordonnés. En effet, on place généralement une virgule avant les coordonnants mais, car, or, puis, c'est-à-dire, autrement dit, soit, voire, à savoir, etc.
L'usage veut que la réponse à une question négative soit introduite par si quand la réponse est positive, par non quand la réponse est négative : « L'habit des Académiciens n'est-il pas vert ?
Exprime une réponse positive. Synonyme : d'accord, assurément, bien sûr, évidemment, parbleu !, pardi !, parfaitement – Familier : dame !, ouais.
Dans l'interrogation indirecte, c'est-à-dire lorsque la question est rapportée, lorsqu'elle dépend d'un verbe, est-ce que disparaît et est remplacé par si. Il ne sait pas si vous avez compris.
Pour ne pas confondre le futur simple et le conditionnel présent, il faut changer de personne et mettre le verbe à la 3e personne du singulier. Par exemple : Demain, j'irai au cinéma → on passe à la 3e personne du singulier → Demain, il ira au cinéma (et non pas il irait au cinéma.
Le conditionnel présent se construit à partir du radical du verbe au futur suivi des terminaisons de l'imparfait : j'aimerais, tu aimerais, il aimerait, nous aimerions, vous aimeriez, ils aimeraient.
On peut utiliser des outils subordonnants suivants : quand, lorsque, après que, dès que, une fois que, aussitôt que, sitôt que. En général, on emploie l'indicatif. Si le verbe de la principale est à un temps simple, celui de la subordonnée, marquant en fait une antériorité, est au temps composé correspondant.