Nouer une relation de confiance avec la personne atteinte du syndrome de Diogène semble nécessaire pour l'amener à accepter toute intervention. Dans le cas contraire, une hospitalisation sous contrainte reste une mesure nécessaire.
La personne doit être suivie tout au long de sa vie et doit, dans la majorité des cas, intégrer un établissement spécialisé comme un EHPAD. En revanche, si le médecin décèle aussi un trouble paranoïaque ou encore une maladie schizophrénique, un séjour en psychiatrie est de rigueur.
Outre une prise en charge médico-sociale du patient, il n'existe pas aujourd'hui de traitements spécifiques pour guérir du Syndrome de Diogène. Une thérapie comportementale est mise en place, associée à la prise de médicaments utilisés pour d'autres pathologies comme l'anxiété, la dépression, ou encore la démence.
La solitude voulue ou l'isolement subi, semble le facteur de déclenchement principal. Néanmoins, ce trouble du comportement se manifeste de plus en plus régulièrement us les jeunes.
Le syndrome de Diogène serait lié à un traumatisme vécu au cours de la petite enfance. Après un long intervalle de vie, le processus de « diogénisation » peut se déclencher à l'occasion d'un événement difficile (séparation, deuil, changement de situation...).
C'est une maladie idiopathique c'est-à-dire que les causes sont généralement inconnues. "Mais il existe des facteurs de risques tels que l'arrière du pied varus. Cette malformation du pied se manifeste par l'os du talon qui a tendance à rentrer à l'intérieur et augmenter la pression sur l'os naviculaire.
Plusieurs symptômes typiques du syndrome de Diogène :
Négligence de l'hygiène corporelle. Négligence de l'hygiène du lieu de vie.
Le syndrome de Diogène a été décrit en 1975 par Clark pour caractériser, chez la personne âgée, un trouble du comportement associant une négligence extrême de l'hygiène corporelle et domestique ainsi qu'une syllogomanie (accumulation d'objets hétéroclites) qui conduisent à des conditions de vie insalubres.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
des troubles cognitifs, liés à la déshydratation, la dénutrition, la fatigue et la dépression. l'opposition aux soins, avec parfois de l'agressivité. un repli sur soi progressif allant vers une disparition complète de la communication.
Une façon de gérer notre anxiété
Pour le psychologue, Stéphane Rusinek, cette fonction accumulatrice viendrait aussi de notre anxiété : "Acheter et conserver plein d'objets c'est de l'anticipation de ce qui peut nous arriver. Si un malheur survient, avec des objets, je gérerai.
Voici les principaux facteurs : On peut observer une négligence excessive de son hygiène corporelle ainsi que la malpropreté de son logement. Même entouré de saletés ou de détritus dans son lieu de vis, elle reste toujours indifférente.
L'aboulie, signifiant littéralement l'absence de volonté, ou paralysie psychique, est un symptôme psychiatrique peu connu du grand public, et pourtant très invalidant. "Il se manifeste par l'incapacité, chez la personne qui en souffre, à initier des tâches, réaliser des actions, ou même ressentir des besoins.
La syllogomanie est la maladie qui définit les accumulateurs compulsifs. Être attaché à certains objets, c'est normal. Mais avoir du mal à jeter quoi que ce soit peut relever de la maladie mentale.
La syllogomanie est un trouble psychique qui se traduit par une accumulation pathologique d'objets. Une personne syllogomane accumule une grande quantité d'objets, même si ces derniers sont inutiles, encombrants, insalubres et/ou dangereux.
"Le syndrome de Cotard est une forme de dépression spécifique. Il s'agit d'un épisode dépressif majeur d'intensité sévère associé à des symptômes psychotiques, à savoir des idées délirantes dont la thématique est généralement la négation d'organes", explique le Dr Clara Brichant-Petitjean, psychiatre libérale à Paris.
Dans le cadre de la location d'un logement à une personne souffrant du syndrome de Diogène, le bailleur s'expose à 2 types de risques : La dégradation de son bien du fait de l'accumulation de déchets et du défaut d'entretien du logement ; Le non-paiement du loyer par le locataire isolé socialement.
Attention à la prolifération des bactéries
Mais certaines ne le sont pas ! Et quand vous ne vous lavez pas durant deux jours, les mauvaises bactéries prennent leur quartier sur la peau et parfois même s'infiltrent sur les yeux, le nez ou la bouche. Vous avez donc de fortes chances de tomber malade.
Dans l'idéal, il vaudrait mieux passer dans la salle de bains le soir. La raison est simple : cet horaire permet de débarrasser la peau des bactéries qui s'y accumulent durant la journée, et qui peuvent nuire à l'équilibre du microbiote cutané.
La schizophrénie se manifeste par une incapacité à discerner le réel de l'irréel.La personne touchée n'est pas consciente de sa maladie. Elle apparaît le plus souvent chez les adolescents et les jeunes adultes.
Le syndrome de la queue de cheval se caractérise par une compression des racines des nerfs situés dans le bas du dos pouvant entraîner une perte de sensibilité des membres inférieurs. La maladie doit être traitée en urgence par une intervention neurochirurgicale.
Cela n'a pas sauté aux yeux dimanche, lors de son succès face à Casper Ruud en finale de Roland-Garros, mais Rafael Nadal souffre bien d'une maladie irréversible depuis ses 18 ans. La star du tennis subit le syndrome de Müller-Weiss touche.
La personne qui souffre du syndrome de l'imposteur dépense trop d'énergie par rapport à la tâche qu'on lui demande de réaliser, elle montre un surinvestissement, ce qui lui permet d'attribuer son succès "éventuel" à une grande quantité de travail et non à ses compétences réelles.