Vivre une vie minimaliste, c'est avant tout faire le point sur ce qui est essentiel et, à l'opposé, sur ce qui est superflu. Les grands principes sont : Faire le tri (ne pas entasser) Recycler (chez soi et en entreprise)
Chauffage peu énergivore, autosuffisance alimentaire, troc et partage sont des solutions pour économiser argent et énergie. Pour aller plus loin, certains changent même radicalement de mode de vie, sans pour autant s'éclairer à la bougie.
Car l'avantage de consommer moins, c'est aussi de dépenser moins, avoir plus de liberté, et donc d'imaginer un autre rythme de vie ! Voilà, vous avez toutes les clés en moins pour consommer moins et de manière plus responsable, il ne tient qu'à vous de trouver le mode de vie qui vous convient vraiment !
Car après tout, vivre c'est aussi consommer. Mais j'ai travaillé dur pour échapper à la surconsommation et au matérialisme. C'est quoi la surconsommation ? C'est lorsque l'on commence à acheter des choses inutiles, dont on n'a pas vraiment besoin au quotidien.
La relation entre consommation et bonheur semble un peu moins forte qu'entre revenu et bonheur, en Europe tout du moins. Les personnes qui consomment peu sont davantage satisfaites de leur vie que les personnes qui gagnent peu. Cela tient pour une part à ce que certaines parmi elles ont choisi un mode de vie frugal.
La décroissance est un concept économique, politique et social, qui remet en cause l'idée selon laquelle l'augmentation des richesses conduit au bien-être social. Cette théorie vise donc à réduire la production de biens et de services dans l'objectif de préserver l'environnement.
La décroissance est un concept politique, économique et social qui remet en cause l'idée selon laquelle l'augmentation des richesses produites conduit à l'augmentation du bien-être social.
On trouve nos vies complexes parce qu'on ne vit pas dans le moment présent. Quand on vit un problème, on se passe mentalement les étapes pour le régler en boucle, on entre en contact avec les efforts nécessaires, on se sent envahi, les étapes s'entremêlent et là, ça devient complexe.
Choisir de vivre simplement, c'est le choix de vivre mieux dans la simplicité, sans forcément changer ses habitudes de façon drastique. Et le monde moderne offre de multiples pistes : alimentation, culture, voyages, vie durable…
Le régime moteur idéal se situe aux alentours de 2400 tr/min pour les moteurs diesel. Il faut cependant accélérer d'une façon modérée pour procéder à un passage de vitesse en toute sécurité.
Roulez en dessous de la limite autorisée
À partir de 80km/h, adoptez le 10 km/h en-dessous de la limite autorisée. Au-dessus de 80km/h la consommation croît de manière exponentielle. D'après les estimations de la Sécurité Routière, rouler à 80 au lieu de 90km/h vous permet d'économiser 120€ de carburant par an.
Les effets néfastes de la décroissance
Il faut bien reconnaître qu'une diminution de la production de biens matériels aura comme effet mécanique une diminution de la consommation de ressources matérielles et de l'énergie nécessaire à leur production et leur transport.
Entropie, écologie, économie. De fait, Georgescu-Roegen est considéré comme l'inventeur du concept de décroissance (sans toutefois ne jamais employer le terme) et son principal théoricien. Georgescu-Roegen tente un rapprochement entre l'économie en général et un principe physique.
La croissance verte signifie promouvoir la croissance économique et le développement tout en veillant à ce que les actifs naturels continuent de fournir les ressources et services environnementaux dont dépend notre bien-être.
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
Qu'est-ce que la décroissance ? La décroissance se définit par opposition à la croissance économique. Il s'agit de remettre en cause le principe de la croissance économique et du Produit intérieur brut (le PIB), son principal indicateur, notamment pour des motifs écologiques.
Ainsi, il arrive parfois que les gens consomment à l'excès pour fuir leur tristesse, parce qu'ils se sentent seuls, parce qu'ils vivent diverses frustrations. D'autres vont se mettre à faire des achats parce que leurs relations avec autrui ne sont pas satisfaisantes ou parce qu'ils n'ont aucune estime pour eux-mêmes.
Dans son livre The Price of materialism, Tim Kasser, professeur de psychologie démontre qu'une fois nos besoins de base couverts (manger, boire, se protéger du froid ou de la chaleur), tout ce que l'on consomme en plus, n'apporte pas un surplus de bonheur.
La consommation permet aussi - et c'est là tout son attrait moderne - de vivre toutes sortes d'"expériences", surtout émotionnelles ; tout bon responsable marketing sait ainsi que notre vie est désormais faite d'une multitude d'"expériences de consommation".
La surconsommation alimentaire désigne le fait de jeter des produits alimentaires sans les avoir consommés, mais aussi de manger de la nourriture en trop grande quantité. Ainsi, dans de nombreux pays industrialisés, le niveau de consommation alimentaire des ménages se situe bien au-dessus de leurs besoins réels.
La surconsommation désigne un niveau de consommation situé au-dessus de celui des besoins normaux ou d'une consommation moyenne.