L'oignon cru étant plus riche en vitamines et minéraux, sa consommation n'est pas dangereuse. Riche en magnésium et calcium, il peut même avoir un effet bénéfique sur le sommeil puisqu'il favorise la diminution du stress car l'action du magnésium provoque un relâchement musculaire.
Les personnes sujettes au syndrome de l'intestin irritable peuvent avoir du mal à supporter les aliments fermentescibles comme l'oignon. Ce trouble se traduit par des perturbations du système digestif : dyspepsie, flatulences, douleurs abdominales, reflux gastro-oesophagien...
Riche en vitamine C, en vitamine B6 et en acide folique, l'oignon est également une très bonne source d'antioxydants. La consommation quotidienne d'environ 1/2 à 1 oignon serait suffisante pour prévenir certains types de cancers digestifs, notamment le cancer de l'estomac.
L'oignon fait partie des fruits et légumes pour lesquels 5 portions (soit 400 à 500 g) sont recommandées par jour dans le cadre d'une alimentation équilibrée.
Rouge ou jaune, il est riche en polyphénols, des composés antioxydants et anti-inflammatoires protecteurs des artères, qui pourraient aider à normaliser les taux sanguins de sucre et de cholestérol. Une étude a démontré que 150g d'oignons rouges par jour font baisser la tension artérielle de personnes hypertendues.
Pour son cœur. L'ail fait baisser la pression artérielle chez les personnes pour qui elle est trop élevée. L'oignon, quant à lui, empêche la formation de caillots, et prévient donc les thromboses. Ceci apporte une double protection à nos artères.
L'oignon contient également une forte dose de vitamine C ainsi que des composés soufrés qui sont nécessaires au foie lors de son processus de détoxification. L'oignon aide à anticiper et à protéger des cancers digestifs, en apportant des polyphénols au corps.
Oignon, mais aussi ail, échalote, poireau… Ils font partie de la famille des alliacées et cachent bien des atouts. Ces superaliments auraient notamment un effet protecteur contre les cancers digestifs : estomac, intestin et maintenant côlon.
Un oignon de taille normale fournit 13% de l'apport quotidien recommandé en vitamine C, en plus de la vitamine A, du sélénium, de la quercétine et des anthocyanes. L'oignon est idéal pour réduire les symptômes de la bronchite, pharyngite, des rhumes et d'autres affections respiratoires.
Mais pourquoi est-il aussi méchant ? Et bien tout simplement parce que l'oignon est un légume qui contient des enzymes et des composés soufrés qui, lors de la digestion, se décomposent et se transforment en gaz...
Les fibres de l'oignon sont principalement du mucilage et de la pectine. Ces fibres douces ont un effet légèrement laxatif qui facilite le transit intestinal. Des minéraux. L'oignon comporte différents minéraux et oligoéléments : potassium, fer, sélénium, magnésium et calcium.
L'oignon, un antioxydant efficace
Elle est efficace contre la formation de caillots sanguins, contre l'asthme, la bronchite chronique, le rhume des foins, le diabète, l'athérosclérose et les infections. C'est aussi un anti-inflammatoire, antibiotique, antiviral. Elle pourrait avoir des propriétés anti-cancer.
Un ami de la flore intestinale
Ses fibres, qui sont plus digestes quand l'oignon est cuit, relancent les transits paresseux. Il favorise la digestion en stimulant la sécrétion de bile. Riche en inule, une fibre aux propriétés prébiotiques, il équilibre la flore intestinale.
Toutes les variétés ne présentent toutefois pas le même intérêt, les blanches étant les moins intéressantes." Les oignons jaunes sont les meilleurs pourvoyeurs en quercétine. Et les rouges, plus doux et donc faciles à manger crus, s'avèrent les mieux pourvus en anthocyanes ", ajoute le diététicien-nutritionniste.
A moins de souffrir de gastrite, d'ulcères ou de reflux, maladies pour lesquelles il vaut mieux les éviter, les oignons crus (contrairement à la croyance populaire) sont plus faciles à digérer que les oignons cuits, mais dans les deux cas, il est important de faire attention à quelques petites précautions.
Parmi ses multiples propriétés, l'oignon a des vertus antiseptiques et antibactériennes. Ce remède naturel permet de nettoyer et soigner les plaies, et d'accélérer le processus de cicatrisation. On peut l'utiliser sous forme de jus ou de cataplasme grâce à la membrane fine qui se détache lors de la découpe.
Mettre les peaux des oignons dans une casserole remplie d'eau (environ 1 L). Faire bouillir pendant environ 5 minutes. Hors du feu, laisser s'infuser à couvert 10 minutes. Filtrer bien.
Dans un premier temps, émincez très finement l'oignon. Placez les tranches dans un bol et versez dessus deux cuillères à soupe de miel (ou recouvrez-les de sucre). Mélangez bien le tout pour que le miel s'étale bien sur les tranches d'oignon. Laissez reposer ce mélange pendant environ 12 heures.
Soucis de digestion, fatigue, troubles du sommeil, problèmes respiratoires et augmentation de la taille du foie sont des symptômes qui apparaissent très souvent quand on souffre d'un foie engorgé, en plus de la prise de poids.
Les légumes verts, les brocolis et les carottes sont parfaits : antioxydants, riche en vitamines, ils nettoient votre foie. Si l'ail éloigne les vampires, il permet aussi de se débarrasser des toxines. Le chocolat noir, excellent anti-dépresseur, riche en magnésium protège aussi parfaitement le foie.
Dormir avec un oignon dans la chambre permet de profiter de son effet décongestionnant. En clair, lorsque vous avez un rhume, l'oignon coupé vous débouche le nez. Mais ce n'est pas sa seule qualité.
L'oignon pelé dans la chambre à coucher : pour une nuit paisible. Je commence par le plus interpellant des trucs de grand-mère (ou bien suis-je facilement interpelée ?) : placer un oignon pelé dans la chambre à coucher pour calmer les toux sèches, voire les toux grasses, voire même tous les effets embêtants du rhume.
Beaucoup de personnes enrhumées confient mettre tous les soirs sur leur table de nuit un oignon coupé en deux, dès les premiers symptômes du rhume. Pourquoi ça marche ? L'oignon a des propriétés anti-inflammatoires et antiseptiques utilisées depuis des siècles par les médecins grecs, romains et égyptiens.
Pour pouvoir éliminer les matières fécales accumulées sous forme d'un fécalome, il faut habituellement pouvoir lubrifier le rectum et ramollir les selles à l'aide d'un lavement rectal (par ex. Normacol).