L'année 2024 s'annonce donc riche en possibilités, surtout pour le premier semestre. Selon Charlotte, Experte Crédit chez
En 2024, le secteur de l'immobilier pourrait bénéficier de meilleures conditions d'accès au crédit. Néanmoins, la politique actuelle de l'État en matière de logement semble manquer d'ambition. Un élément pour les primo-accédants, le Prêt à Taux Zéro (PTZ), a été prolongé jusqu'à fin 2027.
Pour la première fois en deux ans, les taux d'intérêts des crédits immobiliers ont baissé en janvier 2024. Il est probable que ce mouvement tant attendu par tous les candidats à l'emprunt s'inscrive dans la durée.
En 2024, plusieurs tendances majeures sont à observer sur le marché immobilier. La baisse des prix de l'immobilier devrait se poursuivre, avec une estimation moyenne de -4%. En matière de transactions immobilières, la diminution du volume est anticipée, avec une estimation de 800 000 ventes d'ici septembre 2024.
Ainsi, avec ces projections en tête, attendre une augmentation des prix pour mettre son bien en vente semble être un pari délicat. Si la décote des biens n'a cessé de se faire sentir en 2023, cette inclination devrait s'assagir en 2024.
Les prix des biens immobiliers devraient poursuivre leur baisse en 2024. Au travers de leur baromètre publié ce mardi, le site spécialisé Meilleurs agents anticipe même une baisse de 4% cette année, le double par rapport à 2023.
Une légère reprise est attendue pour 2025. Une légère reprise est attendue en 2025. "Le scénario est celui d'une baisse des taux directeurs de la BCE, aux alentours de septembre 2024, ce qui signifierait que les taux hypothécaires pourraient également légèrement baisser en 2025.
Le volume des transactions immobilières est attendu en baisse (environ 800 000 ventes d'ici à septembre 2024). Un recul de 10% des transactions est également anticipé pour 2024.
Il y a t-il un âge limite pour emprunter ? Jusqu'à 65 ans, il est relativement « facile » d'emprunter. Votre âge ne sera pas un problème, mais votre solvabilité sera bien sûr étudiée à la loupe. Par contre, à partir de 75 et 80 ans, il est beaucoup plus difficile de contracter un crédit.
Ces derniers mois, le secteur de l'immobilier peine à s'en sortir. Entre l'inflation, les taux d'intérêts qui explosent et les trop légères baisses des prix des biens, l'Hexagone traverse une crise immobilière profonde. Ce n'est une surprise pour personne : le secteur de l'immobilier va mal.
En mars 2024, un excellent taux sur 25 ans se situe autour de 3,89 %. Sur 20 ans, il atteint 3,69 %, 3,55 % sur 15 ans. Peu importe la période, dès lors que vous avez la possibilité de rembourser sur une plus courte période, il est intéressant de raccourcir le crédit.
Présenter une situation professionnelle stable.
Différents critères sont pris en compte par les banques. Selon nos simulations, un salaire de 2 400 euros permet d'emprunter 150 000 euros sur 25 ans. Toutefois, la banque étudie la stabilité de vos revenus.
Pour emprunter 200 000 € sur 15 ans, vous devez toucher un salaire mensuel minimum de 4 231 €. Pour emprunter 200 000 € sur 20 ans, vous devez toucher un salaire mensuel minimum de 3 563 €. Enfin, pour emprunter 200 000 € sur 25 ans, vous devez toucher un salaire mensuel minimum de 3 168 €.
L'année 2024 s'annonce comme une période stratégique pour tout projet d'investissement locatif. Malgré un contexte économique marqué par une légère hausse des taux d'intérêt et une inflation persistante, le marché immobilier continue de présenter des opportunités séduisantes pour les investisseurs avisés.
Selon l'Observatoire Crédit Logement/CSA, fin 2024, le taux moyen devrait atteindre 3,25 %.
En 10 ans, les prix moyens de l'immobilier ont largement progressé en France métropolitaine. Selon l'INSEE, l'indice des prix des logements a connu une hausse de près de 30 % entre 2013 et 2023, pour l'ensemble du territoire métropolitain, tout type d'habitat confondus (maison et appartements, neufs et anciens).
Pour un emprunt de 300 000 €, vous devez percevoir un revenu de 6 100 € sur 15 ans, 5 000 € sur 20 ans et 4 300 € sur 25 ans. L'apport pour emprunter 300 000 € peut être assez important selon votre profil.
Si vous souhaitez trouver une banque qui prête facilement, vous pouvez vous diriger en priorité vers certains types de banques. Les banques publiques : La Banque Postale et le Crédit Municipal. Ces banques ont un rôle d'accompagnement des publics en fragilité financière et leurs prêts sont particulièrement accessibles.
▶ Durée du prêt
Ainsi, emprunter à 60 ans signifie en général une durée de crédit relativement courte (entre 10 et 15 ans). Par conséquent, soit le montant de l'emprunt doit être peu élevé, soit les mensualités sont importantes.
Cependant, le recul des prix immobiliers est bien réel. Selon une étude de Terra Nova publiée le 30 mai 2023, la valeur de l'immobilier d'habitation pourrait bel et bien chuter de 20 % à fin 2023.
Achetez sans tarder pour préserver votre pouvoir d'achat
Néanmoins, une baisse des taux d'emprunt est observée en ce début d'année 2024, ce qui permettrait aux acquéreurs de concrétiser leur projet immobilier. Selon les courtiers et les experts immobiliers en France, les taux se rapprochent très vite des 4%.
Meilleurs Agents prévoit un recul des prix de l'immobilier de -4% d'ici fin septembre 2024 avec un volume annuel de 800 000 transactions, soit une chute de 10% par rapport à 2023, et un cycle baissier qui devrait perdurer au-delà de 2024.
Un investissement au coût très élevé
L' acquisition nécessite souvent de s'endetter pour un certain nombre d'années. Plus le montant de votre crédit est élevé ou plus son remboursement est sur une courte échéance, et plus cela amputera votre budget au quotidien et vos loisirs. Cela pourrait affecter votre train de vie.
Un scénario de décrue des taux presque certain
Elle devrait ramener progressivement son principal taux de refinancement à 2.0 % en 2026, sachant que d'ici là, la baisse sera lente dans un premier temps (3.4 % en 2024, après 3.8 % en 2023).
En 2024, « nous allons vers un recul des taux d'emprunt avec un taux moyen sur vingt ans et plus de 3,5%. Après, si tout va bien, nous descendrons progressivement avec un moyen de 2,75% en 2025, donc en fin d'année un taux entre 2,25 et 2,5% », explique-t-il au Parisien.