Les chevaux voyagent deux par palette, ou écurie volante, ce qui équivaut à la classe affaires. Leur confort et leur sécurité sont assurés par des palefreniers volants et un vétérinaire de bord.
Avant le vol
Avant d'être acheminés au terminal, qui est aménagé spécialement, les chevaux sont soumis à un contrôle documentaire et vétérinaire approfondi. Au moment du départ, les animaux sont placés dans un conteneur ou « écurie volante » logeant deux chevaux dans des boxes.
Pour se rendre au terminal de l'aéroport, les propriétaires ou écuries utilisent un van classique ou un camion. Une fois sur le tarmac, les chevaux montent à bord de l'avion grâce à une rampe, ou une grue.
Un van est, dans le domaine de l'équitation, une remorque utilisée pour le transport des équidés sur les routes. Le van peut contenir généralement un ou deux, plus rarement trois animaux. Le poids important du van fait qu'un véhicule puissant est nécessaire pour le tracter, comme un 4x4.
Si vous souhaitez passer des frontières, il vous faudra un certificat sanitaire. Les spécifications pour transporter un cheval peuvent varier d'un pays à un autre, renseignez-vous auprès de l'ambassade concernée. 📝 Bien évidemment, les papiers du véhicule et de votre van sont déjà avec vous !
Libres d'adapter leur vitesse, ils parcourent des distances de 110 à 160 km, par étapes d'environ 30 km. « On les pointe à environ 18 km à l'heure de moyenne, explique l'organisateur André Boittin.
Les couvertures de box
Selon que le cheval ait été tondu ou non, un grammage différent sera choisi. La meilleure option est d'avoir une couverture avec un gros grammage pour les grands froids (400g) et une couverture moins chaude pour la mi-saison (250-300g).
Les différents moyens de transport pour son cheval
Il existe deux moyens de transport principaux pour les chevaux : le van tracté et le petit camion, ou véhicule léger (VL). Les deux ont leurs propres avantages et inconvénients.
Pour conduire des camions transportant des chevaux, il est nécessaire d'obtenir un permis C1 ou CE permettant d'aller jusqu'à 7,5 tonnes.
Premièrement, les vocalisations émises par les cordes vocales (hennissement, appel de contact, couinement, gémissement). Puis, celles seulement produites par l'inspiration ou l'expiration d'air (ronflement, ébrouement, souffle). Chacune d'entre elles est émise dans un contexte bien particulier du langage du cheval.
En une journée : la distance varie de 20 à 160 km. En deux jours : 2 x 100 km. Lorsque l'on fait des randonnées, les chevaux sont modérément chargés, plutôt habitués et les terrains sont variés. On varie alors les allures (pas, trot, galop) et on monte, en général, 6/8 heures par jour, pour faire 30/50 kilomètres.
La vitesse moyenne des chevaux au galop est de 21 à 27 km/h.
En soute. La soute est un endroit ventilé, pressurisé et chauffé. La cage de votre animal y sera maintenue de manière à rester stable.
Comment équiper le cheval pour le transporter en van ou en camion ? Si votre cheval les tolère, les guêtres de transport hautes sont la meilleure des protections puisqu'elles protègent tout le membre et surtout les articulations, notamment les jarrets.
Une écurie est une bâtisse destinée au logement des équidés, principalement des chevaux. Elle se présente sous la forme d'un bâtiment unique ou de plusieurs disposés autour d'une cour centrale.
Pour tourner : Le mouvement utilisé s'appelle une rêne d'ouverture. Pour tourner à droite la main droite effectue une rotation vers l'extérieur et s'écarte légèrement du cheval pour lui indiquer la direction. Les ongles vers le ciel et le pouce vers l'extérieur. Le coude doit rester près du corps.
La limite de tolérance absolue est de 20% du poids du cheval, sachant qu'il faut aussi prendre en compte les compétences équestres et la condition physique du cheval. Le poids est un facteur important à clarifier pour savoir quel cheval convient.
Pour autant, le cheval également a ses limites : un cheval peut supporter jusqu'à 125 kilos en général. Bien entendu, tout dépend du poids de l'animal puisqu'il peut supporter environ 20% de son poids. En cas de surcharge physique, l'animal risque des blessures.
Mettre le cheval en mouvement
Pour créer le mouvement, la jambe, et plus précisément le mollet, agit par pression de l'arrière vers l'avant en restant à la sangle. C'est ce qu'on appelle la « jambe d'impulsion ». Cette action cesse lorsque le cheval répond à la demande.
Au Moyen-Âge, les chevaliers, majoritairement droitiers, portaient leur épée sur le côté gauche, afin de pouvoir la saisir rapidement en cas de besoin. Ils se mettaient donc en selle, montant par le côté gauche du cheval, pour ne pas être gênés. Cette tradition aurait traversé les siècles et perduré jusqu'à nos jours.
Si on ne transporte qu'un seul cheval dans le van, il est préférable de le charger du côté gauche. En effet, les routes sont généralement bombées, ce qui peut causer un léger basculement vers la droite si on sert sur le côté. Le van sera donc mieux équilibré si le poids du cheval se situe à gauche.
Au travail : un couvre-reins
Le couvre-reins est intéressant pour protéger le dos de votre cheval du froid et de la pluie lorsqu'il travaille. Une couverture séchante peut être utilisée en fin de séance.
Lors des longs transports, utiliser des guêtres de repos à la place des guêtres de transport permet non seulement de protéger les membres du cheval pour éviter qu'il se blesse, mais également de favoriser sa récupération le temps du transport.
À des températures de 15 degrés ou plus, vous n'avez pas besoin d'une couverture pour que votre cheval le garde au chaud. Ces jolies températures printemps/été sont parfaites pour un cheval ou un poney sans couverture.