Comment vole l'ultraléger pendulaire ? Au vol, l'ULM a ceci de particulier qu'il se manœuvre par transfert de poids, comme un pendule qui se déplace soit à gauche, soit à droite. Le poids du pendule ici est constitué du corps du pilote et du chariot.
Lorsque l'on pilote un ULM pendulaire, tout comme un delta, il faut envoyer le cadre (jargon d'ULMiste pour qualifier la commande servant au pilotage pour monter/descendre, tourner à gauche/droite) dans le sens inverse au virage. C'est le principe de base du pilotage d'un ULM pendulaire.
Quelle distance peut-il parcourir ? Les ULM modernes, selon leurs capacités d'emport de carburant, peuvent parcourir 400 à plus de 1000 km d'une traite, ce qui revient à traverser la France voire plus. Suivant les types d'appareils, les autonomies en vol varient entre 2 et 8 heures.
La plage de prix d'un pendulaire neuf se situe entre 15.000 et 45.000 euros. Dans le cas du multi-axes, les prix varient de quelques dizaines de milliers d'euros jusqu'à plus de 150.000 euros pour certains modèles haut de gamme. Les hélicoptères ULM peuvent coûter plus de 170000 euros.
En ULM, il faut compter un budget minimum de 2000 euros pour une formation en Ab-Initio (sans connaissance aéronautique préalable), couvrant 15 à 20 heures de vol en solo et en double. Les deux formations sont complémentaires, basées sur les mêmes connaissances et appliquées selon le même standard.
La licence de pilote ULM
La licence ULM est accessible à tous (à partir de 15 ans révolus). Il n'y a pas de connaissances préalables requises.
Pour protéger son invention
Même si le dépôt de brevet représente un coût supplémentaire, celui-ci est minime au regard de l'avantage concurrentiel qu'il représente. C'est également un bon moyen de se protéger de la concurrence en revendiquant le fruit de ses recherches et en délimitant le champ de sa propriété.
Afin d'être éligible à l'examen du brevet de pilote ULM, vous devez obligatoirement : Avoir plus de 15 ans ; Être titulaire du certificat théorique tronc commun, délivré par l'Aviation civile après une épreuve sous forme de QCM.
Quelle est l'autonomie ? Les ULM pendulaires tels que ceux utilisés par Kapitaine ULM ont une autonomie de 3 à 4 heures. En ULM, l'autonomie s'apprécie en heures. La vitesse de déplacement dans l'air est constante mais la vitesse par rapport au sol varie selon la force, la direction du vent et la trajectoire.
Le G1, un avion ULM sûr. Equipé d'une cabine de survie constituée de tubes carrés en acier (25 CD 4S) soudés sous argon, Il garantit pour les pilotes une sécurité maximale (comme en Formule 1).
Si aux Etats Unis il est légalement possible de piloter un ULM de moins de 115kg sans aucune connaissance aéronautique ni licence, ce n'est pas le cas en Europe ni en France. Mais le pilotage d'un ULM cela n'a rien de compliqué non plus.
Un ULM présente l'avantage de pouvoir décoller et atterrir n'importe où, y compris en dehors des aérodromes. Il faut néanmoins que le terrain d'atterrissage de l'ULM, appelé « plateforme occasionnelle », présente les caractéristiques adaptées (soit un terrain dégagé de 200 à 300 m de long et de 20 m de large).
Les aérodynes motorisés à performances limitées, dits « ultra-légers motorisés » ou « ULM », définis par le ministre chargé de l'aviation civile, peuvent atterrir ou décoller ailleurs que sur un aérodrome, sous réserve que soient respectées les mesures de sécurité et autres conditions définies par arrêté ...
Un ultra-léger motorisé, couramment appelé ULM, est un aéronef ultraléger muni d'un moteur et dont les conditions de navigabilité spécifiques sont simplifiées par rapport à la certification d'un avion léger et soumis à une licence de pilotage plus simple que la licence de pilote privé.
Conditions d'obtention
Pour obtenir le brevet de pilote ULM, quelle que soit la classe concernée, il faut : - Avoir 15 ans révolus ; - Être titulaire du certificat théorique commun de pilote d'ULM, délivré par l'Aviation Civile. C'est un examen sous forme de QCM (60 questions, 1h30).
Devenir pilote de jet privé nécessite d'avoir une licence professionnelle. La licence de pilote commercial (CPL) est celle qui vous permet d'être rémunéré en volant. Elle s'obtient en validant 200 heures de vol. Il vous faut dans le même temps passer l'ATPL théorique, ou « frozen ATPL », qui comprend 14 certificats.
L'âge minimum requis est de 15 ans pour piloter, 18 ans pour être instructeur. Le brevet de pilote peut être obtenu selon une procédure simplifiée pour les personnes déjà titulaires de certains titres aéronautiques (brevet de pilote avion, planeur, hélicoptère ou autres...).
Chef de file en matière d'autonomie
Conçu pour des performances totales, et affichant une autonomie de 7 700 milles marins qui le place en tête de l'industrie, l'avion Global 7500 combine de façon ultime autonomie, vitesse, performances au sol et vol en douceur, comme aucun autre avion d'affaires.
Pour obtenir son brevet de pilote ULM, il faut avoir 15 ans révolus, d'avoir suivi un cursus de formation et d'avoir réussi les différentes épreuves de l'examen : Une épreuve théorique sous la forme de QCM, dans un centre DGAC (Direction générale de l'Aviation civile)
Rendez-vous au centre d'examens choisi, un instructeur ULM vous accueillera et vous fera passer l'examen sous forme de QCM sur ordinateur. Quelques heures après le passage de l'examen, votre certificat d'aptitude valide auprès de la DGAC, sera disponible sur votre espace candidat.
Pour obtenir un permis de pilote de loisir, il faut avoir au moins 16 ans et posséder un certificat médical de catégorie 4 ou plus. Il est également obligatoire de suivre 25 heures de formation en vol, dont au moins 15 heures en double commande et au moins 5 heures en solo.
Pour le dépôt d'un brevet, vous devrez vous acquitter des coûts suivants : le dépôt de brevet : 26 € le rapport de recherche : 520 € délivrance et impression du brevet : 90 €
La durée maximale d'un brevet européen est de 20 ans à compter de la date de dépôt de la demande. Le brevet peut venir à expiration plus tôt si les taxes de maintien en vigueur ne sont pas acquittées, si le titulaire renonce à son brevet ou si le brevet est révoqué à l'issue d'une procédure d'opposition.
L'INPI est garant de la propriété industrielle et c'est lui qui assure la gestion de tous les brevets d'invention en France.