En ce début d'automne, les projections du modèle européen pour l'hiver 2022-2023 n'envisagent aucun signal particulier concernant les températures en Europe de l'Ouest. En d'autres termes, le modèle envisage des températures proches des normales en France en faisant la moyenne du trio décembre, janvier et février.
Un hiver 2022-2023 doux
Le mois de décembre 2022 devrait cependant afficher une douceur supérieure à la normale et des températures affichant de 1 à 2 degrés de plus que les normales de saison, et ce à travers tout l'hexagone. Le Nord et l'Est de la France seront davantage touchés par l'humidité.
Selon le Farmer's Almanac, l'hiver 2022/2023 sera froid. L'Almanach prédit que ce sera un « hiver aux proportions mondiales », avec des températures inférieures à la normale et des précipitations supérieures à la normale.
Le site web-agri de préciser : « À noter un risque non négligeable de tempêtes au cours de ce premier mois de l'année 2023. » On le comprend, si en janvier il devrait faire plus doux mais voir plus de pluie, neige, l'ensoleillement risque d'en prendre un petit coup.
Le début de l'hiver météorologique 2022-2023 pourrait être d'en ennui avec très peu d'agitation (déficit en précipitations de 5 à 10% ?) excepté sur le Sud-Est (excédent) et des températures assez froides (-0,5°C). Le mois le plus froid de l'hiver sur le plan de l'anomalie thermique ?
L'été 2022 est le deuxième le plus chaud jamais observé, "avec une température moyenne de 22,7 °C sur le trimestre juin-juillet-août, soit une anomalie de +2,3 °C par rapport à la normale", explique Météo France, lors de son bilan estival ce mardi 30 août.
Selon ces tendances, nous devrions donc vivre des mois de juillet et août 2022 globalement estivaux en France. Le bilan des deux mois pourrait être plus chaud et plus sec que la normale.
Une évolution non linéaire. En effet, l'été 2022, deuxième été le plus chaud en France après celui de 2003, pourrait même être à l'avenir considéré en termes de chaleur comme la "borne inférieure", propos tenus sur franceinfo cette semaine par Jean-Marc Jancovici, président du groupe de réflexion "The Shift project".
Avec une température moyenne de 22,7°C et un excédent de +2,3°C à la normale 1991-2020, cet été 2022 se classe au 2ème rang des étés les plus chauds jamais enregistrés depuis 1900, derrière 2003 (+2,7°C) et devant les étés 2018 et 2019 qui avaient été également très chauds.
3. Quand les pies, rouge-gorges et souris se réfugient dans les granges ? Aucun doute, la neige arrive ! Et si ce dicton peut faire sourire, n'oubliez pas que les animaux sont bien plus sensibles aux changements de pression atmosphérique que les humains.
Quant à l'Hiver 2022-2023, celui-ci pourrait s'avérer classique et légèrement excédentaire en précipitations. Enfin, le Printemps 2023 serait assez sec et d'aspect thermique normal à faiblement doux. Ces tendances seront réactualisées début Février 2023.
Janvier prévoit une température douce (pour un mois de janvier !) et pas mal de pluie, février restant lui aussi doux avec des précipitations de saison, ce qui fait dire que l'hiver 2023 serait plus froid et plus humide que celui de l'an dernier, donc nettement plus neigeux, tendance qui se poursuivrait en mars, même ...
Et si on observe une hausse globale des températures ces dernières années, les climatologues estiment que pour cet hiver 2021, le mercure devrait, globalement, rester dans les normales de saison en France métropolitaine.
Comme en 2022 la vague de chaleur a débuté à la fin du mois du mois de juin et culminé entre le 27 juillet et le 5 août, période pendant laquelle une chaleur saharienne a envahi tout le pays.
Mi-janvier est en théorie le moment le plus froid de l'année et mi-juillet le plus chaud. L'hiver météorologique a donc lieu du 1er décembre au 28 février, l'été du 1er juin au 31 août.
En météorologie, l'hiver couvre les mois de décembre, janvier et février, c'est-à-dire la période la plus froide de l'année dans l'hémisphère Nord. C'est la saison du froid, voire des grands froids, mais aussi de la neige, du givre, du brouillard, des pluies verglaçantes et des tempêtes…
L'été 2022 est le deuxième plus chaud jamais enregistré, selon Météo France. Météo France a dressé un sombre bilan de l'été 2022, le 2e le plus chaud jamais enregistré, marqué par une sécheresse inédite. Des étés de ce genre seront "classiques" en 2050. Canicule, sécheresse, incendies, orages d'une extrême violence.
En France :
Août 2022 devrait renouer avec des conditions météo estivales au retour des hautes pressions sur la France. La chaleur serait bien installée sur le pays, parfois forte. Un risque de canicule est envisagé.
Dans un communiqué publié ce jeudi, le service européen Copernicus dévoile que l'été 2022 (juin à août) a été le plus chaud jamais enregistré, dépassant de 0,4 °C le record établi en 2021.
Après avoir encaissé des vagues de chaleur et des températures caniculaires tout au long de la saison estivale, l'heure est au bilan. Cet été 2022, qui s'est ouvert le 1er juin dernier et se terminera le 31 août prochain, sera le deuxième plus chaud jamais enregistré en France.
Ce mois d'août a poursuivi une série de mois particulièrement chauds. Au final, l'indicateur thermique national (basé sur les relevés de températures minimales et maximales de 30 stations métropolitaines) s'est élevé à 23.68°C soit une anomalie thermique portée à +2.6°C sur ce mois d'août 2022.
Les canicules et les épisodes de forte chaleur survenus à l'été 2022 sont sans aucun doute liés au phénomène du changement climatique, de même que la sécheresse historique en France. Dès le mois de mai, il avait fait 30 °C.
Le mois de mai 2022 a été le plus chaud et le plus sec jamais observé en France. Avec une moyenne mensuelle de 17,8 °C sur l'ensemble du territoire métropolitain, les températures observées au mois de mai en France battent le record de mai 2011.
Un mois de mai sec et chaud
C'est un beau mois de printemps qui s'annonce en général en mai 2022 sur la France. La proximité de l'anticyclone, fréquemment centré sur le nord de l'Espagne, devrait en effet atténuer et éloigner les intempéries de nos régions.
On retiendra que cette première semaine d'août sera excessivement chaude, plus de 6°C au-dessus des moyennes à l'échelle nationale, et sans précipitation efficace : les orages resteront rares, jeudi et vendredi au nord-est puis ensuite sur les reliefs du sud.