Une alimentation trop sucrée et trop grasse entraîne ce que l'on appelle "la maladie du soda" ou "maladie du foie gras humain". Le Parisien rappelle que près de 20% des Français ont le foie qui se gorge de graisse sans s'en rendre compte. Et avec le temps, il peut évoluer vers une cirrhose ou un cancer.
La grande quantité de caféine présente dans le Coca est entièrement absorbée par votre corps. Elle dilate vos pupilles et fait monter votre pression sanguine. Votre corps se met à produire plus de dopamine. Il s'agit d'une hormone qui stimule le "centre du plaisir" dans le cerveau.
Quand cet excès de sucre dans le sang devient fréquent, c'est tout le métabolisme qui est déréglé, avec à la clé une prise de poids, de l'hypertension ou encore un diabète de type 2. Autant de facteurs qui augmentent le risque d'avoir une maladie cardiovasculaire.
Irritabilité, agacement, manque de concentration, fatigue, besoin irrépressible d'en boire : tous les marqueurs de la dépendance sont là.
Oui, on peut être accro au Coca-Cola, confirme le Dr Damien Ringuenet, psychiatre à l'hôpital Paul-Brousse de Villejuif. La caféine, le sucre et même les édulcorants présents en grandes quantités dans la célèbre boisson sont responsables de notre addiction, qui peut aussi cacher d'autres troubles.
Attention aux effets du coca sur l'estomac
Pour profiter au mieux de ces bénéfices, le soda de votre choix doit être consommé à température ambiante, car une boisson froide peut aggraver la diarrhée.
La dépendance à la cocaïne peut s'installer rapidement, seulement après quelques consommations. Elle ne dépend pas de la quantité ou de la qualité du produit, mais plutôt de l'état du consommateur, de son environnement et des effets qu'il ressent lorsqu'il consomme.
Une consommation de 33 centilitres de soda par jour, soit l'équivalent d'une canette, est suffisante pour mettre en danger le foie. Coca, Pepsi, Orangina, Fanta...
1 - Les sodas
Contenant en moyenne 100g de sucre par litre, soit l'équivalent de 4 morceaux de sucre par verre, ces boissons sont des bombes caloriques. Cette teneur élevée en sucres ajoutés est stockée sous forme de graisses dans le corps qui se loge principalement au niveau de la sangle abdominale.
Les sodas "n'attaquent" pas l'estomac contrairement à l'idée reçue. En revanche, ils sont corrosifs pour les dents.
Nous l'avons rapidement évoqué : le Coca-Cola élimine l'eau présente dans les intestins et favorise son évacuation par les urines (4). Cet effet diurétique est provoqué par la caféine présente dans la boisson. Boire du Coca-Cola donne envie d'uriner plus souvent.
Le thé, le café, le Coca-Cola, les boissons énergisantes type Redbull ont tous une incidence sur le sommeil. Ces produits créent des microréveils, rendent le sommeil plus léger. Leurs effets sont très variables en fonction des individus, mais mieux vaut les éviter à partir de 17 heures."
Or, le Coca permet de se réhydrater efficacement. Autre point : il apporte des sucres et donc des forces et de l'énergie à notre organisme épuisé par l'infection (d'où l'importance de ne pas le consommer light). Il aide également à compenser le manque de calories lié au déficit d'apport nutritionnel. "
Le THC, le principe actif contenu dans la marijuana, est le principal responsable de ses dommages buccaux. Les dentistes estiment que cette substance modifie la flore buccale, diminue la production de salive, épaissit et rend la plaque dentaire plus collante et difficile à éliminer.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Le Coca-Cola zéro s'est imposé auprès de nombreuses consommatrices (la boisson est d'abord féminine) comme un substitut parfait : le goût du Coca, sans les « maudits sucres » qui favorisent la prise de poids, et divers autres problèmes de santé (diabète…) !
Le Coca-Cola® n'a pas été vendu comme médicament.
John Pemberton a vendu sa boisson comme telle et non comme un médicament. Le Coca-Cola® n'a aucun effet contre la gastro-entérite, contrairement à la croyance populaire. Elle se compose uniquement d'eau, de sucre et d'additifs.
Pour résumer, le coca n'est pas un bon soluté de réhydratation et il est préférable d'avoir recours aux sachets commercialisés en pharmacie. Il peut toutefois être utilisé en cas de gastro-entérite pour son action anti-vomitive présumée grâce à sa forte teneur en sucre et en acide phosphorique.
Résultat ? Parmi les buveurs de sodas lights, 64% ont perdu au moins 5% de leur masse corporelle (jusqu'à 6 kilos) contre seulement 43% chez les buveurs d'eau. Selon les chercheurs, les consommateurs de sodas lights ressentiraient moins la faim ce qui augmenterait la perte de poids.
Il contient en effet de l'ammoniaque et des sulfites qui, mélangés à forte température, peuvent provoquer des cancers des poumons, du foie ou de la thyroïde, ainsi que des leucémies.