Les tachycardies d'origine ventriculaire
« Lorsque l'accélération cardiaque provient d'une contraction rapide des ventricules, les conséquences peuvent être graves voire fatales : malaise, perte de connaissance et dans le pire des cas mort subite.
À un rythme si élevé, le cœur n'est pas en mesure de pomper efficacement le sang riche en oxygène afin d'approvisionner l'organisme. La tachycardie peut toucher autant les cavités supérieures (tachycardie atriale) que les cavités inférieures (tachycardie ventriculaire) du cœur.
Au repos, le cœur se contracte de façon régulière à une fréquence comprise entre 60 et 80 pulsations par minute. Si elle dépasse 100 battements par minute, le patient souffre de tachycardie, parfois douloureuse. Si les contractions sont en plus anarchiques, les spécialistes parlent de fibrillation.
L'exercice physique, le stress ou la peur peuvent faire accélérer le cœur, mais c'est une réaction normale. Avec la tachycardie, le cœur dépasse 100 battements par minute et peut atteindre jusqu'à 400 battements par minute.
Les maladies fébriles, la fatigue ou les trouble du sommeil peuvent donner des palpitations sans que le cœur soit vraiment concerné. Une anémie (un manque d'hémoglobine) donne très souvent des palpitations.
Le rythme cardiaque au repos d'une personne adulte est de 60 à 80 battements par minute. La fréquence cardiaque est légèrement plus rapide chez les femmes que chez les hommes.
Bien que le stress se passe d'abord dans la tête, il a des effets considérables sur le corps. Il peut nuire à la santé de votre cœur. Par exemple, un stress soudain et intense peut augmenter le risque à court terme de crise cardiaque.
Généralement, le coeur n'est pas en cause. Il s'adapte simplement à son environnement, notamment face à une forte émotion ou un stress. Plus rarement, les battements peuvent d'un coup passer d'un rythme normal à très rapide. Parfois, le coeur cogne de façon irrégulière et prolongée, il bat la chamade au sens propre.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Fort heureusement ces situations, bien que fréquentes, ne revêtent que rarement un caractère de gravité. Néanmoins, il convient d'en parler à son médecin. Spontanément le cœur bat à un rythme assez rapide, à environ 90 battements par minute. En fait cet organe est sous le double contrôle du système nerveux autonome.
Parfois cette accélération brutale du rythme n'est due qu'au stress ou au manque d'exercice physique. Il est alors facile d'agir sur la cause. Mais la tachycardie peut être due à une "anomalie électrique" dans l'une des oreillettes du cœur ou à une fibrillation atriale.
Inspirer par le nez ou par la bouche pendant 5 secondes pour remplir les poumons, puis expirer par la bouche à nouveau pendant 5 secondes pour les vider. À faire pendant 2 à 3 min pour calmer les palpitations (puis plusieurs fois par jour pendant une minute ou deux).
L'exercice d'aérobie – ou d'endurance – implique un mouvement continu de vos grands muscles (comme vos jambes). Ce type d'exercice augmente votre respiration et votre rythme cardiaque, ce qui améliore les capacités de votre cœur, vos poumons et votre système circulatoire.
Quels sont les signes avant-coureurs d'une crise cardiaque ? Le symptôme le plus connu est une douleur aiguë et persistante dans la poitrine avec une sensation d'étau qui se resserre. La douleur peut irradier dans le bras gauche ou encore causer des vertiges.
La tension artérielle moyenne au repos des femmes de 20 à 29 ans était de 99/65 mm Hg, comparativement à 128/70 mm Hg chez les femmes de 70 à 79 ans.
Le rythme cardiaque normal (personne âgée et adulte) est généralement compris entre 60 et 100 battements par minute (BPM).