Mais il n'en est rien. En effet, des études ont montré que la peau contient énormément d'Oméga 3. Donc mieux vaut la manger. Car en plus, elle n'a pas de goût ni d'odeur particulière.
Autre point utile : elle contient la plus forte concentration en oméga-3, des graisses bonnes pour le cœur. À moins de faire pocher votre saumon, il est donc conseillé de garder la peau, pour ses apports tant dans la cuisson de votre repas que sur votre santé cardiaque.
Généralement, les viscères, le gras et la peau sont les sites privilégiés des contaminants. Il est donc recommandé de ne pas les consommer. Même si la peau du poisson est bien cuite et croustillante, il vaut mieux s'abstenir de la manger.
En effet, ces polluants s'accumulent dans les tissus gras, et les poissons gras, comme le saumon – qui sont en plus nourris avec de l'huile de poisson – sont donc particulièrement affectés. De plus, la chair du saumon contient des quantités élevées de cholestérol et de graisses qui obstruent les artères.
Tout comme l'avocat, les poissons gras tels que le saumon ou le maquereau contiennent des acides gras naturels, notamment de l'oméga 3. Or, ces acides gras contribuent à préserver la fonction barrière naturelle de la peau et optimisent la rétention d'eau, pour une peau plus rebondie, plus jeune.
Les nutritionnistes sont tous d'accord pour reconnaître les multiples bénéfices conférés par la consommation de poissons gras, tels que le saumon. Excellente source de protéines complètes, il contient en grande quantité du phosphore et du sélénium, ainsi que de nombreuses vitamines (B1, B3, B5, B12, D).
Le saumon d'Alaska est celui qui s'en sort le mieux car la mer est moins polluée. C'est donc celui qui permet de bénéficier des bienfaits du saumon sauvage en limitant les méfaits liés à la contamination des océans.
D'après certaines études scientifiques, le saumon contribueraient aussi à la prévention des troubles de l'humeur comme la dépression. Les lipides du foie gras sont constitués essentiellement d'acides gras mono-insaturés excellents pour l'appareil cardiovasculaire car ils font baisser le HDL, le mauvais cholestérol.
Les poissons et les mollusques et crustacés qui contiennent des concentrations plus élevées de ces acides gras tout en présentant une faible concentration de mercure sont les suivants : anchois, capelan, omble, merlu, hareng, maquereau, meunier noir, goberge, saumon, éperlan, truite arc-en-ciel, corégone, crabe, ...
VRAI Car c'est du muscle ! Non seulement sa consistance ferme est dépourvue de saveur, mais le muscle concentre les toxines. Mieux vaut découper ces petites parties avant consommation, et ne pas les confondre avec les hématomes sans gravité que l'on trouve parfois sur la chair des saumons sauvages.
Les bienfaits du poisson pour l'organisme ne sont plus à démontrer. Mais les produits de la mer n'ont pas que du bon. Ils sont aussi chargés en divers polluants, dont le mercure. En consommer trop est associé à un risque accru de maladie de Charcot.
Il se trouve que la plupart du gras présent dans la peau du poulet est ce que l'on appelle de bon gras, celui qui permet de baisser notre taux de cholestérol et notre pression artérielle. La peau du poulet est donc moins décriée.
Il peut y avoir des traces de polluants dans le saumon sauvage et dans le saumon d'élevage. Les plus souvent cités sont les polluants organiques persistants (POP), dont les PCB, et les métaux lourds, comme le mercure. La cause principale est la pollution des milieux aquatiques.
Comparativement aux autres viandes, le poisson cru est faible en gras, ce qui en fait une source de protéines pour le cœur. De plus, le poisson contient des acides gras oméga-3, qui contribuent à la santé de votre système cardiovasculaire. Le thon et le saumon sont en tête de liste pour la santé cardiovasculaire.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Il est important de consommer au moins deux portions de poisson par semaine, en privilégiant le hareng, le maquereau, les sardines, le saumon et la truite (riches en oméga 3).
Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
Les légumes verts, les brocolis et les carottes sont parfaits : antioxydants, riche en vitamines, ils nettoient votre foie. Si l'ail éloigne les vampires, il permet aussi de se débarrasser des toxines. Le chocolat noir, excellent anti-dépresseur, riche en magnésium protège aussi parfaitement le foie.
La texture dépend de la quantité de gras qui se trouve dans la partie du saumon. Plus la pièce contient du gras, plus sa texture est moelleuse et fondante en bouche. Ainsi, les parties du centre et du corps sont les plus moelleuses et fondantes en bouche.
Écosse ou Norvège, quelle différence ? Tout est une question de goût... Si vous cherchez un poisson maigre, légèrement rosé et ferme, tournez-vous vers les saumons élevés en Norvège. Si, à l'inverse, vous préférez un saumon plus orangé, plus gras et à la chair tendre et beurrée, le saumon d'Écosse est fait pour vous.
Recommandations. Voici quelques produits vers lesquels se tourner dans la grande distribution : les émincés de saumon rouge du pacifique sauvage fumé, origine Alaska (Monoprix Gourmet), le saumon sauvage d'Alaska (Petit Navire) ou encore les pavés de saumon argenté du Pacifique (Picard).